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Inspecteur Kurt Wallander tome 6 sur 12

Christofer Bjurström (Traducteur)
EAN : 9782020419529
560 pages
Seuil (09/03/2004)
3.98/5   1010 notes
Résumé :
Prix Mystère de la critique en 2000
Gold Dagger Award 2001

Dans la chaleur intenable de l'été 1994, une jeune fille s'immole par le feu dans un champ de colza. Le lendemain, un ancien ministre est tué à coups de hache. C'est le début d'une série de meurtres terrifiants. Quel est le lien entre tous ces morts ? La police d'Ystad, menée par Kurt Wallander, entame une course contre la montre pour arrêter le tueur... avant qu'il ne frappe à nouveau... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (58) Voir plus Ajouter une critique
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Après l'intrigue glaçante de la semaine dernière en compagnie du norvégien Jo Nesbø et de son tueur fou “Le bonhomme de neige”, il était bien tentant de franchir la frontière, de m'arrêter quelques jours dans la partie la plus méridionale de la Suède : le comté de Scanie.
Il eût été dommage de quitter la Scandinavie sans cheminer un petit moment aux côtés d'Henning Mankell dont ''Les chaussures italiennes'' me seyaient si bien au printemps dernier.

Le guerrier solitaire”, publié par l'écrivain suédois en 1995, est le cinquième roman de la série policière “Kurt Wallander”, du nom de son héros.

En ce début d'été, une ambiance insouciante règne au sein du commissariat de la petite ville d'Istad. L'équipe nationale qui brille de mille feux au mondial de football n'est pas étrangère à la bonne humeur générale.
Alors que chacun songe aux vacances toutes proches, deux faits divers terrifiants viennent chambouler la routine des autorités policières. En l'espace de quelques heures une jeune fille s'immole par le feu au milieu d'un champ de colza et un ancien ministre de la Justice est retrouvé scalpé sur la plage attenante à sa propriété.
Une semaine plus tard, trois nouveaux scalps figurent au palmarès d'un tueur en série qui collectionne les haches de tout format.

Le manque de résultats de la police commence à faire tousser en haut lieu et pourtant les quatre premières victimes du guerrier solitaire sont de fieffées crapules.
Plus les jours passent et plus la perplexité de Wallander et de son armada policière fait peine à voir.
Le lecteur, au courant des intentions du tueur, soufflerait bien au commissaire déboussolé : “Magne-toi Kurt ! le cinquième nom sur la liste macabre est le tien”.

“Le bonhomme de neige” et “Le guerrier solitaire” ne manquent pas de similitudes : un commissaire de police à la cinquantaine désabusée face à un tueur en série perfectionniste jusqu'au bout de sa déraison.
Par son intensité dramatique, le roman de Jo Nesbø me semble quand même un cran au-dessus de celui d'Henning Mankell.

Une quinzaine scandinave palpitante à souhait, qui glace puis qui décoiffe... et même un peu plus !
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Ah !.... Wallander et son tas de linge sale par terre dans son appartement, Wallander et ses stylos qui fuient dans les poches de ses chemises, Wallander et son fauteuil à moitié cassé dans son bureau, Wallander et ses énervements, sa mauvaise conscience toujours affleurant pour tout et pour rien, ses relations chaotiques avec son père, sa fille, Baiba, ses collègues, Wallander et ses innombrables cafés ingurgités, son opéra, Wallander avec son intuition et son incompréhension parfois.... Wallander a toujours peur que tout s'effondre autour de lui, la police, la Scanie, la Suède en général, lui-même avec ses convictions, ses certitudes et son ton un peu moralisateur parfois. Wallander est un type assez commun en somme, avec les angoisses et incertitudes de beaucoup de personnes en fait sur l'âge qui passe, sur la famille, les relations amoureuses, sur son travail... le soleil d'été de Scanie tape fort sur le crâne de Wallander, on le suit pas à pas comme toujours chez Mankell dans une enquête horrifique et compliquée où tout s'entremêle, se rejoint, s'éloigne. Wallander n'est pas un super flic qui va tout résoudre en deux temps trois mouvements, tout comprendre d'un seul coup d'oeil ; il rame, il râle, il se trompe, il n'y comprends rien, il y croit, il n'y croit plus, et il laisse en suspens des questions. Mankell laisse des points non résolus, certaines questions en périphérie de l'enquête principale sont laissées sans réponse. Moi ça ne me dérange pas. Mankell au plus près de la psychologie de son personnage principal ne le transforme pas en superman. C'est seulement un commissaire d'un coin de Scanie qui entame une course contre la mort, contre la folie de la vengeance meurtrière, contre son propre découragement et désarroi.
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Le numéro 5 de la série des Wallander foudroie là où les rayons du soleil poudroient dans l'été de Scanie.
Il n'est pas un Suédois qui ne suive la coupe du monde 1994 sauf l'indifférent inspecteur qui prépare ses vacances avec la Lettone de son coeur, Baïba.
Mais des événements tout aussi décoiffants les uns que les autres , voire scalpants, vont perturber cette quiétude.
Tout commence par l'acte incompréhensible d'une jeune réfugiée qui se donne la mort dans un champ de colza, puis une série de meurtres commis par un guerrier solitaire peinturluré va définitivement sortir Ystad de sa somnolence estivale.

