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Valérie Bourgeois (Traducteur)
EAN : 9782266323635
448 pages
Pocket (09/06/2022)
3.99/5   129 notes
Résumé :
Un homme est retrouvé mort à la sortie d’un pub des Midlands, son corps lacéré de coups de couteau. Un ex-taulard, condamné pour viol. Chargée de l’affaire, l’inspectrice Kim Stone débusque rapidement la coupable : Ruth, une ancienne victime. Simple vengeance ? Sauf que quelque chose ne colle pas.
Pour comprendre les raisons de ce passage à l’acte, la policière se tourne vers Alex Thorne, une psychiatre reconnue qui suivait Ruth depuis des mois.
Dès l... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (68) Voir plus Ajouter une critique
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Rien à dire, ce roman est pas mal ficelé ; une fois commencée, l'intrigue se déroule avec fluidité et j'ai passé un moment de lecture agréable. Mais malheureusement pour moi, je ne ressors de cette lecture que moyennement convaincue, tout simplement parce que je n'ai jamais totalement cru à cette enquête, non parce que ce qui était raconté n'était pas crédible mais parce que je n'ai pas réussi à embarquer. Electrocardiogramme tristement plat.

Un violeur condamné et libéré pour bonne conduite a été assassiné. Toutes les preuves mènent à son ancienne victime, Ruth, qui avoue immédiatement. Trop facile. L'inspectrice Kim Stone se fit à son intuition et se focalise sur la psy de Ruth. Dès le départ, on sait que le Dr Alexandra Thorne, la psy, est une dangereuse sociopathe qui poursuit le sombre dessein de manipuler ses patients pour les pousser à se venger et tuer.

Excellente idée que de centrer le roman sur ce duel féminin, Stone vs Thorne, la ( la pierre contre l'épine, si on traduit ), en faisant alterner les pensées de chacune et leurs plans pour coincer leur adversaire. le personnage de l'inspectrice est impeccablement campé, vraiment très intéressant, implacable dans sa quête de vérité judiciaire, carapace de dureté, abimée par un passé traumatique que la psy va tenter d'instrumentaliser pour la faire chavirer.

J'adore le duel psychologique mais il faut que les deux protagonistes soient à la hauteur l'un de l'autre , et si la psy est redoutable d'intelligence machiavélique, j'ai trouvé qu'elle était moins bien campé et caractérisé que la formidable inspectrice. Surtout, je n'ai pas compris le choix de coller une intrigue secondaire ( démasquer le complice d'un père pédophile ), sans grand intérêt d'autant que la résolution est un poil capillo-tractée car vite bazardée pour revenir sur l'intrigue principale.

Cette dernière était suffisamment forte pour se suffire à elle-même. Plutôt que de la diluer, les curseurs auraient pu être poussés beaucoup plus loin, pour plus d'intensité, plus de tension. Lorsque l'auteure, dans le dernier tiers, cible les traumatismes de Kim, là, il y en a de l'intensité et du palpitant. Pas assez à mon goût. Sans doute me fallait-il plus d'audace et un parti pris littéraire plus singulier pour totalement apprécier cette lecture, somme toute récréative et plaisante.

