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EAN : 9782012027985
461 pages
Hachette (06/03/2013)
3.72/5   188 notes
Résumé :
Dans deux ou trois heures tout au plus, ce garçon sera mort. Je vous raconte la suite ? Les hululements de douleur du môme qui se tient le ventre à deux mains ? Ses convulsions sur le sol de la cuisine familiale ? Les cris de la mère qui découvre son fils déjà quasi exsangue ? Raide comme une batte. Vidé ou presque de son sang, écrasé comme un petit cafard sur le carrelage immaculé. Les yeux du gamin ont cessé de papillonner.

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Critiques, Analyses et Avis (77) Voir plus Ajouter une critique
3,72

sur 188 notes
Le roman de serial killer, un thème à la mode ? Assurément.
« le manuel du serial killer », une énième histoire du genre ? Assurément pas !
Ce serait mal connaître Frédéric Mars qui n'est pas le premier scribouillard venu. Avec ses précédents romans, quel que soit le genre, l'auteur a déjà parfaitement prouvé qu'il savait écrire et accrocher le lecteur.
« le manuel… » est un nouveau trophée à accrocher au tableau de chasse de Mars, un tableau qui commence à avoir fière allure.
Si vous plongez dans le roman, attendez-vous à y plonger profond ; de quoi perdre toutes vos capacités en natation. Parce que très vite, vous ne saurez plus où se trouve le haut du bas, le vrai du faux.
Dans une intrigue, façon rubik's cube, vous allez être bringuebalé tant l'auteur fait tanguer sa barque (c'est peut-être le résultat de ses origines bretonnes).
Oui, ce roman va vous embrouiller, vous désorienter, vous égarer et vous allez adorer ça. Mars nous prouve qu'il est un emberlificoteur de première, en proposant cette intrigue machiavélique.
Très vite, le récit vous prend dans ses filets pour ne plus vous lâcher, et à chaque page vous aurez ce lancinant questionnement à l'esprit : comment l'auteur va t-il retomber sur ses pattes ? Comment va t-il réussir à se raccrocher aux branches avec une histoire aussi extravagante ? (Mais quelle branche ? de l'arbre qui cache la forêt ? Mais de quelle forêt ?).
Avec une écriture vive, expressive, parfois quasi cinématographique et un ton souvent décalé, l'auteur achève de convaincre.
Mention spéciale aux nombreuses allusions concernant le monde de l'édition (avec quelques coups de griffe au passage).
Alors, prêts à entrer dans le jeu ?
Lien : http://gruznamur.wordpress.com
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Ne vous arrêtez pas à ce très mauvais 4ème de couverture qui n'a rien à voir avec le véritable contenu de ce livre, ne vous basez pas non plus sur ce titre, fait pour être racoleur mais qui à mon avis produit l'effet inverse. Ce livre n'est pas du tout un manuel pour serial killer.

Imaginez plutôt un jeune homme (Thomas Harris) étudiant à Harvard, brillant élève en littérature et très doué pour l'écriture. Un jeune homme qui néanmoins souffre psychologiquement en raison d'un défaut esthétique sur le visage, faisant de lui un solitaire, sans amis. Alors qu'il loge sur le campus grâce à sa bourse d'étude, il est sollicité par un éditeur local, via le proviseur de l'école, pour travailler quelques heures par semaine dans une société d'édition afin de trier les manuscrits et sélectionner ceux qui pourraient avoir un intérêt à être édités.

Malheureusement aucun des manuscrits qu'il lit n'éveille d'intérêt chez lui, même pas cet étrange ouvrage, sans aucun nom d'auteur, appelé « le manuel du serial Killer ». Ouvrage qui décrit plusieurs meurtres avec de nombreux détails.

Une semaine plus tard, tout bascule, le manuel du serial killer est édité avec comme nom d'auteur « Thomas Harris ». Il est distribué en grande pompe dans toutes les librairies du pays, la police fait le lien entre le livre et les affaires de meurtres en cours, les médias s'emparent du phénomène, le livre s'arrache, la police arrête Tom et l'accuse des meurtres décrits dans le manuel.

Un très bon polar, mené tambour battant, un page turner addictif, Frédéric Mars nous emmène avec lui au fond du terrier et chaque fois que vous penserez avoir découvert le fin mot de l'histoire, je vous assure que vous ferez erreur.
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Orphelin de père et de mère, Thomas Harris a réussi, grâce à une bourse, à entrer dans la prestigieuse université d'Harvard, où il excelle, malgré sa marginalité dûe à un physique atypique. Le sachant passionné par les polars, et afin de compléter son mémoire de fin d'année, la responsable du département littérature lui propose de faire une chronique judiciaire dans le journal du campus. Connaissant également sa fragilité psychologique, conséquence d'un passé douloureux, elle le confie à une autre étudiante, son homonyme, Sophie Harris. Le binôme doit justement faire un article sur un évènement dramatique récent : la mort suspecte de deux enfants qui n'est pas sans rappeler le modus operandi d'un serial killer arrêté pour le meurtre de 11 garçons il y a dix ans.