Le compromis entre les moments intenses des scènes d'homicide et la vie banale d'un inspecteur provincial suédois procure un confort de lecture inégalé.

Pour comprendre la recette de ce succès suédois qui dépasse la Baltique, il y a bien sûr une écriture. Mankell décrit subtilement les rapports entre les personnages. Dialogues et descriptions sont au diapason d'une course contre la montre pour trouver un meurtrier à la hache facile.

Sans oublier la traduction, ès qualité, d'Anne Gibson en général ou comme ici de Christofer Bjurström, et vous obtiendrez un rendez-vous solitaire presque 5 étoiles.
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Comme d'habitude, ce qui frappe chez Wallander, c'est sa solitude. Pourtant, ici, tout le monde est encore là : Svedberg n'est pas encore mort, le père de Wallander non plus et Linda, la fille de Kurt, vient vivre temporairement chez lui. du coup, cette fois-ci, on a un peu l'impression que, s'il se retrouve tout seul, c'est un peu de sa faute...

Et, de fait, l'ami Kurt semble faire preuve d'une légère tendance asociale. Souvent, il s'isole, ne veut pas parler aux autres ou refuse de les écouter. Il ressent certaines gênes absurdes et incrompéhensibles au moment d'évoquer les sentiments qu'il éprouve, comme lorsque Baiba, sa petite amie (tiens, elle aussi est encore dans la vie de Wallander) l'appelle de Riga et qu'il n'ose pas lui dire qu'il l'aime ou qu'il va probablement devoir reculer ses vacances. Comportement bizarre pour un petit ami, vous ne trouvez pas ?

Le roman en lui-même est très long pour peu de rebondissements. La description de l'enquête par Mankell est toujours intéressante car pleine de détails : il nous plonge dans l'esprit des policiers, dans celui du tueur et dans les multiples réflexions de ces différents personnages composant le récit. Mais, le gros problème, c'est qu'on connaît l'identité du tueur depuis le début de l'histoire. Et du coup, le manque de suspense se fait sentir de façon presque pénible. Quand Seuil parle d'enquête qui " piétine " dans la présentation de ce roman, la maison d'édition n'a pas tort : on a plus d'une fois envie de crier " Alors, ouvre les yeux, réfléchis !! " à l'équipe de Wallander. Et tous ces braves flics, d'habitude si plaisants, finissent par franchement nous agacer !

Le résultat est donc franchement décevant. Un peu d'animation commence à se faire sentir aux alentours de la page 473 (je ne plaisante pas !) et le reste du récit semble tourner autour d'une sévère critique de la société suédoise, qui semble aller encore plus mal que dans les autres opus de Mankell. La jeunesse suédoise est-elle si " pourrie " ? Les Suédois sont-ils réellement si violents, si désespérés ?

En plus de cela, Wallander semble vraiment désabusé. Il assiste à la dégradation combinée de la société suédoise et des conditions de travail des policiers en ressentant en permanence un sentiment de colère diffus qui, parfois, lui fait péter les plombs (il jette des stylos qui ne vont plus à travers la pièce, par exemple). Et l'inspecteur est également très envieux du procureur qui a pris la décision de s'éloigner de tout cela en changeant de vie : Kurt se demande alors pourquoi lui-même ne ferait pas la même chose. Mais, bien évidemment, il ne le fait pas. Et à ce moment revient l'envie de lui hurler " Bouge-toi, si tu as envie que les choses changent il est temps de te remuer ! ". Parce que à part râler, Wallader ne fait rien. Il semble déçu de l'évolution de son métier, on a l'impression qu'il reste policier par paresse ou par crainte de recommencer autre chose. Et son mécontentement perpétuel finit par peser très lourd sur l'ambiance de ce récit : après tout, s'il n'ose pas recommencer sa vie ailleurs, c'est un peu sa faute, non ?