Lu dans le cadre d'une masse critique privilégiée
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Après le Pensionnat des innocentes, j'ai enchainé directement sur ce deuxième tome, tant que tout était "frais" dans ma tête...
L'inspectrice Kim Stone est sur tous les fronts : grosse intervention chez des parents soupçonnés de pédophilie envers leurs deux fillettes , et le meurtre d'un violeur par son ancienne victime. Et nous, lecteurs de suivre ces deux affaires en paralléle dont la dernière prend le pas (en temps consacré) sur la première. Kim soupçonne la psychiatre chargée de suivre la victime de viol, de souffler sur les braises et d'avoir manipulé sa patiente pour qu'elle commette un meurtre.
J'ai eu beaucoup de mal ( mais peut-être suis-je trop naÏve ) à croire qu'un psychiatre soit aussi machiavélique au point de... Et partant de là, mon adhésion au roman en fut contrariée. Mais comme à part cet aspect, tout le reste tient la route, le rythme est au rendez-vous, et l'inspectrice qu'on apprend à connaitre intriguante , tant son passé est tortueux, j'ai "marché" quand même . Ce ne sera pas ma série préférée, mais j'y retournerai avec intérêt , dés que le tome 3 sortira.
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Alerte Coup de coeur !!!
Kim et son équipe interviennent chez les Dunn. le mari Léoanard est arrêté pour avoir commis des choses sexuelles avec sur sa fille. Pour Kim la satisfaction de l'avoir arrêté n'est pas totale car la mère dit n'avoir vu aucun signe avant coureur, que le cadenas sur la trappe de la cave ne l'intriguait pas par exemple… Elle est bouleversée par le fait de savoir que cette mère qui n'a pas su protéger ses enfants va pouvoir les récupérer. de plus quelque chose va la déranger en regardant une des vidéos et sa découverte va être plus que surprenante et choquante quand elle va comprendre.
Allan Harris avait violé Ruth Willis quand elle avait 19 ans et qu'elle était en fac de droit. Il l'avait passé à tabac et laissé pour morte à coté de chez elle. Elle n'a jamais pu reprendre une vie « normale » et surtout qu'il y a quelque mois, elle l'a aperçu sans avoir purgé la moitié de sa peine. Elle fait une tentative de suicide qui l'a conduit à suivre des soins auprès du Docteur Alexandra Thorne. Allan Harris est retrouvé mort agressé de coups de couteau. Ruth est très vite identifiée comme étant la coupable mais la aussi quelque chose ne colle pas pour Kim. Finalement est ce vraiment elle là coupable ?
Kim va croiser à plusieurs reprises ce médecin qui va la mettre de plus en plus mal à l'aise. Pourquoi ?
Comme d'habitude je n'ai pas lu avant « le pensionnat des innocentes » mais on y retrouve ici le personnage de Kim .Un très bon thriller psychologique qui je pense arrive a bien retranscrire le ressenti des personnages comme la sensation d'être abandonnée par la justice quand Ruth voit son violeur libéré alors qu'il n'a même pas fait la moitié de sa peine, la rage, la haine qu'elle a au fond d'elle et qui l'épuise. L'idée qu'elle ne sera jamais bien tant qu'ils seront tous les deux en vie…. Elle ne va pas forcement être bien entourée pour surmonter ce traumatisme, c'est le moins que l'on puisse dire ! On ressent aussi très bien le double sentiment de Kim qui arrive à stopper un violeur mais qui d'un autre coté, voit que les filles vont devoir vivre avec une mère qui dit n'avoir rien vu et elle en est loin d'être persuadée (Son passé explique aussi ce sentiment). Et l'élément explosif qu'elle fini par découvre est le coup de grâce.
On est dans un roman noir, on est sur de la pédophilie, agression sexuelle,… mais des éléments encore pire vont venir ajouter du noir au noir dans les affaires. Je ne préfère pas vous en dire plus pour vous laissez les surprises.
#NosMonstres #NetGalleyFrance
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Et si l'on réveillait les monstres qui dorment en nous....
Un thriller psychologique comme je les aime...
Avec un dosage parfait.
Pas trop de.... ni trop de...
Vous savez, les trucs qui vous broient les entrailles au point où vous avez envie, à chaque page de poser ce maudit bouquin, de l'enfermer à double tour dans les profondeurs de votre cave pour qu'il ne vienne plus vous tourmenter. Ou encore ces lectures, d'où vous ressortez avec une impression angoissante d'être couvert du sang des victimes.
Non, dans Nos monstres, d'Angela Marsons, je n'ai pas ressenti ça. Juste le plaisir diabolique d'une lecture addictive et efficace.
Ah, les confrontations entre les deux héroïnes principales, la tension, le jeu du chat et de la souris, les regards glacés, les griffes aiguisées, prêtent au combat.
Qui sortira vainqueur ?
Bien malin celui (celle) qui saurait le dire.
Kim est flic.
Une bosseuse, une acharnée, infatigable. D'ailleurs elle ne dort pas beaucoup. Son passé la hante. Un drame vécut dans son enfance. Traumatisée.
Alors, quand Elle débarque sur une affaire de pédophilie, inutile de dire qu'elle est motivée.
Alexandra est psy. Belle femme. Belle situation. Elle reçoit dans son cabinet, les hommes et les femmes que le tribunal lui envoie. Elle adore.... (Oui, vous voyez comme ses yeux s'illuminent d'un coup ). Elle est là pour les aider à se reconstruire. Enfin... elle devrait être là pour ça... (rire satanique).
Marsons fait preuve d'une grande maîtrise dans la gestion du suspense et de la peur. Elle hypnotise le lecteur focalisé sur ses deux protagonistes.
Elle alterne adroitement les chapitres, comme dans tout bon roman du genre, nous permettant de reprendre notre souffle ou nous agaçant, parce qu'au moment de la plus extrême tension, elle change de sujet... Grrrr !!!
Je le redis, c'est terriblement efficace et je vous le recommande vivement.
À ne pas manquer...
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Nos monstres, Evil Games dans la version originale parue en , a été publié en 2021 par les éditions Belfond. le style est brut de décoffrage, caractérisé par un vocabulaire et une syntaxe sculptés dans la pierre des mots: "Elle s'essuie les mains sur un torchon qui traîne par là et, dressée de toute sa hauteur, se campe devant le nouveau venu. Ils font presque la même taille. Une main sur la hanche, elle glisse instinctivement l'autre dans ses cheveux noirs ébouriffés. C'est un rituel avant chaque bataille. Bryant y est habitué. -Qu'est-ce que tu veux? . Bryant évite prudemment les pièces détachées de moto éparpillées au sol." (Page 15)...Et des dialogues à l'emporte-pièce qui donnent au roman une touche de dérision, allégeant un peu l'atmosphère: "Il lui tend une tasse de café avant de s'appuyer contre l'établi. -J'ai vu que tu t'étais remise à la pâtisserie? -Tu en as pris un? -Il s'esclaffe. -Non, sans façon. Je tiens à ma vie, et je n'avale rien que je ne puisse identifier. On dirait des mines afghanes. -Ce sont des biscuits." (Page 18)
Un humour dans la même veine, des formules grinçantes, un souffle revigorant décoiffe le lecteur: "Bryant tire un paquet de pastilles contre la toux de la poche de sa veste. Il lui en propose une, qu'elle refuse. -Tu devrais vraiment te sevrer de ces cochonneries, dit-elle, assaillie par l'odeur de menthe. Bryant y est accro depuis qu'il a arrêté de fumer quarante cigarettes par jour. -Ca m'aide à réfléchir. -Dans ce cas, prends-en deux." (Page 53)...Bryant pousse un soupir. -C'est peut-être un coup des lutins. -Quoi? Il rapporte deux tasses à la machine à café. -Superstition de mineurs. Quand un lutin s'énerve, il cache les outils, vole les bougies, surgit derrière des monticules de charbon, bref, emmerde tout le monde. Personne n'en a jamais vu, mais dans les mines, on croit dur comme fer à leur existence. -Merci pour l'info. On n'a plus qu'à chercher la jumelle maléfique de Clochette." (Pages 92-93)
Thèmes: mères malfaisantes ( Wendy Dunn, mère de Kim); enfants maltraités; enfants et femmes violentées.