Tout au long de cette lecture, j'ai été transportée dans un monde irrationnel : des morts qui ne l'étaient pas, des flics honorables qui devenaient suspects à mes yeux, une justice américaine qui enfreignait la loi. J'ai carrément douté de mon intégrité psychique quand, une vingtaine de pages avant la fin, je me suis aperçu que rien ne tenait debout dans ce scénario. Dans un thriller psychologique, il est de coutume que le brouillard dans lequel le lecteur est plongé ne s'évapore qu'à la fin (ou pas), mais alors là, chapeau bas !
La construction de ce livre est très originale : des chapitres narrés à la première personne du singulier qui ressemblent à un journal intime alternent avec des comptes-rendus de séances de psychanalyse et enfin des extraits d'un livre "Le manuel du serial killer" écrit par un spécialiste du genre... Je dois reconnaître que certains passages concernant les meurtres des enfants frôlent l'insoutenable. L'auteur, pour embrouiller davantage le lecteur, joue également sur les différentes identités de certains personnages et abuse des homonymies.
Totalement déroutée par les 3/4 du roman, j'ai eu du mal à déterminer si j'avais aimé cette lecture ou pas, et à argumenter ma critique. J'ai trouvé le principe un peu "culotté" et puis j'ai fini par accepter d'avoir été "roulée dans la farine". Sans rejoindre l'enthousiasme de certains, j'accorderai tout de même un 13/20 à ce titre pour son originalité et surtout pour l'interrogation finale sur la peine de mort qu'il ne manque pas de soulever chez le lecteur.

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Un coup de coeur pour ce Frédéric Mars !!!!

Si je vous dis : voici un livre qui raconte une histoire qui, comme une image d'Épinal, en cache une autre bien plus spectaculaire. En effet, Frédéric Mars, va se jouer de nous tout au long de ces pages. Il est presque impossible de voir où l'auteur veut en venir.
Digne de poupées Russe, ce roman est hallucinant !!! Plus on lit et plus on va plonger dans le monde que Frédéric Mars veut bien nous faire partager, dilapidé peu à peu, pages par pages, mot à mot...

Son parangonnage principal : Thomas Harris, vous me direz qu'aux États-Unis, il doit y en avoir des tas des Thomas Harris... Mais plus je lisais ce livre, plus ce nom revenait et plus je me disais que l'auteur fait pas mal référence au Silence des agneaux... Frédéric Mars fait réellement référence à cet écrivain américain père de Hannibal Lecter dit le cannibale. Quand j'y repense, avec ce petit recul, boire un verre d'eau, allumer mon PC pour faire cet avis, Frédéric Mars nous donne presque des indices avec ce personnage, quand on y pense vraiment, Hannibal Lecter est un manipulateur de première, on n'a jamais vraiment su qui il était réellement... son auteur Thomas Harris est lui aussi un bon manipulateur !!!

Thomas Harris, 21 ans, Orphelin, étudiant en 4ème année de lettres, spécialité en droit à Harvard à Cambridge, dans le Massachusetts. Un jour son prof, qui le trouve brillant dans ses écrits, veut qu'il rejoigne le Crim, le journal qui traite de la vie à Harvard. Ce qu'il y écrira sera noté et ces notes seront prises en compte pour sa fin d'année. Il doit enquêter et rédiger un article sur les morts d'enfants qui viennent d'être retrouvés à Boston. Il sera en binôme avec une fille dénommée Sophie Harris. Il vont donc, partir pour travailler ensemble sur le papier, voir plusieurs pour le Crim...

Ils se retrouvent sur leur première enquête, un enfant mort suite à un malaise à la sortie de stade de la ville. Puis vient trois autres enfants morts. Suite à ça, la police fait le rapprochement avec une affaire qui date de 2001. Un homme a été arrêté pour le meurtre de onze enfants. Tous âgés entre huit et onze ans. Tous vidés de leur sang suite à un empoisonnement l'aspirine, vieille de dix ans.

Cette vie d'enquêtes ne convient pas à Thomas, tous ces enfants morts... Il se voit alors confier un autre job dans un maison d'édition. Il doit lire toute la journée des manuscrits. Et c'est au bout de deuxième jours, qu'il tombe sur un manuscrit sans feuille d'accompagnement, juste quelques pages dactylographiées avec comme titre : « le manuel du serial killer ». Quelle stupéfaction quand Thomas trouve ce manuscrit en librairie et la surprise est de taille quand il découvre que l'auteur n'est autre que lui !!! Ce livre il ne n'a pas écrit...
Thomas est obligé de lire ce livre et il découvre avec honneur que l'auteur explique que pour être un serial killer original, il faut utiliser des produits de consommation courante comme l'aspirine... Seulement quelques personnes peuvent être au courant pour l'aspirine, donc si ce n'est pas Thomas qui a écrit ce livre, c'est forcément le meurtrier, personne d'autre...

