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Critique de Mosaik
Je remercie Babélio et les éditions Antidata pour la réception de ce livre dans le cadre de la masse critique.
J'ai dabord été très surprise des dimensions du livre. C'est une nouvelle certes, mais la taille du livre reste atypique. C'est la première fois que je vois un livre aussi petit.
La couverture est simple, sobre et en accors avec la nouvelle. Moi, elle me plaît bien.
Avec "Au fils du calvaire", nous allons suivre Romain, SDF, à travers son quotidien, qui va très vite être chamboulé par l'arrivée d'une jeune journaliste qui souhaite le suivre et l'interroger afin de réaliser un article sur les sans abris. Dérouté par cette demande dans un premier temps, il appréciera très vite la compagnie de la jeune femme. Et puis un évènement va prendre le dessus. La disparition inquiétante de plusieurs SDF.
Je dois dire que j'ai apprécié de me laisser porter par le récit. La rencontre entre la journaliste et Romain est touchante. Puis l'histoire prend une tournure plus sombre quand les disparitions inquiétantes des SDF surviennent. J'ai dévoré l'histoire, voulant connaître au plus vite la manière dont l'intrigue allait être mené et quel dénouement l'auteur nous apporterai. Malheureusement, ce fut une douche froide pour moi. À peine découvre-t-on un élément important de l'enquête, que l'histoire s'arrête. En 2 pages, on nous balance une fin qui n'en est pas une. C'est d'autant plus frustrant que j'avais vraiment apprécié le récit, mais voilà que tout retombe. On se demande au final quel était le rôle de la journaliste puisque qu'on ne sait pas ce qu' il advient d'elle et de son article. Ce dont il advient de Romain ou comment se termine l'enquête ? A-t-on retrouvé toutes les personnes impliquées ?
Bref vous l'aurez compris, si l'histoire en elle-même m'a plus, cette fin abrupte gâche tout. Et on se dit : " tout ça pour ça ?"
Bien évidemment cela n'est que mon avis et n'hésitez pas à vous faire le votre car cette fin ne vous choquera peut-être pas autant que moi.
J'ai dabord été très surprise des dimensions du livre. C'est une nouvelle certes, mais la taille du livre reste atypique. C'est la première fois que je vois un livre aussi petit.
La couverture est simple, sobre et en accors avec la nouvelle. Moi, elle me plaît bien.
Avec "Au fils du calvaire", nous allons suivre Romain, SDF, à travers son quotidien, qui va très vite être chamboulé par l'arrivée d'une jeune journaliste qui souhaite le suivre et l'interroger afin de réaliser un article sur les sans abris. Dérouté par cette demande dans un premier temps, il appréciera très vite la compagnie de la jeune femme. Et puis un évènement va prendre le dessus. La disparition inquiétante de plusieurs SDF.
Je dois dire que j'ai apprécié de me laisser porter par le récit. La rencontre entre la journaliste et Romain est touchante. Puis l'histoire prend une tournure plus sombre quand les disparitions inquiétantes des SDF surviennent. J'ai dévoré l'histoire, voulant connaître au plus vite la manière dont l'intrigue allait être mené et quel dénouement l'auteur nous apporterai. Malheureusement, ce fut une douche froide pour moi. À peine découvre-t-on un élément important de l'enquête, que l'histoire s'arrête. En 2 pages, on nous balance une fin qui n'en est pas une. C'est d'autant plus frustrant que j'avais vraiment apprécié le récit, mais voilà que tout retombe. On se demande au final quel était le rôle de la journaliste puisque qu'on ne sait pas ce qu' il advient d'elle et de son article. Ce dont il advient de Romain ou comment se termine l'enquête ? A-t-on retrouvé toutes les personnes impliquées ?
Bref vous l'aurez compris, si l'histoire en elle-même m'a plus, cette fin abrupte gâche tout. Et on se dit : " tout ça pour ça ?"
Bien évidemment cela n'est que mon avis et n'hésitez pas à vous faire le votre car cette fin ne vous choquera peut-être pas autant que moi.
