Dans ces jours d'enthousiasme, il n'y eut pas un attentat contre les personnes, pas une rixe. Cet état d'ordre parfait sans police était tel qu'un journal de la révolution pouvait s'écrier avec vérité : " Quel changement ! Quelle amélioration ! Pas un meurtre ! Pas un vol ! Pas un corps à la morgue ! La cour d'assises est vide ! "