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EAN : 9782253103820
192 pages
Le Livre de Poche (12/05/2021)
3.98/5   23 notes
Résumé :
Autour des thèmes de la protection de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique, quinze voix contemporaines, venant de la littérature, de la science-fiction, de la poésie et du polar, se mobilisent au profit de l’éducation des enfants.
Tour à tour drôles, glaçants, poétiques ou engagés, les quinze textes inédits de ce recueil nous invitent à imaginer notre avenir et celui de notre planète.

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Un recueil de nouvelles sur la terre, l'environnement, les changements climatiques, voilà qui est vraiment original. En plus une partie de la vente et reversée à l'Unicef !
Les éditeurs rivalisent décidément d'imagination.
Le dernier 13 à table, au profit des restaus du coeur, porte sur le thème La planète et moi...
Dans le récent recueil édité chez Fleuve éditions au profit du rire médecin, La terre, c'est..., 120 auteurs imaginent la terre en quelques mots.
Vous remarquerez que si ce sujet certes on ne peut plus d'actualité fait fureur pour secouer davantage les consciences collectives, aucun fonds n'est reversé à une ONG écologique ( WWF, Ecologie sans frontières, Organisation Mondiale pour la Protection de l'Environnement ), ce qui est d'une implacable logique.
Enfin, je ne vais pas émettre de jugement, d'autant que si je me suis procuré ce court recueil c'est bien parce que j'étais curieux de lire ce qu'avaient écrit Sandrine Collette, Jacques Expert, Nicolas Lebel ou Bernard Werber.

Objectif Terre donc.
Ouais.
C'est quand même particulièrement ironique ce titre, soixante-huit ans après le célèbre Objectif Lune d'Hergé publié en 1953. Neil Armstrong marchera quant à lui sur la lune bien plus tard, en 1969. Au prix de quelles ressources énergétiques ?
"L'homme est grand. Il est bien allé sur la lune il n'y a pas si longtemps, me disais-je pour me rassurer." témoigne d'ailleurs un étrange narrateur dans la nouvelle d'Adèle Bréau "Monsieur Pierre". Intemporel, celui-ci a vu toute la dégradation d'un monde de plus en plus industrialisé, plastifié, nicotisé, abîmé, détraqué.
"Tremblements de terre, tsunami, famine, pandémie, extinction, sécheresse, séismes, terrorisme, insurrections, migrations, inondations, on regardait le monde s'écrouler H24, les fesses posées sur notre canapé..."
Autant dire que l'extinction des feux est déjà programmée.

La grande majorité des futurs imaginés par les auteurs est d'ailleurs pessimiste. En tout cas pour l'homme. Parce que du conflit qui oppose les êtres humains à leur planète, aussi affaiblie soit-elle, la terre n'a pas vraiment à s'inquiéter pour sa survie.

Le seul qui voit l'avenir en rose, c'est Bernard Werber avec "Tout est bien qui finit de manière étonnante". Panneaux photovoltaïques, énergie solaire, recyclage, renouveau des espèces animales, l'homme devient gentil et responsable, le pétrole n'est plus utilisé avec tout ce que ça implique. C'est mignon mais ça ne me paraît pas très réaliste.

D'autres nouvelles sont plus sombres mais cherchent une solution pour contrer la marche funeste. Dans Koï 2034, Mona le Bris-Leleu rappelle ce qu'on sait déjà notamment au travers du livre Impact d'Olivier Norek : La montée inexorable des eaux. "Après ça s'étaient retrouvés errant sur les mers presque un milliard de réfugiés climatiques." Pour elle l'une des issues pour échapper au pire serait d'amplifier les recherches sur la désacidification de l'eau de mer.
Tatiana de Rosnay, dans un texte épistolaire ( le projet pollen ) reprend une idée déjà vu dans la série Black Mirror : Les abeilles étant quasiment décimées il est question de la création de nanorobots dont le rôle serait de maintenir la biodiversité en persistant à déposer le pollen de fleurs en fleurs, le tout sur un fond conspirationniste.
Catherine Dufour invente dans La fierté des Centeno un couple d'amis, un trieur et un reconditionneur de déchets, qui vont multiplier les idées et les initiatives pour nettoyer la planète, y compris son septième continent. A deux on est toujours plus fort.

