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Nouvelle histoire de France tome 2 sur 3
EAN : 9782262019990
512 pages
Perrin (07/11/2002)
4.03/5   15 notes
Résumé :
Ecrite à la fin d’un siècle qui marque également la clôture d’un millénaire, cette nouvelle histoire de la France se propose de raconter et d’expliquer comment la nation France est, d’une certaine manière, une « personne ». Elle a été façonnée par la peine, le courage et le génie des hommes qui ont écrit l’aventure dont nous sommes les héritiers, 20 000 siècles plus tard. L’ouvrage s’articule autour des grandes dates qui constituent autant de bornes familières. Le l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
[Pour consulter le début de ce passionnant récit, se reporter au tome 1 : « Nouvelle histoire de France : de la préhistoire à la fin de l'Ancien Régime » :

https://totalitarismes.wordpress.com/2018/10/11/mon-commentaire-du-livre-de-jacques-marseille-nouvelle-histoire-de-la-france-tome-1-de-la-prehistoire-a-la-fin-de-l-ancien-regime/

Dans ce second volume, Jacques Marseille reprend le cours de son récit de l'Histoire de France, à partir de la Révolution Française (pages 11 et 12) :
« Une Révolution qui nous a légué nos emblèmes, le drapeau tricolore, La Marseillaise, la fête du 14 Juillet, notre géographie administrative et nos idéaux – Liberté, Égalité, Fraternité – mais dont le sens nous échappe toujours.
Dès 1856, Alexis de Tocqueville, un observateur privilégié, avait développé la thèse selon laquelle la Révolution n'était en fait que « la terminaison soudaine et violente d'une oeuvre à laquelle dix générations d'hommes avaient travaillé ». « Quelque radicale qu'ait été la Révolution, écrivait-il, elle a cependant beaucoup moins innové qu'on ne le suppose généralement […]. Si elle n'eût pas eu lieu, le vieil édifice social n'en serait pas moins tombé, ici plus tôt, là, plus tard ; seulement il aurait continué à tomber pièce par pièce au lieu de s'effondrer tout à coup. La Révolution a achevé soudainement, par un effort convulsif douloureux, sans transition, sans précaution, sans égards, ce qui se serait achevé peu à peu de soi-même à la longue. Telle fut son oeuvre. »
Accélérateur du mouvement plus que moment fondateur, aboutissement et non commencement, tel serait le sens de la Révolution française. Pourtant ceux qui ont vécu ces grandes journées ont eu le sentiment d'inventer un monde nouveau, de proclamer des valeurs nouvelles, d'inaugurer une nouvelle histoire de l'humanité s'ouvrant avec l'an I de la République.
Cette République inaugurée en 1792 mettra cependant plus d'un siècle pour être consolidée. de 1792 à 1880, au cours d'une période qui voit se succéder deux empereurs, trois rois, deux révolutions et trois républiques, la France s'efforce de faire l'apprentissage du libéralisme dans tous les domaines au prix de l'une de ses spécificités : l'instabilité institutionnelle. Une histoire qui vérifie le jugement porté par Jean-Jacques Rousseau dans le Contrat social : « le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours la maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir ». »
La situation économique et sociale devenait tellement mauvaise, que Louis XVI n'eut d'autre choix que de convoquer les États Généraux, le 1er mai 1789. Durant la période 1788-1789, 60 000 cahiers de doléances furent ainsi rédigés partout en France, en vue de les présenter lors de ces États-Généraux (pages 20 et 21) :
« Pour la première fois, les Français vont prendre massivement la parole. Bien sûr, des modèles diffusés par le parti « national » ont circulé et ont souvent été recopiés. Bien sûr, ce sont souvent le notaire, l'avocat, le curé ou l'agent de la « société de pensée » qui ont pris la plume. Reste que ces soixante mille cahiers sont un irremplaçable témoignage sur les aspirations des Français de tous ordres, même filtrées par les « penseurs » institutionnels. Qu'il émanent du tiers ou de la noblesse, tous les cahiers veulent limiter le pouvoir absolu. Tous veulent une constitution qui réserve le vote de l'impôt et des lois nouvelles à des états généraux périodiques et accorde à des assemblées provinciales le contrôle de l'administration. Tous veulent que la liberté individuelle et la liberté d'expression soient garanties. Tous montrent aussi un attachement à la personne du roi, « père de ses peuples », dont on attend qu'il réponde favorablement aux