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EAN : 9782358870009
510 pages
La Manufacture (25/03/2009)
2.82/5   19 notes
Résumé :
Gangsters tourmentés, policiers calculateurs, tueurs sans foi et religieux sans loi n'estimaient pas devoir craindre une vieille dame.
Après ce qu'ils lui avaient fait subir, ils avaient tort. Car sa vie était plus longue et plus riche que la leur, ses amitiés plus solides, son esprit plus subtil, sa souffrance et sa soif de vengeance plus terribles.
Que lire après La vieille dame qui ne voulait pas mourir avant de l'avoir refaitVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
J'ai adoré la première moitié de ce roman... Waouh !!!

Ensuite ? On se croirait dans les tontons flingueurs, non que ce soit désagréable, mais je ne veux pas dévoiler l'intrigue...

Cela reste un roman très puissant sur les implications des voyous avec la police et le monde politique. Il doit y avoir du vrai, et c'est glaçant.

Roman très inhabituel, mais très agréable à lire. Y a les gens normaux ou presque, les truands, les policiers véreux ou non et les politiciens haut placés ou non...On touille très fort, et ça donne cette histoire très humaine. Dans les bons ou les mauvais travers.

Une seule question ? Je ne vois pas le rapport entre le titre et cette histoire...
J'ai aimé.
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La Manufacture de Livres fête ses 10 ans cette année et a choisi de republier 10 de ses romans emblématiques.
C'est une excellente occasion de découvrir, ou redécouvrir, certains de ces titres.
Ce mois-ci, c'est le tout premier titre de la maison qui ressort avec un nouvel habillage selon la nouvelle charte graphique.
Et, pour moi, c'est le syndrome de la page blanche de la chronique... c'est bien la première fois pour un roman que j'ai aimé.
Je pourrais faire comme d'autres et aller lire des articles sur le net et piquer quelques phrases par ci par là et faire des copier-coller.
Je pourrais faire la chronique passe partout emphatique : quelle claque ! un page-turner dont vous ne ressortirez pas indemne, un thriller haletant que vous lirez en apnée... bref vous voyez ce que je veux dire.
Mais comme ce genre de pratiques m'insupporte et relève plus de l'incompétence que d'autre chose, je reste devant ma page blanche, ne sachant pas comment ne serait-ce que débuter le texte.
Et puis j'ai lu un avis de Kim, de la librairie Ombres Blanches à Toulouse. « Un polar extravagant. L'auteur a su donner du corps à la valse folle des personnages qui peuplent ce roman et en fait une véritable épopée menée à un rythme d'enfer. »
Alors je vais commencer par être un peu vilaine car pour moi, ce n'est pas un polar. L'histoire n'est basée sur aucune enquête policière mais sur une vendetta menée par une mamie, mémé Pauline.
Mémé Pauline, donc, est une ancienne activiste qui a oeuvré dans beaucoup d'endroits par sa jeunesse, jeunesse quelque peu « caliente » on dira. Veuve, elle a élevé Paul et Princesse, ses petits-enfants dont les parents sont décédés alors qu'ils étaient très jeunes. Princesse, droguée et prostituée, revient à la maison après des mois sans aucune nouvelle. Ses proxénètes finissent par la retrouver et l'abattent, elle et Emma, la femme de Paul. Pauline va lors enclencher les grands moyens pour retrouver les responsables et les éliminer.
Là où je rejoins totalement Kim c'est sur le côté extravagant apporté par toute cette galerie de personnages très originaux. C'est noir, c'est rouge mais c'est aussi drôle et coquin. On pourra trouver l'écriture parfois cynique mais je n'y vois que de l'humour noir.
« Un rythme d'enfer » est vraiment le terme approprié, même quand l'auteur s'attarde sur le passé de certains protagonistes.
Alors oui, c'est un petit peu saignant dans certains passages, c'est parfois un peu vulgaire, un peu chaud mais c'est aussi ce qui apporte un peu de piment à cette histoire qui repose plus sur ses personnages que sur l'intrigue que l'on pourrait considérer comme classique mais qui réserve, tout au long du texte, des événements totalement inattendus.
Alors je dirai juste merci et bravo à la Manufacture de Livres pour avoir voulu rééditer ce roman à côté duquel je serais passée sans cela.

Lien : http://www.evadez-moi.com/ar..
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Ce livre était presque interminable. 500 pages dont le titre était le préalable à la longueur des pages.
Trop de descriptions, trop de phrases qui ne servent qu'à alourdir le volume de pages, 300 à 350 pages auraient été suffisantes pour faire de cette histoire un bon polar.

L'idée était pourtant originale et les personnages bien trempés, raisons pour lesquelles je me suis accrochée à lire jusqu'au bout.
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L'histoire d'une vieille dame qui se donne pour ultime mission de venger sa petite fille, maltraitée par maquereaux et dealers. Ces tribulations familiales vont prendre des proportions fascinantes et les mafieux n'ont qu'à bien se tenir.
Tout est cyniquement génial dans l'oeuvre de Margot D. Marguerite, l'humour noir n'y est jamais oublié mais c'est cette si subtile absurdité qui donne au roman toute sa force.
Espérons que la réédition de ce polar extravagant lui donnera de nouveaux lecteurs !
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Un livre long très long ... déprimant très déprimant ... le titre ne correspond pas à l'histoire, on a du mal à identifier dans les 250 premières pages qui sont les héros et le "tous pourris" n'arrange rien. Quelques scènes de violence. Pour paranos ...
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Parce qu'ils n'ont jamais cru en Dieu, qu'ils pensaient que la seule preuve de notre existence est notre corps, que la religion est une invention de l'homme pour s'arranger avec la vie et la mort et que si les gens acceptaient la mort il n'y aurait pas de religion et le monde irait mieux.
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On est toujours seul. On naît seul, on meurt seul. Comme moi, merde, comme nous tous.
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On dirait une 4 L repeinte. Quelle saloperie de vieillir. Quoiqu'on fasse, vacherie, on devient pitoyable.
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Se confier n'est pas se plaindre
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