J'ai bien aimé la nouvelle de Niko Tackian, "Madame Matheson", qui de son côté décrit un monde paradisiaque et propice à la séduction, fait de sable blanc sur la côte californienne. Un décor uniquement virtuel qui permet de s'échapper quelques instants d'une réalité future devenue un enfer.

Mathias Malzieu a écrit deux pages dans lesquelles il ne fait pas avancer le débat en écrivant "L'écologie devrait être émotionnelle. Pour qu'elle devienne un réflexe joyeux plutôt qu'une morale." le problème c'est que trop de lobby, de politiques, de banques voient l'écologie comme un réflexe financier. Cette jolie vision est donc une impasse à mon sens.

Cécile Coulon a écrit un genre de poème qui m'a laissé insensible préconisant de prendre soin de nos rares choix de futurs encore possible.

Dans le monde inondé d'Ouest, de Franck Bouysse, le dernier survivant est fossoyeur, il enterre les derniers morts. Jusqu'à se rendre compte qu'une femme a survécu aussi. Les nouveaux Adam et Eve pourront-ils reconstruire l'humanité sur ce champ de ruines ?

L'aspect science-fiction est plus marqué encore avec Ian Manook, puisqu'il nous projette dans un futur beaucoup plus lointain que les autres écrivains du recueil : 2984. Mille ans après George Orwell. le monde est alors entièrement régi par des androïdes. Son histoire, La révolution bienveillante, narre une discussion teintée d'absurde entre un robot qui parle par contrepèteries ( "Beau métier professeur beau fessier prometteur" ) et l'hologramme d'un humain vantant la littérature noire de son époque.
Pierre Bordage situe quant à lui son intrigue dans l'Entre-deux après la Grande guerre climatique de 2072, dans un monde polaire avec une période de deux semaines par an environ où revient la chaleur. Au sein de ce monde post-apocalyptique, faute de zombies, les êtres humains s'affrontent entre eux en fonction de ce qui subsiste de leur rang social.
"Les errants n'avaient pas d'autre moyens que rapine et violence pour subvenir à leur besoin."

Dans une surprenante allégorie relative à la surpopulation, une des causes majeures de l'extinction des feux à prévoir, Fabrice Colin convie son lecteur dans Ne pas pleurer à la table à la table d'un restaurant à Hong-Kong. Y discutent Gaïa, la planète terre, sous les traits d'une matriarche portoricaine, et ses cavaliers de l'apocalypse : Tornade, Peste, Cho, Foggy ( spécialiste des cancers et des AVC ), Mister Flood ( responsable de la montée des eaux, des crues et des glissements de terrain ) et Mister Freeze qui fait fondre les icebergs.
( Pour mister Freeze c'est bien sûr une bêtise mais c'était trop tentant. )

Fort heureusement trois nouvelles sortent du lot et ont permis d'insuffler un peu plus de vies, d'idées, de réflexions à cette anthologie qui se serait révélée assez décevante dans le cas contraire.

Nicolas Lebel nous émeut et nous révolte en évoquant le devenir des animaux en 2027, une date alarmiste, lors d'un dialogue entre un grand-père chasseur et son petit-fils pour qui la faune que nous connaissons aujourd'hui appartient déjà à la préhistoire.
"Il n'y a rien de plus émouvant que de voir un éléphant majestueux s'effondrer lentement, poser un genou en terre avant de s'écraser au sol, terrassé par la balle que tu viens de tirer."
"La forêt est aujourd'hui vide parce que quelqu'un y a tué le dernier lapin, le dernier sanglier, le dernier renard."
Je suis pourtant moins sensible que bon nombre d'internautes à la souffrance animale au sein des pages d'un roman, mais j'ai trouvé le sujet de l'extinction des espèces bien plus révoltant que celle de l'homme, dont le droit de vie est au final bien plus discutable.

