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Critique de Colibrille
Jusqu'à maintenant, je crois que je n'avais encore jamais lu de roman survivaliste. Je ne m'attendais pas à ce que le premier soit un roman ado ! Rien que pour cela, "I'm still alive" mérite que l'on parle de lui.
Si j'avais compris que la thématique du roman serait la survie en pleine nature, je ne pensais pas qu'elle serait exploitée de manière si réaliste et exclusive. Si je dis exclusive, c'est parce que l'intrigue du roman est uniquement consacrée à Jess, une adolescente qui tente de survivre tant bien que mal au milieu d'une nature hostile. Jess, son chien, la nature et... rien d'autre. Pendant près de 350 pages, nous la suivons, l'observons se battre contre la nature, contre elle-même, faiblir, résister, abandonner, recommencer.
Si le combat quotidien de Jess est très bien retranscrit, je l'ai malheureusement trouvé trop long et répétitif, à tel point qu'il en vient à perdre sa "saveur" particulière. Alors qu'au départ, on a le sentiment de vivre, ressentir profondément l'épreuve traversée par Jess, on finit par se distancer d'elle, des mêmes phrases qu'elle se répète sans cesse, des mêmes gestes qu'elle effectue etc. Même l'intrigue parallèle liée au passé de son père ne parvient pas à apporter un autre souffle à l'histoire. Cela est dommage car elle aurait pu amener une véritable tension psychologique et transformer le roman en un thriller d'ambiance très réussi. L'auteure aurait par exemple pu , cela aurait pimenté le tout. Malheureusement, le rebondissement final, , survient trop tardivement et semble se conclure de manière précipitée, brouillonne.
En dépit de ces quelques déceptions, j'ai quand même aimé ce roman dans le sens où il propose quelque chose de réellement différent.
Si j'avais compris que la thématique du roman serait la survie en pleine nature, je ne pensais pas qu'elle serait exploitée de manière si réaliste et exclusive. Si je dis exclusive, c'est parce que l'intrigue du roman est uniquement consacrée à Jess, une adolescente qui tente de survivre tant bien que mal au milieu d'une nature hostile. Jess, son chien, la nature et... rien d'autre. Pendant près de 350 pages, nous la suivons, l'observons se battre contre la nature, contre elle-même, faiblir, résister, abandonner, recommencer.
Si le combat quotidien de Jess est très bien retranscrit, je l'ai malheureusement trouvé trop long et répétitif, à tel point qu'il en vient à perdre sa "saveur" particulière. Alors qu'au départ, on a le sentiment de vivre, ressentir profondément l'épreuve traversée par Jess, on finit par se distancer d'elle, des mêmes phrases qu'elle se répète sans cesse, des mêmes gestes qu'elle effectue etc. Même l'intrigue parallèle liée au passé de son père ne parvient pas à apporter un autre souffle à l'histoire. Cela est dommage car elle aurait pu amener une véritable tension psychologique et transformer le roman en un thriller d'ambiance très réussi. L'auteure aurait par exemple pu , cela aurait pimenté le tout. Malheureusement, le rebondissement final, , survient trop tardivement et semble se conclure de manière précipitée, brouillonne.
En dépit de ces quelques déceptions, j'ai quand même aimé ce roman dans le sens où il propose quelque chose de réellement différent.
