Je termine "
La prophétie du dernier jour".
Bon, je ne sais pas par quoi commencer.
Aller, je me lance.
Tout d'abord l'édition: des fautes de traduction, des fautes d'orthographe, des erreurs typographiques, pas de quoi emballer le lecteur. À force de suivre le cours de l'intrigue pour rectifier les fautes avec un stylo, on a tendance à se lasser.
L'intrigue: elle aurait pu être déterminante. Hélas, on nage en plein film d'action de série B (ceux avec Dolf, vous voyez de quoi je parle). Et c'est dommage, un autre traitement aurait pris plus de valeur. Action, démolition... et on a du mal à se figurer les images.
Les personnages: ça démarre pas si mal que ça l'histoire du type qui veut reprendre le cours de sa vie. Mais il est si vite rattrapé par ses habitudes qu'il en deviendrait presque pathétique.
Un roman de gare... non, faut pas dénigrer un genre qui connait un certain talent. Un roman américain de seconde zone. Décidément je n'ai pas de chance en ce moment!