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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je suis vraiment très heureuse que Renaud Marhic m'est de nouveaux contacter pour découvrir ces nouveaux tomes de sa série.

Comme d'habitude, j'ai passé un très bon moment avec ce livre. L'histoire est toujours pleine d'humour et j'ai lu une aventure rocambolesque. J'ai été étonné de ne pas rencontré un nouveau lutin, mais un Groumf ressemblant étrangement un yéti, mais ne vous y méprenez pas, ce n'en est pas un.

Je suis très heureuse de retrouver Gustave qui subit toutes ces aventures à ses dépens. J'adore ce personnage qui à la tête sur les épaules, mais qu'il n'est plus vraiment crédible quand les lutins rentrent en action. Je pense que mon personnage préféré de ce tome est le troll avec ces pieds puants. Il est vraiment très amusant !

J'ai beaucoup aimé les " Psssit " de l'auteur qui sont un vrai régale. Renaud apporte précision utile ou non avec beaucoup d'humour.

Quelques images jalonnent le livre, elles sont super sympas, je regrette seulement qu'elles ne soient pas plus nombreuses.

En bref: Ce tome 4 est une totale réussite qu'on peut lire indépendamment des autres. Une histoire rocambolesque avec des personnages amusants, c'est la garanti de passer un moment absolument délicieux.
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Le point fort de ces livres est vraiment l'humour avec notamment les petits «psssit». Donc comme vous vous en doutez en commençant ce livre je m'attendais a rire et je n'ai pas été déçu entre les «psssit» et les petites référence au marque déformé que fait l'auteur, surtout une qui m'a fait me questionner pendant toute la lecture du roman et même après, un pays s'appelle le «Pépettochistan», et j'hésitais sur le faîtes que ça vient des gâteau les Pépito, ou sur une ville que j'avais vus en histoire qui finissais pareil, résultat j'ai demandée à l'auteur et j'avais tort, je vous laisse devinez ce que ça voulais dire.;) L'histoire avec Gustave est super, vraiment ce personnage est très attachant et ça m'arrive de me reconnaître en lui, il a cette façon de ne pas vouloir dire quelque chose mais de finir par le dire sans faire exprès, et le faite qu'il croît en tout, même en des lutins alors que beaucoup n'y croient pas. Les quelques apparition du professeur avec son apprenti sont géniales, les deux personnages son attachants et drôle. Mais contrairement aux tomes précédents ça l'a moins fait pour moi au niveau des lutins (là du Groumf) je n'ai pas réussi a les apprécier, le lutins l'accompagnant étant celui que j'aimais le moins n'a pas arrangé la chose. La lecture a tout de même était vraiment très bien, même si pour moi elle est un peu en dessous des tomes précédent, parce que j'avais adorer les lutins principaux (en plus on voit le nain jaune a un moment dans ce tome et lui je l'adore vraiment).

Je conseille tout de même cette saga a tout le monde, les petits comme les grands, les plus jeunes seront ravis de rencontrer ces lutins et ce monde, et les plus vieux pourront rire a des petites références que leur cadet ne comprendrons pas forcément.
Lien : http://brendouillebiblio.blo..
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A chaque fois que je commence un tome des Lutins urbains, je me dis que je suis peut-être trop vieille pour ce genre d'histoires, et en fait non. Car mon âme d'enfant se régale et mon côté adulte y trouve suffisamment de référence. Et puis je dois avouer que les lutins sont originaux et attachants, je prends toujours plaisir à les retrouver.
Il y en a un autre que j'apprécie toujours autant, c'est Gustave. le pauvre se retrouve toujours au milieu des ennuis !

J'ai apprécié chaque page de ce roman, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et les notes en bas de page sont toujours aussi amusantes. Vraiment cet univers déjà riche s'étoffe à chaque nouveau tome et c'est un plaisir de s'y plonger.
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Envie d'un road trip en compagnie d'un Troll qui pue des pieds et d'un Groumf, sorte de yéti-qui-n'en-est-pas-un ? Alors embarquez avec Gustave Flicman et en route pour l'aventure, vous ne le regretterez pas !

Imaginez le Groumf : une sorte de grand yéti gris en culotte de peau armé d'une massue, obnubilé par les doudous qu'il vole aux jeunes enfants, friand de saucisses et pouvant transformer la réalité à sa guise. Mieux vaut ne pas le contrarier ! Alors quand le jeune Gustave Flicman - qui a quitté la police pour devenir Agent Sécurisation et Bien-être au service du président - a pour mission de récupérer le serpent en peluche dérobé au jeune pacha-héritier Pépett, on se dit que cela ne va pas être une partie de plaisir ! Heureusement Gustave peut compter sur l'aide (plus ou moins efficace) du professeur B et de Loligoth, les représentants farfelus de l'Université d'Onirie...

