Entre drame et passion, Pierre Makyo articule avec une grande sensibilité son récit dans des effusions originales nécessitant assurément un certain ésotérisme, le faisant enfler dans une juste progression au point de lui donner toute sa dimension en fin d’album pour une suite digne d’intérêt.
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Le grain de peau et les visages sont particulièrement bien rendus, avec des reflets de lumière ambrés qui accordent beaucoup de douceur à l'ensemble.
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