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Soeur des cygnes tome 1 sur 2

Hélène Bury (Traducteur)
EAN : 9782841724765
350 pages
L’Atalante (15/09/2009)
4.3/5   79 notes
Résumé :
Au domaine de Sep­te­naigue, au cœur de la forêt, vivait une fratrie de sept enfants dont Sorcha, la benjamine, était la seule fille. Leur mère était morte, leur père toujours en campagne militaire contre les Bretons. Mais un jour il décida de se remarier…
Ainsi commence l’aventure de Sor­cha. De l’Irlande aux côtes britanniques, une longue et douloureuse épreuve l’attend pour sauver ses frères d’une cruelle malédiction.
Inspirée d’un conte de Grimm, S... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Cela fait un moment que j'ai ce livre dans ma PAL, et je me souviens l'avoir acheté grâce aux chroniques très positives que j'avais pu lire ici et là. Cependant, avant de le commencer, pour m'encourager un peu (parce qu'avec le temps, le livre ne me disais plus grand chose finalement...), je suis allée à la recherche de chroniques. Des chroniques qui, bien que très positives, m'ont fait penser que j'allais peut-être bien m'ennuyer (ce que je pressentais) car ce qui ressortait était l'absence d'action et le fait que ce soit un roman beau et contemplatif, ce qui n'est pas forcément ma tasse de thé. du coup, ce n'est pas forcément du bon pied que je l'ai commencé.

Les premières pages m'ont tout d'abord donné raison. L'héroïne nous raconte son enfance, son lien avec ses frères et son père. Il faut plus d'une centaine de pages pour voir tomber la malédiction promise par le résumé. Mais même si je l'attendais un peu, je ne me suis pour autant pas ennuyée pendant toutes ces pages.
Le roman m'a en effet très rapidement prise dans ses filets, en à peine quelques pages. Car, oui, c'est lent, en partie parce que l'auteur prend le temps de poser toutes les bases de ses personnages et une atmosphère particulière. Mais l'auteur sait nous emmener ailleurs avec ses mots. Elle sait rendre son style captivant. Et en ne précipitant pas les choses, l'auteur parvient à rendre les émotions et les sentiments de ses personnages d'un réalisme stupéfiant. Elle creuse l'humanité de ses personnage et leur psychologie est poussée et réaliste.

Lorsque l'héroïne nous parle des contes de son enfance, on a l'impression d'une mise en abîme, car ce livre est aussi un conte, un conte cruel et noir, à l'atmosphère mystique et dont l'héroïne est Sorcha.
Ce n'est donc pas un conte gentillet que vit Sorcha. Loin de là. C'est même aussi cruel que les récits mythologiques que l'on peut connaître et que Sorcha raconte parfois. Les épreuves qu'elle doit surmonter dépasse l'entendement. Pour tout dire, à chaque fois que je lisais que l'héroïne n'avait pas encore subi la pire des épreuves (puisque Sorcha nous raconte son histoire au passé), je me disais que ce n'était juste pas possible. Il était difficile pour moi d'imaginer encore pire. Heureusement pour elle, Sorcha dispose d'une force morale assez hallucinante, aidée par l'amour qu'elle voue à ses frères. Cependant, elle reste humaine, et ces épreuves la marquent à jamais. On sais pertinemment que ses frères et elle, ne seront plus jamais ceux qu'on a connu au début du récit. Et ça, c'est très douloureux pour le lecteur.
Le récit de Sorcha m'a émue, car les pertes sont dures, parfois insoutenables. À chaque page tournée, je craignais pour les protagonistes. Il y a des passages du roman insupportables, qui m'ont complètement retourné. Sans que l'auteur fasse pourtant dans le voyeurisme, car cela passe en grande partie par les émotions et les mots.

Chacun des frères de Sorcha a une personnalité unique, et ils sont tous aussi attachants les uns que les autres. Certains sont plus spéciaux que d'autres, mais ils se vouent tous un amour sans bornes. J'ai personnellement un faible pour Finbar. Un jeune homme passionné, intègre, silencieux et rejeté injustement par son père (je ne vous raconte pas comme leur père m'a énervé !).
L'amour qui lie Sorcha et ses frères est si fort qu'il m'a émue. Et il en faut pour me toucher ! C'est beau. Tout simplement. S'il y a bien un aspect de ce roman qui me rendait anxieuse d'ailleurs, c'est l'idée même que toutes les épreuves que doivent traverser Sorcha et ses frères ne viennent à bout de l'amour qui lie cette fratrie. On s'y attache tellement que c'est une peur constante.

