Petit arrêt sur la quatrième de couverture :
- Une énigme liée à l'art et une course poursuite, un résumé qui avait tout pour me plaire.
- « un mélange de James Bond et de Jason Bourne » et la mafia russe. Alors là par contre tout ce que je n'aime pas
La quatrième de couverture annonçait du bon et du moins bon au vu de mes gouts et tout allait se jouer sur la proportion entre les deux. Pas de chance pour moi, l'art est très secondaire et l'histoire tourne plus sur la fuite d'un homme à abattre qui se fait courser par X camps différents. Je n'accroche pas à ce type d'histoire c'est effectivement très James Bond, très guerre froide donc pas pour moi. En revanche, si c'est le genre d'ambiance que vous aimez, c'est vraiment un bon livre. L'écriture est fluide et visuelle, les personnages bien travaillés et on a assez de groupes différents chassant le héros pour créer un récit complexe et haletant.
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Dés lors que je l'ai commencé, je n'ai pas réussi à en décrocher ! L'histoire est prenante, le scénario poussé , bien écrit, j'adore !
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Particulièrement prenant.
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Le prince était un grand érudit. Il appréciait avant tout la littérature classique et la mythologie. Il avait lu Ovide, Homère et Virgile, dans la langue originale, le grec ou le latin. Et le thème de cet œuf devait refléter sa passion pour l’Antiquité. Il avait cette hauteur environ – elle écarta les mains d’environ vingt centimètres à la verticale – et il était en or blanc incrusté de diamants. Des scènes de la mythologie étaient peintes sur son contour extérieur. Pourtant, la pièce la plus précieuse se trouvait à l’intérieur. Chaque œuf réalisé par Fabergé contenait une « surprise ». C’était parfois un merveilleux bijou, parfois un portrait en miniature ou une icône. Celui-ci contenait un minuscule buste en pierre précieuse de l’une des créations les plus infâmes et les plus terribles de la littérature classique : Méduse.
Un héros explosif qui ressemble à Indiana Jones , James Bond et Jason Bournes...et l'on pourrait en ajouter d'autres.
Les gens font des erreurs, certes. Mais ils n’attendent pas la veille de leur mort pour commencer à se repentir.
Les souvenirs du bon vieux temps. Chacun savait au plus profond de lui-même qu’il avait bien profité de la vie. C’était rétrospectivement une sensation douce-amère, mais ils savaient tous que ce jour finirait par venir. Ils savaient tous à qui ils avaient affaire. Il en allait tout simplement ainsi dans le monde qu’ils avaient choisi il y a longtemps. Pourvu que les choses ne traînent pas. C’est tout ce qu’ils pouvaient demander à présent.
Le crime semblait schizophrénique de nature, contradictoire dans les termes. C’était comme si la phase de planification avait été conduite par le genre de personne tout à fait approprié pour le job : quelqu’un d’extrêmement prudent, de méticuleux et de méthodique ; puis que l’exécution avait été confiée à quelqu’un au tempérament complètement différent… à un psychopathe.