Une intrigue à couper le souffle. Des chapitres entrecoupés par des comptes-rendus d'un psychiatre qui relate les entretiens psychiatriques de Thomas Harris, chapitres au demeurant assez perturbants pour le lecture, puisqu'ils conduiront le lecteur vers plusieurs pistes et dans l'enfance de Thomas.

J'ai adoré, un coup de coeur pour le manuel du serial killer, j'ai été surprise, agréablement surprise, comme j'aime l'être par un thriller !!!
A lire absolument !!!

Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Je me répète à chaque fois que j'en chronique un : j'adore lire des thrillers. C'est vrai et pourtant, je n'en lis pratiquement jamais. Pourquoi ? Parce que trouve que ce ne sont pas vraiment des lectures «détente», mais plutôt entraînantes, car il faut rester concentré afin de ne rien manquer et découvrir la vérité. Mais j'ai adoré me prêter au jeu de ce livre. Quel thriller exceptionnel ! Je n'en ai pas lu beaucoup, des thrillers, mais je peux vous dire que c'est la première fois que je suis aussi bouche bée, impressionnée par le talent de l'auteur. La fin, croyez-moi : impossible de la deviner.

Je suis embarquée tout de suite dans l'histoire. J'ai quelques fois eu de la difficulté avec le vocabulaire employé par l'auteur : il est très technique et certains mots étaient inconnus pour moi. Mais j'ai trouvé que cela donnait de la profondeur au récit. On voit que l'auteur n'a pas écrit le premier mot qui lui passait par la tête, c'était recherché. Nous apprenons à connaître Thomas Harris, un orphelin de 21 ans. Il étudie à Harvard et est passionné de littérature policière. Il est plutôt discret. Puisque c'est le narrateur du récit, nous découvrons toutes ses pensées, et comme c'est un thriller psychologique, c'était vraiment intéressant.

Ce que j'ai beaucoup aimé, c'est que le livre est constitué bien évidemment de l'histoire, mais pas seulement. Tom rencontre un psychologue et nous avons droit aux comptes-rendus des séances, qui étaient très intéressants à lire. Cela permettait d'en apprendre davantage sur le passé du protagoniste. Il y a également des extraits du Manuel, fort déstabilisants, qui nous permettent de se renseigner nous aussi sur les méthodes utilisées et d'autres ''infos'' accablantes sur le tueur parfait.

Quand les ennuis commencent pour Thomas, que le Manuel est publié à son nom, alors là, j'ai encore plus adhéré à l'histoire. Comment en décrocher ? Je voulais tout savoir : qui avait vraiment écrit le manuel, comment, pourquoi... Les rebondissements sont nombreux et chaque fois, j'étais surprise, ébahie par ce que l'auteur nous présentait, c'était si inattendu et abracadabrant. Quand on pense que l'affaire va se résoudre, de nouveaux mystères sont mis en place ou sont élucidés. On peut dire que le livre ne nous laisse pas reprendre notre souffle.

Concernant le dénouement, je n'aurais jamais pu deviner l'issue des choses. J'avais imaginé plein de scénarios, mais jamais celui-là. Comment aurais-je pu ? C'était trop bien pensé. Les révélations finales arrivent aux 20 dernières pages, et je n'en revenais pas, j'avais la mâchoire à terre. Bluffée, je l'ai été. Et comment... Frédéric Mars est brillant, ce thriller est puissant. Je lui lève mon chapeau 1000 fois.

