Faire des dettes chez les gens qui n'ont pas assez, c'est accroître le désordre, multiplier les infortunes. Devoir aux gens qui ont trop, c'est, au contraire, compenser les misères, et tendre au rétablissement de l'équilibre social.
Se donner la mort parce qu'on ne peut payer ses dettes, et qu'on en a cependant l'intention, est, de tous les moyens à employer, le plus sot. S'il est vrai qu'on se doive à ses créanciers, on doit vivre pour eux, et non pas mourir.