J'ai retrouvé l'ambiance des Lutins urbains avec beaucoup de plaisir. Volume après volume, l'histoire est toujours aussi agréable à lire. L'humour est omniprésent, composé de jeux de mots et de situations toutes plus loufoques les unes que les autres. Il y a plusieurs niveaux de lecture possibles selon l'âge du lecteur, ce qui en fait une excellente lecture à partager en famille. En tant qu'adulte je me suis régalée avec les jeux de mots et les situations cocasses, il n'y a vraiment pas d'âge limite pour apprécier Les lutins urbains. Outre l'humour, il y a beaucoup d'action et de courses poursuites qui maintiennent l'intérêt des jeunes lecteurs tout au long du roman. de plus l'auteur se met en scène et s'adresse directement aux lecteurs à l'aide de notes de bas de pages introduite par des « Psiiiiit ! », leur demandant même de l'aide à l'occasion : j'adore ces notes de bas de page, souvent hilarantes, qui nous donnent l'impression de faire partie de l'histoire. Que dire d'autre pour vous convaincre de lire le péril Groumf (ou le premier tome des Lutins urbains, si vous ne connaissez pas cette série) ? C'est inventif en diable, les personnages sont variés et attachants, le monde imaginé par l'auteur Renaud Marhic est original et cohérent et donne envie d'en découvrir à chaque fois un peu plus. Et pour ne rien gâcher, des dessins noir et blanc illustrent fidèlement certains passages du texte.
Lien : https://andree-la-papivore.b..
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Muté auprès du Service Sécurisation et Bien-être du Président, notre ami Gustave Flicman, déjà héros malgré lui de trois précédentes aventures, est le témoin d'un incident auquel apparemment lui seul assiste, ses collègues chaussés de lunettes noires regardant ailleurs.

Gustave a bénéficié d'une promotion après avoir sauvé la Grosse Cité d'un péril décrit précédemment, et en ce moment, costume noir et lunettes idem, il doit assurer la sécurité d'un visiteur : le PDG du Pépettochistan accompagné de son gamin, turbulent comme il se doit. Affublé de vêtements hétéroclites, le gamin porte en bandoulière un serpent. Horreur, malheur... Vérification faite, il s'agit d'une peluche. Ouf, on a eu chaud, pense Gustave qui admire la voûte.

Une sorte de yéti, un animal à fourrure grise vêtu d'une culotte de peau et armé d'une masse (examinez la couverture) s'introduit dans la salle par une fenêtre du plafond. Une véritable tornade qui déboule, s'empare de la peluche sacrée du pacha-héritier, et pfouittt (ou bruit similaire) l'espèce d'animal se fait la malle.

Gustave Flicman est tout autant embêté que gêné, car lorsqu'il raconte la scène à laquelle il a assisté, il dit tout ou presque. le commissaire Velu, son ancien supérieur, l'encourage fortement à continuer d'assurer sa mission au Service Sécurité et Bien-être, l'avenir du pays en dépend. En effet le Pépettochistan, et son PDG, Pacha Directeur Général anciennement Pacha Dictateur Général, est le principal fournisseur en énergie, et si le fiston ne récupère pas sa peluche, les conséquences seront terribles.

Alors Gustave poussé par sa conscience, un peu, et le Supérieur Inconnu qui dirige la BRO, Brigade de Répression de l'Onirisme, beaucoup, se met à la recherche du Yéti et de la peluche qu'il a glissée sous une bretelle de sa culotte de peau, à bord d'un tracteur urbain, 4X4 équipé d'un système de conduite assistée parlante.

C'est à ce moment, mais cela aurait pu être à un autre mais c'est maintenant, que se manifestent le Professeur B. et son assistante la jeune Loligoth en s'installant dans son véhicule de fonction. Et voilà Gustave entraîné à son esprit défendant, et à son corps aussi, à la lisière du Pays d'Onirie et de la normalité, à la recherche du Yéti, qui se présente spontanément à lui accompagné du Lutin aux pieds de fromages (humez cette odeur !) appelé aussi le Troll.

Les péripéties vont s'enchaîner en cascades, Gustave Flicman n'a pas le temps de souffler, le lecteur non plus, et les rencontres imprévues vont se succéder, se catapulter, se métamorphoser, comme dans un rêve, sauf que pour Gustave il s'agit bien d'une réalité, attraper la queue du Mickey dans ce cirque effréné. Quand je dis la queue du Mickey, il s'agit bien entendu du serpent à poil, le doudou du Pacha-junior.