Vous l'aurez compris, ce Guerrier solitaire n'est pas la meilleure enquête de Wallander, qui semble très essoufflé dans ce polar. Une petite pause s'impose donc avant de découvrir les autres volumes de Mankell.
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Villospår
Traduction : Christofer Bjurström

Bon, récapitulons.

Les meurtres : costauds, et même gore - l'assassin travaille à la hache et scalpe ses proies.

Les victimes : repoussantes, il n'y en a pas une pour relever l'autre, on se demande comment de tels types peuvent exister et prospérer et il ne faudrait pas nous pousser beaucoup pour qu'on débouche le champagne en les voyant terminer comme ça.

Les parents des victimes : il n'y en a pas toujours mais, quand ça arrive, ils sont rudement soulagés de savoir qu'ils ne reverront plus leur mari ou leur père autrement qu'en enfer et, quand ils ne sont pas soulagés, ça ne leur fait ni chaud ni froid d'apprendre la nouvelle - une exception apparente tente de se suicider mais, renseignements pris, c'est parce que, justement à cause de son père, celle-là n'avait plus le goût de vivre.

L'équipe policière : Björk vient de quitter son poste de directeur, c'est donc une période de transition qui s'ouvre, Ebba est fidèle au poste à son standard et Nyberg, entre deux grognements de molosse irascible qui le font d'ailleurs souvent confondre avec l'un de ces animaux, semble plus que jamais doué du don d'ubiquité.

Wallander : il s'apprête à partir en vacances avec Baiba, sa maîtresse lituanienne, et a des sueurs glacées à l'idée d'en être empêché par le tueur fou ; mais comme toujours avec Wallander, le devoir avant tout. Et puis, il y a son père que la maladie d'Alzheimer commence à secouer grave. Aux dernières nouvelles, il met le feu à ses peintures. Dieu merci, il s'accroche férocement à l'idée de passer l'automne avec son fils, en Italie. Bref, la routine et Wallander peut se livrer en paix à son occupation favorite : envisager le monde en noir et en surnoir.

L'enquête parallèle : une jeune fille de quinze ans environ s'est immolée par le feu - et sous les yeux de Wallander - dans un champ de colza. Elle semblait terrorisée. Mais par qui, par quoi, on ne le saura qu'à la fin du livre même si l'on commence à procéder bien plus tôt à certains recoupements.

Donc, comme vous le voyez, c'est du solide, et même du costaud. Et pourtant, on reste sur sa faim. Comme presque toujours avec Mankell.

N'en déplaise à certains, ce n'est pas parce que l'auteur nous révèle l'identité du tueur à la hache aux deux tiers du roman mais bien parce que les trois-quarts du final sont escamotés. Quid du lien entre la soeur du tueur et les victimes précédentes ? Pourquoi le tueur s'est-il décidé en fin de parcours à s'en prendre à Wallander et à sa fille, Linda, en vacances chez lui ? Comment la jeune fille morte par le feu était-elle parvenue à s'échapper ? Rien, on ne saura rien. Oh ! on peut supputer, imaginer, extrapoler et bien d'autres infinitifs encore ... Mais c'est lassant parce que, chaque fois, c'est pareil : une fin brutale et/ou elliptique. Tout-à-fait comme si l'auteur ne devait pas dépasser tant de pages - ce dont je doute - ou, plus sûrement, comme si on assistait à un téléfilm qui ne devrait pas excéder une certaine durée.