Pour conclure, vous l'aurez compris : ce thriller m'a éblouie. Ce fut un réel plaisir de découvrir la plume de l'auteur, à la fois recherchée et addictive. Je suis passée de l'incompréhension à la stupeur, de la rage à la surprise... Les personnages marquants ont su rendre ce récit des plus complets et des plus prenants. Je recommande ce livre sans hésiter.
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critiques presse (1)
Actualitte
23 avril 2013
L'ambition est annoncée dans son titre : Frédéric Mars offre à ses lecteurs le B.A.BA du "métier" de tueur en série. Pensez-vous, on ne s'improvise pas serial killer !
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Les procès, cette grande passion américaine.
J'ai passé de longues heures, durant mes quelques cours de droit pénal, en option de première année, à m'interroger sur ce qui pouvait l'expliquer. Est-ce un effet de cette idée noble, inscrite dans notre Constitution, qui veut que chacun d'entre nous, petit ou grand, puissant ou faible, ait droit à la même justice ? Je ne le crois pas. Est-ce notre goût un peu enfantin pour les constructions dramatiques échevelées, émaillées de coups de théâtre, qui font par ailleurs les grandes heures d'Hollywood ? Cela doit jouer, oui, mais je ne pense pas que l'essentiel réside dans cette question de forme. Non, ce qui a inscrit dans notre peuple ce goût irrépressible pour les grandes affaires judiciaires, c'est selon moi la chute. La fascination que nous partageons tous ici pour la déchéance. Peu de peuples apprécient autant que le nôtre le spectacle d'un individu que tout accable à cet instant précis où le destin s'acharne sur lui, au moment où il s'apprête à tout perdre. Pourquoi cette dilection morbide ? Pourquoi cet appétit d'hyène prête à déchiqueter de ses crocs médiatiques l'être moral - et social - ainsi livré en pâture ?
Parce que, dans ce monde binaire que nous avons bâti, il ne saurait à nos yeux y avoir d'ascension sans effondrement. Pour qu'une minorité effleure du bout des doigts notre fameux rêve national, il est impératif que d'autres en soient exclus, de préférence de la façon la plus spectaculaire, pour que chaque aspirant à la félicité suprême sache bien ce qui l'attend s'il effectue le moindre faux pas sur la longue route qui le conduit au succès.
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La mort est en moi.
Là, dans ma tête. Elle y a toujours été comme chez elle ou, plutôt, comme dans une résidence de vacances où elle aurait séjourné de temps à autre. Je suis sa villégiature. Son club "all inclusive". Son meilleur terrain de jeu. Un petit coin d'humanité où elle s'épanouit semble-t-il plus qu'ailleurs. Alors elle revient. Elle m'est fidèle. Je crois que, à sa manière, elle m'aime bien. Depuis le décès de mes parents, il a dix ans, il faut dire que je l'accueille régulièrement. Il y a des gens comme ça, comme moi, qui ont le don de faire tomber les autres autour d'eux comme des mouches : Jonah, mon unique oncle, qui aurait pu m'accueillir à l'époque, mais qui a préféré mourir quelques semaines avant, d'après ce qu'on m'a toujours dit. Mais aussi certains de mes camarades de l'Italian Home, le foyer où j'ai vécu jusqu'à mon arrivée ici. Un prof ou deux, si mes souvenirs sont bons. Et tout un paquet d'animaux, chiens, chats, oiseaux, poissons rouges, etc, qui n'ont pas survécu à mon contact. Juste parce que la mort est venue me rendre visite. Là. Dans ma tête.
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Dix minutes après mon coup de fil, elle entre avec une boîte en carton, de celles qui servent à transporter des gâteaux. A l'intérieur, quatre cupcakes dont je crois identifier le parfum dès le premier coup d’œil, Ils viennent probablement de ce petit camion qui s'installe d'habitude à la porte nord du Yard, juste en face du pavillon des sciences. quatre dollars la portion, si mon souvenir est bon.
- Boston Cream, non ?
- Boston Cream, approuve t-elle.
Une concentration unique de sucre et de graisses saturées, sous la forme du plus crémeux des gâteaux. La mort de la ligne, l’Épiphanie du gourmand. dans tous les cas, le meilleur remède antidéprime en circulation libre sur le campus. Durant quelques instants, nous croquons nos délices dans un silence religieux, submergés par l'onctuosité qui tapisse nos papilles.
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Quand tout vous échappe, se raccrocher à des dates apparaît comme un ancrage rassurant. Un port abrité, comme il en existe encore dans certaines îles de la baie de Boston, où vos pensées peuvent mouiller en toute quiétude. Rien ne peut venir contredire la vérité qu'énonce un calendrier. C'est un havre sûr.
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Dans deux ou trois heures tout au plus, ce garçon sera mort.
Raide comme une batte. Vidé ou presque de son sang, écrasé comme un insecte sur le carrelage immaculé de la cuisine familiale. Petit cafard renvoyé au paradis des insectes. Sa mère glapira de détresse. Le chien aboiera son effroi. On appellera le médecin, les voisins, et bien tôt les flics. Mais tout ce beau monde sera aussi impuissant que vous et moi. Un enfant de dix ans aura quitté le monde. D'un coup de vent. Pfut.
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Vidéo de Frédéric Mars
Dans cette vidéo, Mo Malø (alias Frédéric Mars pour l'état civil), nous présente son dernier thriller prenant pour cadre le Groenland : 'Summit' (Editions de la Martinière). Des terres encore largement méconnues dans nos contrées, qui pourraient bien peser lourd très prochainement dans l'équation écologique et géopolitique.
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