La route est belle, sur le papier, car les impondérables que vont rencontrer Gustave Flicman et le duo, le Yéti et le Troll, qui s'entendent comme larrons en foire, les entraînent dans un voyage périlleux semé d'embûches, qui ne sont pas de Noël.



Le péril Groumf est la quatrième aventure de Gustave Flicman, le jeune policier qui parfois philosophe sans s'en rendre compte, ou alors si, mais il ne l'avoue pas de peur d'être pris pour celui qu'il n'est pas.

Evidemment, quand on voit ce à quoi la croyance des adultes a donné vie, on devine ce qui nous attend avec celle des enfants...

Un univers dédié aux enfants, dans lequel l'adulte a du mal à trouver sa place, sauf s'il a gardé, préservé, l'innocence qu'il n'aurait jamais dû perdre. Et ce n'est pas en se rendant aux objets trouvés qu'on peut la récupérer cette innocence, cette candeur, cette ingénuité qui manque tant aux adultes, mais en cultivant tout jeune et même avant cette forme d'esprit qui permet d'accepter tout et son contraire sans pour autant se montrer naïf.

L'on ne peut s'empêcher de songer à Lewis Carroll et à son Alice au Pays des Merveilles, une dégringolade horizontale dans un univers décalé, déjanté, désaxé, abracadabrantesque, féérique, merveilleusement incorrect (j'ai emprunté la citation car je l'aime bien, quoiqu'elle ne soit pas de moi) et onirique.

Si ce roman est destiné à des enfants, d'après l'éditeur de 6 à 9 ans, les adolescents de 10 à 110 ans pourront se délecter à cette lecture, et je doute personnellement que l'auteur, à vérifier auprès de ses papiers d'identité, soit encore un enfant et pourtant il s'amuse comme un petit gamin à décrire, à écrire, à rédiger, à délivrer ces récits farfelus, loufoques, mais qui font du bien en nous changeant d'une réalité morose.


Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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J'ai été agréablement surprise par l'objet dont la couverture, d'un orange pétant, est rigide. Ah ! Quel plaisir ! Tous les livres pour enfants devraient être ainsi, afin de ressembler à une vraie invitation à la lecture ! le titre, comme la couverture, annonce facéties et aventures. Des illustrations ponctuent le récit et en renforcent l'humour.

Ensuite, je trouve le style de Renaud Marhic pétillant. Ses dialogues sont enlevés. Il sait parfaitement jouer sur les différents registres de langue et ne recule jamais devant un bon mot, une petite allusion ou même une petite blague. Ses notes de bas de page (qu'il rebaptise Psiiiiiit !) - Vous savez ?, ces affreux commentaires extrêmement pointus que tout le monde déteste en vrai parce qu'ils vous font perdre le fil de l'histoire, mais dont vous besoin quand même pour éclairer le contexte gnagnagna... -, sont délicieusement drôles ! L'auteur s'adresse à ses lecteur.ice.s, leur rappelle les tomes précédents : Mais siiiii, tu sais ? Machinnnnnn !, digresse pour le plaisir, voire nous fait tourner en bourriques. Enfin, il n'hésite pas à mélanger les genres, celui du conte, celui du roman policier ou du thriller, le roadtrip, le fantastique, allant même jusqu'à revisiter le roman picaresque de Don Quichotte.

L'univers est truculent, aussi coloré que la couverture du livre. L'imagination de l'auteur est sans fin, tant elle joue sur le folklore (Un lutin pour chaque petit désagrément !) et sur la parodie. En effet, Renaud Marhic en profite pour écorcher un peu notre société en poussant la sponsorisation jusqu'au bout : les commissariats sont rebaptisés par le nom d'un sponsor, qui n'est pas sans faire penser à des marques de sport bien connues. La modernisation, elle aussi, est poussée jusqu'au bout : la technologie parle, conseille, intervient à tout bout de champ et l'humain l'écoute respectueusement, sauf quand elle est interrompue par la transmission d'une oreillette ou d'un drone... Tout en saupoudrant ses pages d'anecdotes savantes, l'auteur aborde aussi quelques sujets de société, par petites touches légères : l'homosexualité, l'écriture inclusive (😎), l'éducation laxiste 😜... Ce qui est sûr, c'est que, même si les Lutins urbains s'adresse au jeune public, Renaud Marhic a bien compris qu'il ne parlait pas à des crétins : ainsi, il lance toutes les perches susceptibles d'être attrapées. (...)

J'ai passé un bon moment de lecture : j'ai trouvé le péril Groumf alerte, taquin, enlevé, différent. le style de l'auteur et son imagination sont un très grand point fort.

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