Un homme est retrouvé mort dans une ruelle, poignardé de plusieurs coups de couteau à l'abdomen. Il s'agit d'un ancien taulard, condamné pour avoir violé sauvagement et tabassé une jeune femme qu'il avait laissée pour morte mais qui a survécu.
Deux jours plus tard, l'inspectrice Kim et son équipe identifient et arrêtent la meurtrière: Ruth, celle-là même pour laquelle il a été condamné. Comme dit Kim: victime + coupable = fin de l'enquête. Mais les choses ne sont pas si simples.
Le superintendant demande à Kim d'approfondir le dossier qui doit être en béton armé s'ils veulent que la coupable soit condamnée. le moindre vice de procédure, la moindre faille permettrait à un bon avocat de s'engouffrer dans la brèche et de la faire acquitter.
Lorsque Kim reprend les éléments du dossier, elle constate rapidement que quelque chose ne colle pas. Pourquoi Ruth est-elle passée à l'acte maintenant? Simple vengeance? Dans ce cas, pourquoi s'être acharnée sur le corps d'Alan Harris alors que le premier coup de couteau était fatal? Pour comprendre ce qu'il s'est vraiment passé Kim et Bryant s'adressent à Alexandra Thorne, la psychiatre qui suivait Ruth avant le meurtre.
Kim, qui ne s'est pas laissée embobiner par le charme du médecin, est mise en alerte par des détails qui la dérangent. Dès lors, un combat acharné s'engagent entre les deux femmes, menant Kim au bord de l'implosion et faisant resurgir les blessures de son passé. S'en sortira-t-elle indemne? Réussira-t-elle à prouver la responsabilité d'Alexandra?