En outre - phénomène d'autant plus curieux que, en fin de compte, "Le Guerrier Solitaire" m'a toujours semblé l'un des meilleurs livres de son auteur - c'est avec cette relecture que j'ai vraiment ouvert les yeux sur quelque chose qui me taraudait depuis longtemps mais sur quoi je ne parvenais pas - ou n'osais peut-être pas - à poser un nom : avec ses soupirs, ses réflexions et ses apitoiements sur la société, Wallander est un sacré donneur de leçons. Et voilà sans doute la raison pour laquelle nos relations sont si chaotiques bien que, en aucune manière, je ne songe à contester le talent de son créateur. ;o)
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Citations et extraits (148) Voir plus Ajouter une citation
- J'ai une question, dit Wallander. Une question personnelle. Ca doit faire horriblement mal de mourir brûlé?
- C'est une chose qu'on sait depuis la nuit des temps. Le feu a toujours été le pire des châtiments ou des supplices qu'on puisse infliger.[...] Les douleurs sont pires que tout ce qu'on peut imaginer. En plus, on ne perd pas connaissance aussi vite qu'on pourrait le souhaiter. L'instinct de fuir les flammes l'emporte sur la volonté d'en finir avec la souffrance. C'est pour ça que le cerveau empêche l'évanouissement. Puis, on arrive à un palier. Pendant un instant, les nerfs brûlés deviennent insensibles. On a des exemples de brûlés à 90% qui ont eu un court instant le sentiment de ne pas être blessés.
Mais quand l'insensibilité cesse...
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"La barbarie a toujours un visage humain, se dit-il [Wallander]. C’est ça qui la rend tellement inhumaine. Il avait lu ça quelque part. Il savait maintenant que c’était vrai.
Depuis presque cinquante ans qu’il vivait, il avait vu la société se transformer tout autour de lui, et il avait participé à cette transformation. Mais il comprenait maintenant que seule une partie de cette transformation était apparente. Il y avait une autre mutation en dessous, en cachette. Tout cet édifice avait une ombre, et un effritement invisible s’était produit en même temps. Comme une maladie virale avec une longue période d’incubation secrète. Jeune policier, il croyait dur comme fer qu’on pouvait tout résoudre sans utiliser la violence. Puis progressivement s’était installée une situation où il n’était jamais possible d’exclure le recours à la violence. Aujourd’hui, ce glissement progressif était arrivé à son terme
Était-il encore possible de résoudre des problèmes sans avoir recours à la force ? S’il en était ainsi - et il le craignait de plus en plus l’avenir lui faisait peur. La société avait fait un tour sur elle-même et était devenue un monstre." (p. 548)
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Wallander alla à sa fenêtre.
Quelque chose continuait de l'inquiéter.
L'idée qu'il était malgré tout sur une fausse piste.
Qu'est-ce qu'il ne voyait pas?
Il se retourna et regarda dans son bureau comme s'il était entré un visiteur invisible.
C 'est comme ça, se dit-il. Je poursuis un fantôme. Alors que je devrais rechercher un être vivant. Qui se trouve peut-être chaque fois dans un endroit différent de celui où je regarde.
Il demeura dans son bureau à étudier le dossier jusqu'à minuit.
Ce n'est que lorsqu'il quitta le commissariat qu'il se rappela le tas de linge sale resté sur le sol de son appartement.
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Dès l'aube, il entama sa transformation.
Il avait tout bien étudié pour réussir. Cela lui prendrait toute la journée, et il ne voulait pas risquer de manquer de temps. Il saisit le premier pinceau et le tint devant lui. Par terre, le magnétophone passait la cassette qu'il avait préparée, avec les tambours. Il regarda son visage dans le miroir. Puis il traça les premiers traits noirs sur son front. Il constata que sa main ne tremblait pas. Il n'était pas nerveux. Pourtant, c'étaient ses premières vraies peintures de guerre. Jusqu'à cet instant précis tout cela n'avait été qu'une sorte de fuite, sa manière à lui de se défendre contre toutes les injustices auxquelles il avait été sans cesse confronté. Mais maintenant, c'était la grande transformation, pour de bon. A chaque trait qu'il se peignait sur le visage, c'était comme un morceau de son ancienne vie qu'il laissait derrière lui. Il n'y avait plus de retour possible. Ce soir même, le temps du jeu serait définitivement révolu, il allait entrer dans la vraie guerre, celle où les gens meurent pour de bon.
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Un guerrier, se dit-il. Un guerrier d'un peuple primitif.
Il sut tout de suite qu'il avait raison. L'homme qu'ils recherchaient était un guerrier solitaire qui suivait le sentier invisible qu'il s'était choisi. Il imitait. Tuait à coups de hache, découpait des scalps, se déplaçait pieds nus. Pourquoi un indien se déplaçait au beau milieu de l'été suédois et tuait-il des gens? Qui tuait les gens en fin de compte? L'indien ou celui qui jouait son rôle?
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Jo Nesbø Éclipse totale, une enquête de l'inspecteur Harry Hole Éditions Gallimard
« Voici le grand retour de Harry Hole, l'inspecteur préféré de Jo Nesbø qui est, comme on le dit toujours, le digne héritier de Henning Mankell. Voilà ça fait treize ans que ce héros existe qui lutte contre les psychopathes et autres, il est assez spécialisé dans le genre. Ici, on le retrouve un peu comme d'habitude au bout du rouleau, au fond du trou, plus alcoolique que jamais. Il va faire la connaissance d'une actrice qui a un gros gros besoin d'argent, qui est poursuivie, qui est menacée de mort et il va quelque part se rendre lui aussi victime de cette mafia... » ©Marie-Joseph Biziou, libraire à La Procure de Paris.
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