réformes souhaitées. Aucun cahier ou presque ne met en question l'Église, son influence morale et ses prérogatives honorifiques. Les ordres sont d'accord aussi sur un grand nombre de réformes techniques, sur les gaspillages de la Cour, les abus du fisc et la répartition arbitraire des impôts directs. Les doléances des paysans portent avant tout sur les banalités, le monopole de chasse, le droit pour le seigneur d'avoir un colombier. Assez souvent, on propose de racheter les droits seigneuriaux. Quant aux terres de la noblesse, il n'en est jamais question : c'est une propriété incontestée et considérée comme inviolable. Bref, les cahiers dessinent un programme de réformes conforme à la « raison », à la sagesse et à la philosophie du siècle, égalité devant la loi, accession de tous les Français aux emplois publics, réforme de la dîme, autorisation de racheter les droits féodaux, redistribution des revenus ecclésiastiques qui assurerait une part plus large aux curés, aux pauvres et aux écoles, réforme de l'administration, un programme qui aurait assuré le bonheur social et rallié autour du roi l'immense majorité du tiers état, du clergé et quelques nobles libéraux. »
(…) Non seulement les Français parlent mais, grâce aussi au roi, ils sont pour la première fois appelés à voter. Mêlant lui aussi tradition et nouveauté, le règlement électoral du 24 janvier 1789 a reconnu le droit de suffrage à tout Français âgé d'au moins vingt-cinq ans, inscrit sur les registres de l'impôt. Enfin, le nombre de sièges est proportionnel à la population des bailliages, l'idée d'une juste proportionnalité entre l'importance de la représentation et celle des circonscriptions étant, elle aussi, fille de la « raison ». Suprême cadeau, la monarchie offre l'apprentissage de la démocratie à la Révolution. »
Finalement, les États Généraux se réunirent dans l'hôtel des Menus-Plaisirs, le 5 mai 1789. Les députés du tiers état se déclarèrent « Assemblée Nationale » le 17 juin. Puis, les députés de l'Assemblée Nationale se réunirent dans la célèbre salle du Jeu de Paume, le 20 juin, et prêtèrent le serment suivant (page 22) :
« L'Assemblée nationale, considérant qu'appelée à fixer la constitution du royaume, opérer la régénération de l'ordre public et maintenir les vrais principes de la monarchie, rien ne peut empêcher qu'elle continue ses délibérations dans quelque lieu qu'elle soit forcée de s'établir et qu'enfin, partout où ses membres sont réunis, là est l'Assemblée nationale. Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondations solides et que, ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature cette résolution inébranlable. »
Le 23 juin 1789 représente la date signant la fin de la Monarchie Absolue et qui devait, comme période de transition, s'orienter vers une Monarchie Constitutionnelle.
Le 24 juin, la majorité du clergé rejoignit l'Assemblée Nationale. Et le 9 juillet, l'Assemblée se déclara Constituante.
En pleine disette, Louis XVI, le 11 juillet, fit l'erreur de congédier à nouveau Necker.
Le 12 juillet, Camille Desmoulins, parmi une foultitude d'orateurs improvisés, juché sur une table, réussit à mobiliser la foule au Palais-Royal. Il en appela à prendre les armes en s'exclamant (pages 23 et 24) :
« Citoyens, vous savez que la nation avait demandé que Necker lui fût conservé, on l'a chassé ! Peut-on vous braver plus insolemment ? Après ce coup, ils vont tout oser et, pour cette nuit, ils méditent, ils disposent peut-être une Saint-Barthélemy des patriotes ! Aux armes ! Aux armes ! »
Aussitôt, la foule se mit donc en quête de rechercher des armes…
Le 14 juillet, cette foule galvanisée se dirigea vers la prison et dépôt d'armes de la Bastille. Une centaine de personnes furent tuées lors de cette journée, devenue Mémorable. Dans la soirée, sous la pression populaire, le marquis De Launay, laissa rentrer les manifestants dans la Bastille. À partir de ce 14 juillet, le sang aller couler sans cesse jusqu'à la fin de la Révolution, bien après le 9 Thermidor. En effet, la foule investissant la Bastille, libéra les 7 prisonniers, tua 3 invalides et 3 officiers. La barbarie populaire se déchaîna alors immédiatement puisque le marquis De Launay, de Flesselles et le prévôt des marchands furent aussitôt décapités et leurs têtes brandies aux bouts de piques à travers tout Paris.
Le 15 juillet, Louis XVI se rendit à l'Assemblée ; et les 16 et 17 rappela Necker.
