Un deuxième tome qui met le focus sur Kujo, sa formation, son mentor, le lien avec sa famille. Cela permet de commencer à comprendre sa mise à l'écart et son lien si particulier avec sa vision de la justice.
L'affaire traitée met toujours en avant la violence humaine. Ici, les personnes en fin de vie sont le sujet de l'affaire. Les visuels sont toujours aussi dérangeants et captivants. Cela sert au propos et peut nous faire questionner.
Enfin, je trouve cela dommage de ne pas voir plus Karasuma. le dialogue final remontre pourtant à quel point ce personnage est intéressant vis-à-vis des idées et actions de Kujo.
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Un deuxième tome qui confirme les qualités vues dans le premier volume.
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Le droit part d'une idée belle et pure comme le Mont Fuji. Mais dans la pratique, c'est la forêt d'Aokigahara, au pied du Mont Fuji, réputée pour ses nombreux cas de suicides. Un endroit sombre, dans une forêt sans lumière.