Le folklore irlandais est quant à lui bel et bien présent, conférant une ambiance magique au roman grâce aux contes, aux créatures, à la magie. Ce n'est cependant pas une magie flamboyante à laquelle nous avons affaire, mais plutôt discrète, en filigrane, presque naturelle. D'ailleurs, les manifestations de créatures magiques sont tellement normales pour Sorcha qu'elle ne se pose pas de questions. Elle a grandi dans ces croyances et cela fait partie de son univers.
En arrière-plan se trouve également le conflit avec les Britons, la guerre qu'on ne voit pas puisque le domaine de Septenaigue est à l'abri, mais dont les conséquences sont visibles chez les personnages surtout. C'est un aspect beaucoup plus réel que le reste, mais tout aussi cruel.

Après, concrètement, j'aurais aimé que le roman aille plus loin. Mais pour autant, je n'ai pas ressenti de longueurs, il n'y a pas eu de passages où j'ai dû lutter contre mon ennui, malgré le fait que l'auteur détaille les années qui passent. Ce qui est assez hallucinant en soi. Car l'héroïne nous raconte son enfance, ou du moins une partie, et je pensais subir un peu le récit comme d'habitude lors de passages pareils, mais en fait, au fur et à mesure des pages, je me suis surprise à ne plus vouloir lâcher le bouquin tant je voulais connaître la suite à chaque fois. Et c'est là que je me disais qu'il me fallait impérativement la suite sous la main, alors que je le commençais à peine.

En fin de compte, ma vraie grande déception vient de la disparition d'un de mes personnages favoris. On nous dépeint un jeune homme très intéressant, qui évolue et qui à matière à évoluer encore, mais alors que je voyais en lui le potentiel pour devenir un personnage important, l'auteur le fait disparaître. J'ai attendu sa réapparition tout au long du récit en vain. Je m'attendais clairement à autre chose, à ce qu'il devienne un des protagonistes principaux de l'histoire de Sorcha. Et je reste assez dégoûtée vu le potentiel...
La place qu'il aurait pu avoir est finalement remplie par un nouveau personnage qu'on rencontre en fin de roman et qui me plaît beaucoup moins. Il a l'air trop parfait : fort, viril, chevaleresque, ... Mouais. C'est pas ma tasse de thé quoi.

Voilà donc une histoire magistralement racontée par son auteur, enchanteresse, où chaque personnage est creusé et où les émotions sont retranscrites avec un tel degré de réalisme et d'humanité que c'en est stupéfiant. Autant vous dire que je n'avais même pas encore fini le roman que j'avais déjà hâte de lire la suite. D'autant que l'histoire commence à peine ici (ce qui est peut-être un peu désagréable par contre...).
Lien : http://lesvictimesdekelith.b..
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On m'avait conseillé Soeurs des cygnes de Juliet Marillier il y a très longtemps ! J'ai l'impression que beaucoup de personnes l'ont lu et apprécié, pourtant je l'ai assez peu vu passer sur les réseaux sociaux et la blogosphère. Il faut dire que la sortie date un peu ! Entre réécriture de conte et ambiance celtique, c'est prometteur.

Ce qui surprend avec Soeurs des cygnes, c'est que l'autrice prend vraiment le temps de mettre en place son histoire. le début du roman nous raconte l'histoire de Sorcha, avec six frères plus âgés, qui vit dans l'Irlande médiévale. C'est une figure inhabituelle qui touche par son indépendance. On suit les relations complexes qu'elle entretient avec son père et ses frères, sur fond de conflit avec les britons. Elle connaît également le secret des plantes, ce qui la rend utile envers les gens du village voisin et lui donne un certain pouvoir. Ainsi, les cent premières pages sont dédiées à cette mise en place.

Mais le récit n'est pas ennuyeux pour autant. L'autrice a une grande délicatesse dans la façon dont elle construit ses personnages. Ils sont tous crédible et attachants, avec des personnalités bien définies, parfois un peu trop pour les frères qui s'engoncent dans quelques traits de caractères marquants qui les coincent dans des rôles. Mais cet aspect ne gène pas vraiment car on comprend très vite que l'on est dans l'archétype d'un conte, certes, mais cruel et sombre.

Les événements s'accélèrent quand la belle-mère fait son apparition. C'est une femme d'apparence agréable, mais très vite des événements dramatiques ont lieu autour d'elles. Maladie soudaine, violence inexpliquée… On comprend que l'on fait face à une créature maléfique dont on ne connaît cependant pas la vraie nature. le roman ne manque ainsi pas de nous plonger des scènes cruels, rappelant à plusieurs reprises que le chemin qui mènera Sorcha à la liberté sera long et semé d'embûches.

L'aspect conte se retrouve également dans le folklore local. Les vieilles traditions n'ont pas été éteintes par la chrétienté. Il n'est pas rare de croiser quelques membres du bon peuple au détour de la forêt, qui partageront un peu de leur sagesse et de leur mystère. de même, la magie et le druidisme sont distillés avec discrétion mais bien mis en avant. Quand c'est mêlé à l'importance donnée à la nature et à la forêt, on retrouve une histoire aux marqueurs très celtique réjouissante.

