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Critique de majero


Malaparte désirait-il nous léguer ses cauchemars de guerre, espérant s'en délivrer?

Officier de liaison avec les américains après que Mussolini aie retourné sa veste en 43, il nous raconte, déformé par un fascinant expressionnisme à la Fellini, la Naples humiliée, réduite à la 'peste' que constitue la prostitution généralisée des hommes femmes et enfants, sa chevauchée nocturne abordé par des juifs crucifiés, le procès expéditif de jeunes fascistes par les partisans communistes, le soir où il arrive à distraire un soldat mourant, le tribunal des foetus ou la danse lubrique du bossu sous les bombardements...
Et il trouve aussi les mots et la forme comme ces extraordinaires dialogues de sourds!
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