Au début, c’est comme les premières secondes d’un polar américain des années cinquante : une fille, une route, la nuit, une voiture qui s’arrête, et la fille qui monte…
Lui il la regarde, il essaie de lui parler… Elle se tait, elle se tait, elle se tait et, soudain : elle rit aux éclats, soulève sa robe jusqu’aux genoux et se met à bêler ; ou plutôt à crier comme un bouc qu’on châtre.
Le beau David chante « I never lost control » ; mais...
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