Soeurs des cygnes est un beau roman qui ravira les amateurs de culture celtique et de réécritures de contes. L'autrice nous propose une oeuvre intelligente avec une héroïne qui ne manque pas de caractère. Sorcha, déjà indépendante, devra se tailler son propre chemin pour sauver ses frères. Si l'histoire met beaucoup de temps à se mettre en place, la plume délicate de l'autrice permet de bien comprendre les enjeux et le fonctionnement de l'univers. L'écriture permet également de parfaitement distiller les quelques éléments magiques qui apportent à l'histoire une touche mystique. Mais attention aux âmes sensibles ! le récit n'épargne pas ses personnages.

Lien : https://lageekosophe.com/202..
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La quatrième de couverture nous présente cette série comme une fantasy médiévale irlandaise inspirée du conte de Grimm. Rien que ça.
Tous les ingrédients sont réunis pour me faire chavirer, difficile de faire plus tentant. Et pourtant, à la fin de ce premier tome (le découpage français équivaut à la première moitié du tome en VO), je n'ai pas été transportée autant que je l'aurais cru.

Sorcha et ses 6 frères aînés vivent au coeur du domaine de Septenaigue. Leur père est en guerre contre ceux qui vivent sur l'île d'à côté – les Britons (petit aspect historique bienvenu) – mais leur quotidien est plutôt heureux malgré l'absence de leur mère (morte en mettant Sorcha au monde).
Les frères et soeurs naviguent entre les études, les travaux pratiques, l'apprentissage des armes, les jeux au milieu de la nature irlandaise et les réceptions au château. Les 7 enfants, bien que d'âges, de caractères et d'aspirations totalement différents, sont très unis – les 6 frères ayant à coeur de prendre soin de leur petite soeur -… jusqu'à l'arrivée de Lady Oonagh, leur future nouvelle belle-mère.

Bien sûr, comme dans tout bon conte qui se respecte, après l'exposition de la situation initiale – ici assez longuette bien que très intéressante – l'élément déclencheur fait son apparition (un remariage avec une méchante belle-mère). La paix familiale vole en éclats, l'ordre établi n'est plus ; une malédiction s'abat sur les enfants. Les 6 garçons sont changés en cygnes et disparaissent de longs mois, seule Sorcha peut lever le sort.
Mais l'adolescente d'à peine 13 ans va pour cela devoir faire preuve de patience et va endurer la solitude extrême (elle ne doit absolument rien révéler à personne), la douleur et la peur. Quelques scènes sont d'une rare violence… mais une jeune adolescente de 13 ans, seule dans la forêt à la merci de tous, vous imaginez le genre de rencontres qu'elle peut faire.

D'ailleurs préparez-vous, les scènes sauvages et isolées, au coeur de la verdure, sont légion. le rythme du récit est lent, surtout au début lorsque Juliet Marillier met en place son décor et ses différents personnages. Mais cela vaut le coup de continuer plus loin car une fois la malédiction lancée, les choses s'accélèrent. L'introspection est toujours très présente et les dialogues très rares mais le voyage est dépaysant.
J'ai retrouvé la nature verdoyante irlandaise que j'aime tant et surtout ces touches de folklore « celtique » fort à propos. Car si un prêtre catholique est admis – et apprécié pour sa bonté et ses connaissances – dans le domaine de Septenaigue, les vieilles croyances sont toujours bel et bien là. La parole du druide est sacrée et il n'est pas rare – surtout pour Sorcha – de croiser quelques « bonnes gens » au détour d'un buisson d'aubépines.
J'ai, de ce fait, trouvé le mélange du merveilleux médiéval celtique et la tradition du conte de fées (en l'occurrence celui des frères Grimm) efficace et parfaitement pensé. Évidemment, les contes de fées que l'on connaît découle de cette matière celtique (les belles dames sans merci devenues bonnes fées – ou presque – , par exemple) mais plus de 10 siècles séparent tout de même les deux.

Et pourtant… Malgré le soin apporté à l'écriture, au réalisme des descriptions et à l'intensité des épreuves vécues par la jeune héroïne, il m'a manqué un je-ne-sais-quoi d'émotions. Vraiment pas grand chose, mais le petit déclic qui aurait fait que. Peut-être parce que l'héroïne est très jeune (13 ans) ? Certes elle fait preuve d'une impressionnante maturité pour son âge mais je ne me suis pas sentie assez proche d'elle.
Il faut dire qu'un récit basé sur un schéma de conte possède (quasi toujours) une certaine distance dans le discours. Et malheureusement, malgré la narration à la première personne du singulier, toutes les qualités de l'héroïne et toutes les difficultés qu'elle rencontre ; j'ai suivi son aventure avec grand intérêt mais sans réelle implication et passion.

