Et voilà, la série de la Vallée des Larmes se finit.
J'ai particulièrement aimé cette série, qui m'a fait redécouvrir ma passion pour la lecture que j'avais laissé de côté quelques mois. Ce roman comme ses prédécesseurs est prenant, on ne le lâche plus !
Malgré quelques fausses notes, comme une écriture changeante d'un roman à l'autre (mais il faut dire que l'auteur change aussi c'est humain) et surtout le développement de plus en plus lourd de métaphores (il vaut mieux une métaphore bien construite qui nous fait rêver plutôt que 10 qui nous font fuir !), et des péripéties un peu trop rapprochées, ce livre m'a néanmoins captivé.
Le décor, la culture et surtout l'attachement qu'on noue immanquablement aux personnages font ses atouts, et pas des moindres, peu de séries m'ont autant fait vivre d'émotions à travers ses personnages !
J'ai refermé ce livre avec tristesse, il m'a fait découvrir des pays et des peuples qui m'ont donné envie de m'intéresser à ce morceau d'histoire.
Je le conseille, mais quand on a le temps car ce sont des livres longs mais tellement captivant qu'on finit par lire même en marchant pour aller au travail !
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Bon bah voilà, j'ai terminé cette saga... et c'est avec un pincement au coeur que je ferme ce dernier tome... Les personnages vont me manquer (même si Isabelle m'a un petit peu agacée par moment).
Des 4 tomes, celui-ci est le plus cruel. Alexander, tout comme Isabelle, auront, d'une manière fort différente chacun de leur côté, souffert le martyre tous les deux. On n'a qu'une envie : arriver au dénouement dans l'espoir que leur coeur se réunisse et que leur douleur s'apaise enfin...
J'ai adoré cette saga, je viens de passer 15 jours totalement transportée. J'ai une préférence pour le premier tome, certainement parce qu'il est le plus "doux" et le plus passionnel, mais les 3 autres sont également sublimes.
[Lu en juin 2020]
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Et bien voilà ! Je suis arrivée au bout des 4 tomes.
J'ai trouvé quelques passages un peu long voire répétitifs. Mais, dans l'ensemble, on passe un bon moment...
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Je n'ai pas du tout à ce quatrième tome : es péripéties se multiplient au point qu'on n'arrive plus à y croire et les réactions des personnages m'ont paru illogiques.
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Alexander observait le tableau familial avec un pincement au cœur : jamais il ne connaîtrait cela. Finlay et Christina étaient heureux. Pauvres, mais heureux. Que pouvaient-ils demander de plus que ces deux merveilleuses fillettes, un troisième enfant à naître et l'amour qui les unissait ? Il se détourna et regarda par la fenêtre qui donnait sur une palissade de bois. Le silence revint dans la pièce. Finlay, ayant réglé le litige qui opposait les deux sœurs, se rassit en claquant la langue et en tapant des mains.
Tout poète a besoin d'une muse (...). C'est elle qui colore l'encre et parfume les mots.