Sandrine Collette, bien sûr, est présente dans ce recueil et elle aussi va mettre à l'honneur un animal : le mouton Bertrand et toute sa petite famille. Dans ce conte biblique aussi amer qu'amusant, L'arche de Bertrand, la romancière déjà familière des grandes crues ( Juste après la vague ) prend un malin plaisir à inverser les rôles. Dieu avait demandé 4500 ans plus tôt à Noë de sauver tous les couples d'animaux en construisant une arche pour les abriter durant quarante jours de déluge.
Cette fois il enverra l'archange Gabriel et, afin de sauver l'homme de la surpopulation et de sa fin programmée c'est un bélier qui sera choisi pour construire une arche dans laquelle il emmènera quatre-cent personnes, deux-cent couples de chacun des pays du globe représentant une majorité de métiers. L'être humain retrouvera-t-il la raison durant son périple marin ? Comment compte-t-il se reconstruire ?

Et enfin, il y a la nouvelle Vocabulaire impropre à la consommation de Jacques Expert, qui se détache complètement des autres textes. Il est peut-être même hors sujet puisqu'il ne parle pas d'écologie du tout, pour autant il s'attarde sur une autre forme de futur inquiétant et on ne peut plus d'actualité. En effet quatre hauts fonctionnaires se regroupent pour nettoyer la langue française, et ils vont éliminer 27 783 mots du dictionnaire.
"Il existe beaucoup trop de mots à mauvaise connotation et donc sujets à mauvaise interprétation. Il convient de ne retenir que ceux qui ne heurtent aucune sensibilité, ethniques, confessionnelles ou tout simplement humaines."
Très récemment, le 22 décembre 2022, la société Mattel a interdit l'utilisation dans son dictionnaire officiel de scrabble de certains mots jugés offensants ou discriminants : Tarlouze, Boche, Schleu, Pouffiasse, Travelo, Gogole, Jésuitique, Pédé, Romano, Nègre, Tafiotte, Chicano, Bamboula, Enculeur, Tantouze.
Vous pouvez utiliser Connard, Pute, Merde, Salope, Nain, Négrier. Pour l'instant.
J'ai bien conscience que le vocabulaire doit évoluer avec son temps, que certains de ces mots aient pu être acceptés auparavant me choque d'ailleurs, parallèlement un joueur de scrabble qui inscrit le mot Boche ou Tantouze sur la grille n'émet aucun jugement de valeur sur les Allemands ou sur les homosexuels. Il joue et il fait le maximum de points avec les lettres qu'il a. Il n'y a pas à le pointer du doigt.
Faire évoluer la langue pour la rendre moins péjorative est un jeu dangereux. Je me souviens quand les femmes de ménage sont devenues des techniciennes de surface, les caissières des hôtesses de caisse, les nains des personnes de petite taille ( ou à la verticalité contrariée ) : A mes yeux chacune de ses professions, chacun de ces mots n'avait aucune connotation négative et ça a été une façon de les montrer du doigt maladroitement comme si leur situation était préalablement honteuse. Une forme de stigmatisation, ni plus ni moins.
Il y a également tout ce procédé d'écriture inclusive qui s'est mis en place depuis quelques années permettant une égalité homme-femme. Peu importe si beaucoup estiment que le combat à mener n'est pas là, peu importe même si les femmes refusent la dénomination féminine qu'on leur impose. Il y a désormais des écrivaines, des doctoresses, des contrôleuses, des professeures, etc. A ma connaissance toutefois les hommes aidant aux accouchements exercent toujours l'activité de sage-femme.
Ainsi, ce sont les mots censure, il, elle, je, tu qui font notamment partie dans ce nouveau monde où parler de genre est devenu inconcevable qui disparaissent ici purement et simplement.