Parmi tous les romans policiers que je lis dans une année, quels sont les critères qui font qu'un polar retienne plus particulièrement mon intérêt et qui me donne envie de le lire jusqu'au bout? Je dirai en premier lieu la psychologie des personnages, leurs motivations, leurs ressentis, leurs émotions, tout ce qui les rend plus proches de nous, qui en fait des êtres humains et non pas des figures de papier. Angela Marsons s'attache à expliquer l'impact des crimes sur les victimes, mais également le poids d'une enquête criminelle sur les enquêteurs, donnée primordiale si l'on veut comprendre les ressorts des investigations policières; ne jamais oublier qu'ils sont avant tout des êtres humains et non pas des super-héros capables de tout voir et de tout encaisser: "Cette enquête les a hantés à toute heure du jour et de la nuit, qu'ils soient au travail ou en repos. Après tout le calvaire de ces petites filles innocentes, toujours captives de leur père, ne cessait pas en dehors des heures de service. Chaque minute qui n'était pas consacrée à faire avancer l'enquête faisait durer leur supplice, et cette pensée suffisait pour qu'aucun agent ne compte ses heures supplémentaires." (Page 34).
De là découle la question morale intrinsèque à toute enquête criminelle: comment enquêter sur l'assassinat d'un homme qui a commis des actes irréparables, comme Alan Harris qui a sauvagement violé Ruth Willis? Comment ne pas se féliciter des coups de couteaux qui l'ont envoyé ad patres? Comment se montrer impartial et faire oeuvre de justice, qu'elle que soit la victime: "-Je comprends, seulement on n'a pas le luxe d'enquêter uniquement sur les meurtres des bons et des vertueux. -Mais comment veux-tu donner le meilleur de toi-même pour uhne sous-merde pareille? réplique-t-il en se tournant vers elle. Elle n'aime pas la tournure que prend cette conversation. -C'est notre boulot, Bryant. Tu n'as pas signé de clause qui t'autorisait à sélectionner les personnes que tu protèges. On applique la loi, et celle loi s'applique à tout le monde." (Page 74).
Le +: Angela Marsons excelle dans son analyse minutieuse du ressenti d'un tueur en puissance, de ce qui motive sa rage, son besoin de détruire, non pour absoudre mais pour comprendre; son propos est de chercher à comprendre afin de proposer une solution à la société qui, dans la plupart des cas, ne sait pas quoi faire avec les tueurs en série, les sociopathes, d'où l'importance de développer la psychologie comportementale et de former les agents: "Ce n'est pas la saleté sur son corps qui le dérange. C'est la souillure à l'intérieur. Son passé a pourri toutes ses cellules. Souvent, il s'imagine ôter ses membres et les laver à tour de rôle dans de l'eau savonneuse. Il frotterait bien avant de les remettre en place, tout beaux tout neufs...Mais le souvenir du membre de son oncle s'enfonçant en lui ne le quittera jamais, pas plus que la nausée qu'il ressent chaque fois qu'il songe aux caresses dans ses cheveux et aux paroles d'encouragement intimes qui accompagnaient l'acte. Les mots tendres chuchotés étaient pires que le viol." (Page 124)...Sans oublier les victimes...
Nos Monstres, dont l'intrigue complexe offre des fils qui partent dans plusieurs directions pour finalement se rejoindre sur un point de vue, celui des victimes d'actes irréparables, est un roman puissant, dont la lecture ne peut laisser indifférent tant avec des mots simples son auteur met le doigt sur des questionnements sensibles mais cruciaux. Tant il est vrai que, finalement, la société dite moderne se retrouve désarmée face à des crimes qu'elle ne peut et ne veut comprendre. Juger et punir pour éviter qu'ils se reproduisent, certes, est une démarche tout à fait louable. Mais est-ce suffisant? Ne faut-il pas pénétrer plus avant dans le psychisme des tueurs afin de mieux saisir ce qui les motive, ce qui les a conditionnés? Traiter le mal à la racine, telle pourrait être une solution plus envisageable sur le long terme. Nos Monstres pose la question. Y réfléchir est déjà un premier pas...
Lien : https://legereimaginarepereg..
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
La bonne nouvelle, c'est que les insomniaques ont un taux métabolique plus élevé que ceux qui dorment de sept à huit heures par nuit, et ils vivent plus longtemps. On parle d'insomnie sévère quand une nuit de sommeil ne dépasse pas les trois heures et demie.
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- Qu'est-ce que ce monstre vous a pris ? Utilisez vos mots.
Elle prend le temps d'y réfléchir, songeuse.
- La lumière.
- C'est-à-dire ?
- Tout en est dépourvu. Avant cette nuit-là, le monde entier me semblait lumineux. La lumière éclairait tout, y compris les jours gris et orageux. Depuis, elle s'est éteinte. C'est comme si un filtre noir me couvrait la vue. Tout s'est assombri. Le soleil des jours d'été ne brille plus autant, les blagues ne sont plus drôles, aucune bonne action n'est dénuée d'arrière pensée… Ma vision du monde et de tous ceux qui l'habitent, y compris mes proches, a été irrémédiablement changée.
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" Le monde est dangereux à vivre, non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."
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- Première question : qu'est ce qui définit un sociopathe, exactement ?
- L'absence de conscience morale. Leur patrimoine génétique en est tout bonnement dénué, si bien qu'ils ne ressentent ni inquiétude ni amour envers les êtres vivants. C'est une condition bien plus commune qu'on ne le croit : elle touche environ quatre pour cent de la population.
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Le monde est dangereux à vivre,non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.
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