Et j'en suis bien navrée parce que l'Irlande médiévale avec ce soupçon de merveilleux (effectivement à l'origine des contes de fées du XVIIIe/XIXe siècle), une héroïne forte et une présence accrue de la nature comme refuge… c'était un envol direct vers le coup de coeur ! Mais j'ai loupé une marche.
Tant pis, je lirai quand même la suite (en fait la 2ème partie d'un seul et même tome en vo) dès que possible. Parce que le contexte est beau, la plume est soignée et parce que Sorcha commence tout juste son aventure. Elle est loin d'avoir sauvé ses frères de la malédiction !
Lien : https://bazardelalitterature..
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Je n'avais jamais entendu parler de Soeur des Cygnes avant que l'on ne me l'offre.. et autant dire que ce cadeau fut un très bon choix car j'ai vraiment eu un coup de coeur.

L'héroïne s'appelle Sorcha et il est impossible de ne pas s'inquiéter ou compatir pour elle tout au long du récit.
J'ai de toute façon beaucoup de mal à résister aux héroïnes féminines qui en voit de toutes les couleurs (tant qu'elles ne ressemblent pas à des personnages "clichés"), et qui nous démontre toute leur force, leur abnégation, et ce avec justesse.

Cela tient peut-être davantage à la traduction française, mais j'ai trouvé l'écriture merveilleuse. L'histoire étant inspirée d'un conte existant, il est naturel qu'elle possède également un ton de conte, et c'est tellement délicieux!
Il y a une certaine poésie dans la narration, associée à une histoire passionnante, un périple semé d'embûches sans fin.. le tout conforté par une héroïne forte et tendre.. c'est ce savant mélange bien dosé et bien tissé qui m'a vraiment plu.
On pourrait tomber dans la niaiserie ou les stéréotypes, mais.... pas du tout! Non, j'ai trouvé qu'il y avait une forme d'art dans tout ça. le plaisir du conte (de quoi satisfaire nos âmes d'enfants), mais un conte pour adulte (et donc beaucoup plus intriguant et haletant).

Ma critique arrive un peu tard, à froid, car cela fait bien maintenant 4 ans que je l'ai lu, mais j'en garde encore un souvenir de lecture comblée. Au point ou je me dis que si je trouve le temps.. je le relirais bien.

Les livres se suivent sur 3 générations de femmes, avec 2 ouvrages chacune: Soeur des cygnes (1 et 2) / Fils de l'ombre (1 et 2) / Enfant de la prophétie (1 et 2) - mais chaque génération possède une fin. Il n'est donc pas nécessaire de lire les 6 livres si vous n'accrochez pas.
Personnellement, j'ai vraiment aimé les 6.
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Ce livre m'a été recommandé à une époque lointaine par une correspondante qui l'avait dévoré. Je l'avais pris en note, mais il n'avait toujours pas été traduit en français et je n'étais pas aussi à l'aise à lire en anglais que je le suis aujourd'hui. de plus, le marché du livre était loin d'être aussi développé. Puis, un jour, plusieurs années plus tard j'ai fait une recherche sur Amazon et j'ai trouvé les deux premiers tomes en français. Je me suis empressée de les commander, puis de les oublier au fond de ma bibliothèque comme à peu près tous les livres qui y séjournent.

C'est donc au total une quinzaine d'années après me l'être fait suggéré que je découvre enfin cette série de Juliet Marillier. Pour être honnête, les années ayant passé et étant maintenant adulte depuis plusieurs années, je ne pensais pas trouver grand intérêt au livre de la quête d'une jeune fille de douze ans. Et puis, les livres d'ensorcèlement et de fantasy ont souvent le don de m'exaspérer.

Sauf que. La plume de Marillier est tellement convaincante et raffinée que j'ai totalement embarqué dans l'histoire. Si j'essayais de résumer l'histoire, ça paraîtrait totalement ridicule, je le sais. J'ai essayé d'en parler à une collègue de travail qui se cherchait une lecture et elle semblait trouver que j'étais bizarre de lire une adaptation d'un conte de Grimm adressé à de jeunes adolescentes dans lequel six frères se transforment en cygnes suite à un enchantement lancé par une méchante belle-mère. Ben oui, ça fait conte de fée, dit comme ça. Mais en lisant l'histoire, on découvre que c'est tellement plus.

Ce premier tome nous laisse au beau milieu de nulle part. Sorcha n'en est toujours qu'aux touts débuts de sa quête, même si plus d'une année est passée. On ne voit pas comment elle viendra au bout de ses peines, mais on sent que de grands changements surviendront dans le deuxième tome. Et on ne se trompe pas. Impossible d'arrêter la lecture après ce premier tome, on est déjà bien accrochés.
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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