En conclusion je pense pouvoir dire que l'optimisme écologique est plus que jamais de circonstance.
Oui, il y a dix ans on ne se rendait pas bien compte du désastre en terme de ressources naturelles que pourrait représenter une coupe du monde au Qatar.
Aujourd'hui, les mentalités ont évolué, on a senti un vent de protestation voire de révolte. Plus jamais une telle aberration !
A moins que l'Arabie Saoudite n'accueille la coupe du monde en 2030.
En même temps, à ce rythme de démence, il semble présomptueux de se projeter dans sept ans.
Meilleurs voeux à tous !
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Un recueil de 15 nouvelles au profit de l'Unicef. On se fait plaisir en lisant tout en commettant une bonne action !

J'ai beaucoup aimé :
- La Projet POLLEN de Tatiana de Rosnay ;
- Un loup pour l'homme de Nicolas Lebel ;
- Vocabulaire impropre à la consommation de Jacques Expert ;
- Madame Matheson de Niko Tackian ;
- La Révolution Bienveillante de Ian Manook ;
- Sauver de Cécile Coulon ;
- Ouest de Franck Bouyse.

J'ai bien aimé :
- L'Entre-Deux de Pierre Bordage ;
- L'Arche de Bertrand de Sandrine Collette ;
- Monsieur Pierre de Adèle Bréau ;
- L'Écologie émotionnelle de Mathias Malzieu ;
- La Fierté des Centeno ;
- Tout est bien qui finit de manière étonnante de Bernard Werber.

J'ai moins aimé :
- Ne pas pleurer de Fabrice Colin ;
- Koï 2034 de Mona le Bris-Leleux.

On n'hésite pas, on achète !
Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
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Les éditions le livre de poche proposent un formidable recueil de textes au profit de l'UNICEF.

15 auteurs, et pas des moindres, ont été invités à offrir leurs mots pour parler de la protection de l'environnement et de la lutte contre le changement climatique.

Une bonne action doublée d'un joli plaisir de lecture, que demander de plus ! Beaucoup d'auteurs de littérature de genre cette fois-ci (je ne vais pas m'en plaindre), pour un thème qui leur convient à merveille. Des écrivains que je suis depuis longtemps pour la plupart, c'est donc avec une vraie gourmandise que je me suis plongé dans ces nouvelles.

Et elles valent le détour ! La plupart des auteurs ont choisi le terrain du monde de demain, très proche ou plus lointain. Des ambiances pré ou post-apocalyptiques, mais pour plusieurs avec une dose d'humour bienvenue. Les sujets sont noirs, mais la créativité lumineuse et les ambiances variées.

PIERRE BORDAGE, en version post-apocalyptique, par l'un des immenses maîtres du genre
FRANCK BOUYSSE, et son retour au début de l'Histoire
ADÈLE BRÉAU, et son récit vu à travers des yeux particuliers
FABRICE COLIN, et sa rencontre entre la terre et ses plaies
SANDRINE COLLETTE, et sa délirante histoire de l'arche de Noé 2.0
CÉCILE COULON, et sa poésie
CATHERINE DUFOUR, et ses deux hommes qui sauvent le monde
JACQUES EXPERT, et son texte drôle et bien vu sur le sens des mots
NICOLAS LEBEL, et l'homme qui est un loup, jusqu'à s'en mordre les doigts
MONA LE BRIS-LELEUX, jeune gagnante du concours d'écriture lancé par l'UNICEF
MATHIAS MALZIEU, deux petites pages sur sa manière de voir l'écologie
IAN MANOOK, et son histoire futuriste qui replace l'homme au centre
NIKO TACKIAN, et son monde virtuel pour cacher le réel
TATIANA DE ROSNAY, et sa défense (dévoyée) des abeilles
BERNARD WERBER, et sa vision résolument optimiste de l'avenir.