Le 4 août, l'Assemblée Constituante vota l'abolition des privilèges et le 26 août, autre grande date, puisqu'il s'agit du vote de la célébrissime : Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (pages 26 et 27) :
Libérés des servitudes féodales le 4 août, les Français se réveillent le 26 août « libres et égaux en droits ». « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ; les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune ». Cette affirmation mémorable, qui constitue l'article premier de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, ce « catéchisme national » en dix-sept articles admirables d'écriture, s'adresse en même temps aux hommes de tout temps et de tous pays. Cette proclamation des « droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme » posait les bases d'une nouvelle vision du monde. Liberté, qui est le droit de « faire tout ce qui ne nuit pas à autrui », libertés d'opinion, de croyance, d'expression et de presse, égalité civile et fiscale, la « contribution commune », devant « être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés », présomption d'innocence jusqu'à ce que l'individu soit déclaré coupable, garantie de la propriété privée, souveraineté de la nation et séparation des pouvoirs, tout est dit. Certes, la Déclaration des droits de l'hommes et du citoyen est aussi une oeuvre de circonstance. Elle est avant tout une machine de guerre dressée contre l'Ancien Régime dont elle veut signer l'acte de décès. Elle évoque un « Être suprême » pour ne pas parler de Dieu. Elle oublie l'esclavage, la liberté économique, le droit au travail, le suffrage universel et l'égalité des sexes. Elle offre cependant le rare exemple d'une oeuvre collective qui, dépassant l'ébauche américaine, invente l'alphabet politique d'un monde nouveau. Avec elle, les droits de l'homme ont trouvé une patrie, la France, une France qui, en moins de trois mois, a su faire une révolution complète. »
Pourtant ce beau texte que représente la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen allait en grande partie rester lettre morte, quasiment jusqu'au début du XXème siècle !
Un an jour pour jour après le début de la Révolution Française, Louis XVI prononça le serment de : « maintenir de tout son pouvoir les articles de la Constitution décrétés par l'Assemblée nationale ». On pourrait croire qu'à partir de ce moment, la Révolution était terminée et que le Roi des Français était réconcilié avec la Nation. Car en effet, les progrès effectués dans la société Française en un an étaient réellement impressionnants (pages 30 et 31) :
« En une année, espace de temps incroyablement court, des hommes venus de leurs provinces pour réformer l'État et lui donner une constitution ont posé les bases de la France nouvelle, régénérée par la liberté et le talent. Moins spectaculaire que l'événement ou l'émeute, le verbe ou le fusil, cette régénération en profondeur des structures du royaume est pourtant la vraie « révolution ».
Comparution de l'accusé devant les juges dans les vingt-quatre heures après son arrestation, assistance obligatoire d'un avocat, juges élus parmi les gradués en droit et exerçant leurs pouvoirs au nom de la nation, institution d'un jury de citoyens tirés au sort, abolition de la torture, proportion des peines aux délits, nouveau Code pénal, tribunal de cassation, chargé de veiller à la bonne application des lois, c'est la « révolution » judiciaire.
Partage de la France en quatre-vingt-trois départements, eux-mêmes subdivisés en districts, cantons et communes, avec consultation des élus pour déterminer leurs limites en fonction de la raison et de l'histoire, élection des administrateurs à tous les niveaux, pouvoirs importants donnés aux municipalités, c'est la « révolution » administrative.
Égalité de tous devant l'impôt, devenu « contribution », rationalisation de la répartition identique pour tout le pays, suppression des impôts indirects, sauf le droit d'enregistrement et de timbre, et mise en place de trois grands impôts directs, la contribution foncière sur le revenu de la terre, la contribution mobilière sur la valeur locative de l'habitation et la patente sur les revenus du commerce et de l'industrie, c'est la « révolution » fiscale.
Liberté sans limites de la presse et de la librairie, droits politiques reconnus aux protestants et aux juifs, c'est la révolution « citoyenne » qui se traduit en particulier par l'explosion du nombre de clubs et de journaux. En 1790, on recense 335 titres à Paris et plus de 400 en province.
Libération des échanges intérieurs, libre jeu des prix et des profits, abolition des corporations, jurandes, maîtrises, manufactures à privilège, interdiction des associations patronales et ouvrières, liberté de culture et de clôture, d'entreprise et du travail, naissance du « brevet » d'invention, c'est affirmer que « l'âme du commerce est l'industrie » et que « l'âme de l'industrie est la liberté ». C'est proclamer, comme le fait la loi dite d'Allarde, que chaque citoyen est libre d'exercer telle profession, tel art ou métier qu'il trouvera bon. Les députés votèrent même un décret contraignant un propriétaire « paresseux » à cultiver ou défricher sa terre, sous peine d'expropriation !
Conformément aux promesses de la Déclaration des droits de l'homme, la France est devenue une société de citoyens aux droits égaux où peuvent s'épanouir librement les capacités, le mérite, le travail et les talents. »
Pourtant les événements allaient dégénérer…

Le 12 juillet 1790, fut votée la Constitution civile du clergé. Mais une partie seulement du clergé vota cette Constitution, l'autre partie fut nommée : les prêtres réfractaires. Ces derniers furent considérés comme les premiers « ennemis » de la Révolution.