Une réussite, des histoires qui en valent la peine, et une belle action pour une cause qui la vaut tout autant :
1 LIVRE ACHETÉ = 1,50 EURO REVERSÉ À UNICEF
Lien : https://gruznamur.com/2021/0..
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Je vous présente ce petit recueil de nouvelles très courtes dans lequel 15 auteurs se mobilisent au profit de l'Unicef en écrivant des textes sur le thème de la protection de l'environnement et de la lutte contre le changement climatique. C'est donc dans une ambiance d'anticipation que ces récits post-apocalyptiques, avec ou sans espoir nous invitent à imaginer notre futur. le constat des auteurs est souvent sans appel concernant l'état de la planète et son futur incertain. le résultat est pour le moins éloquent, bouleversant et émouvant. En tous cas, ça se lit tout seul, en vacances ou dans le métro, mais pas de doute ça fait réfléchir !

L'Entre-Deux – Pierre Bordage : une aventure post-apocalyptique
L'Arche de Bertrand ou l'arche de Noé revue et corrigée par Sandrine Collette
Ne pas pleurer – Fabrice Colin : rencontre au sommet entre les grands maux déifiés
Le Projet POLLEN – Tatiana de Rosnay : les abeilles sauveront elles la planète?
Un loup pour l'homme – Nicolas Lebel : l'homme, ennemi du loup jusqu'au dernier
Monsieur Pierre – Adèle Bréau : un point de vue inédit sur l'évolution de nos vies
Vocabulaire impropre à la consommation – Jacques Expert : un avenir bien incertain pour nos mots
Koï 2034 – Mona le Bris-Leleux : une jeune génération se bat pour reconstruire la planète
Madame Matheson – Niko Tackian : ce que cache une vie dans un monde virtuel
L'Ecologie émotionnelle – Mathias Malzieu : un point de vue logique et intelligent sur notre rapport à l'écologie
La Révolution Bienveillante – Ian Manook : l'humain et l'intelligence artificielle
Sauver – Cécile Coulon : l'avenir au centre d'un poème poignant
Ouest – Franck Bouysse : retour au jardin d'Eden
La fierté des Centeno – Catherine Dufour : recréer le monde à partir d'une imprimante 3D
Tout est bien qui finit de manière étonnante – Bernard Werber : rien de tel que de terminer sur cette jolie note optimiste pour nous remonter le moral!
Nous avons tous conscience de l'état alarmant de notre planète, lire ces textes est également une façon de s'impliquer par la réflexion dans ce combat. Les auteurs ont tous fait preuve d'une belle créativité, pour un résultat très réussi : plaisir de lecture et bonne action assurée !
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
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Franchement c'est un bon recueil, de textes de qualité qui répondent à deux thème : le futur et l'environnement, voire le réchauffement climatique. Bien sûr, il y a toujours des nouvelles bizarres, incompréhensibles mais toujours bien écrites! Dans l'ensemble, c'est très bon et ça fait plaisir de lire des bons textes .
Mes nouvelles préférées sont donc (qualités du texte et thème respecté) :
-L'écologie Émotionnelle , Mathias Malzieu
- le projet POLLEN, Tatiana de Rosnay
- Ouest, Franck Bouysse
-Un loup pour l'homme, Nicolas Lebel
-La fierté des Centeno , Catherine Dufour

C'est un recueil solidaire qui aide les enfants et qui vous fera passer une heure de lecture assez chouette avec des auteurs dont la plume est admirable!
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Autant dire que nous n'avons pas lambiné (pour info, le maintien du mot "lambin" a été contesté devant le Conseil d'Etat par l'association des Profiteurs du temps qui passe. Elle estimait qu'être traité de lambin assimile l'individu à un paresseux et ridiculise son goût de profiter de la vie à son rythme. Bien sûr, le Conseil a rejeté cette demande incongrue).

Nouvelle de Jacques Expert - Vocabulaire impropre à la consommation
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