Le 20 juin 1791, Marie-Antoinette (l'épouse de Louis XVI) et Louis XVI tentèrent de fuir Paris. Ils furent reconnus et arrêtés à Varennes et reconduits à Paris le 25 juin. L'espoir d'une Monarchie Constitutionnelle disparut alors. Qui plus est, le 17 juillet 1791, la Garde Nationale commandée par La Fayette tira sur une foule composée de 4 000 à 5 000 pétitionnaires réunis sur le Champs-de-Mars.
Les dissensions au sein de la Nation s'exacerbaient…
La première Constitution Française fut votée le 3 septembre 1791, confiant le pouvoir législatif à une assemblée unique de 745 députés, élue pour deux ans.
Puis, les trahisons se généralisèrent et les tensions entre les « sans-culottes » et la bourgeoisie s'exacerbèrent.
Dans la nuit du 9 au 10 août 1792, les Tuileries furent le lieu d'une « commune insurrectionnelle » de la part des « sans-culottes » où résidait l'ex-famille Royale.
Les gardes Suisses chargés de défendre Louis XVI et sa famille, et qui avaient déposé les armes sur l'ordre du Roi afin d'éviter l'affrontement, furent massacrés dans une immonde barbarie. Louis XVI était alors définitivement déchu.
Après le massacre des Tuileries, Louis XVI fut fait prisonnier et incarcéré à la prison Du Temple. Désormais, la Révolution n'allait cesser de glisser vers la Terreur pour finir jusqu'à la Grande Terreur en 1794 !
Les jours qui suivirent le 10 août, les députés votèrent la création d'un Tribunal criminel extraordinaire pour juger les crimes de contre-révolution. Les prêtres réfractaires devinrent passibles de déportations en Guyane, s'ils ne quittaient pas la France sous quinzaine. Les notions de « suspect », de « contre-révolutionnaire » renforçaient un climat de suspicion généralisé.
C'est alors qu'eut lieu, du 2 au 6 septembre 1792, les effroyables « massacres de Septembre » dans les prisons parisiennes. Environ la moitié des 3 000 personnes emprisonnées furent sauvagement massacrées.
Avec l'abolition de la Royauté, il fut déclaré l'an I de la République, le 21 septembre 1792.
Le 22 octobre, l'Armée Française bouta hors de France, les Prussiens. le 25 octobre, la Convention adopta la fameuse formule restée célèbre : « La République française est une et indivisible ».
Déjà, Saint-Just et Robespierre réclamaient la mort immédiate, sans jugement, de Louis XVI. Mais son procès débuta tout de même, le 11 décembre 1792. Finalement, Louis XVI fut condamné à mort et guillotiné le 21 janvier 1793, déclarant à la foule : « Peuple, je meurs innocent ! Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France ! ».

P.S. : Vous pouvez consulter ce commentaire, dans son intégralité, sur mon blog :
Lien : https://communismetotalitari..
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J'ai apprécié l'oeuvre de Jacques Marseille (en 2 tomes), la façon dont il a écrit l'histoire de France, si riche, sans être chauvin l'une des plus riches, un peu comme ses paysages et... ses fromages.
Jacques Marseille nous a quitté en 2010 nous laissant un héritage littéraire historique.
Son récit de l'histoire de France est fluide, bien écrit, c'est le premier ouvrage sur toute l'histoire de la France que j'ai lu.
Ensuite, je me suis orienté pour "L'histoire de France pour les nuls" de Jean-Joseph Julaud, je considère qu'il faut lire quelques ouvrages qui racontent l'histoire au complet de A à Z pour ensuite pouvoir approfondir les époques que l'on souhaite (je saisis mieux les époques et contextes.).
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Un ouvrage qu'on lit comme un roman et qui n'a rien à voir avec un livre scolaire d'Histoire de France du temps jadis.
C'est une succession de récits qui relatent les rôles, les actions des héros et grands personnages qui ont fait La France au cours des siècles ... sans pour autant nous "embrouiller" avec plein de dates. Les chapitres se déroulent et s'enchaînent avec clarté, tout en restant lié au contexte de la période, qu'il s'agisse de comportements, de croyances ou de manières de vivre au quotidien.

Un livre d'Histoire de France qui mérite une place d'honneur dans toutes les bibliothèques.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Si la Ve république a aussi échoué, c'est bien dans l'affirmation de l'autonomie de l'Etat par rapport aux intérêts catégoriels ou locaux...
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