Alix, tome 2 : Le Sphinx d'or

Commencée avec le siège d'Alésia qui verra la défaite de Vercingétorix face à l'armée de Jules César, cette deuxième aventure d'Alix va nous emmener en Égypte.Il est chargé d'enquêter sur les agissements d'un certain" Sphinx d'or".
Cette enquête colorée a comme particularité d'être aussi le lieu de la rencontre entre Alix et le jeune Enak qui va ensuite continuer à l'accompagner dans bien des aventures.

disparu le 29 janvier 2010 a l âge de 89ans Jacques Martin nous légué avec
alix une fresque historique ambitieuse
jamais entreprise en bandes dessinées.
aventures,frissons, et culture garantis
pour qui veut commettre l histoire de nos ancêtres de façon moins informelle
qu, a travers les livres 📚 d histoire.

Je poursuis ma relecture des aventures d'Alix avec le 2ème volet « le sphinx d'or ». C'est encore une fois un plaisir savoureux que de se replonger dans cette série qui, si elle n'est pas exempte de défauts, est un classique du genre. Par certains côtés, la B.D a un peu vieilli. Je pense à l'omniprésence de textes descriptifs (mais c'était un usage répandu à l'époque) ou aussi à l'allure du gaufrier. Mais Alix est décidément une série de qualité et ce tome en est une nouvelle preuve. « le sphinx d'or » propose une intrigue assez dense qui fait la part belle aux complots et retournements de situation. C'est vraiment ambitieux pour une B.D destinée à un jeune public. Je vais poursuivre avec plaisir ce retour en enfance.

Après avoir retrouvé le village gaulois de sa famille, Alix retrouve César à Alésia. Celui-ci le charge d'une mission en Égypte...
Tout comme dans le tome 1, les rebondissements s'enchaînent et Alix se tire avec aisance de toutes les situations difficiles. Une lecture où on n'a pas le temps de s'ennuyer mais qui, à mon goût, emboîte un peu vite toutes les scènes d'action.

Le sphinx d'or est très bon par rapport au premier et est surtout plein de rebondissements. Je l'ai
vraiment aimé. J'ai hâte de lire la suite.

Partagé entre deux cultures, la gauloise dont il est natif et la romaine par adoption, Alix va quitter sa tribu à peine retrouvée pour servir César en Egypte.
L'occasion d'aventures toujours aussi virevoltantes à la poursuite d'une mystérieuse organisation.
L'histoire est moins touffue, plus linéaire et le dessin s'affirme. Décors et mise en couleur, rapidité de l'action font oublier ce que cette aventure peut avoir d'invraisemblable, bien sûr. Mais ni plus ni moins qu'un bon James Bond dont elle reprend le scénario habituel.

Alix est de retour dans son « pays » en pleine Guerre des Gaules. Et justement, alors que César est en plein siège de la cité d'Alésia, celui-ci confit une mission à Alix qui va l'emmener en Égypte pour déjouer les plans d'un mystérieux Sphinx d'Or…
Malgré un descriptif et des phylactères un peu lourds, le récit est intéressant et l'enquête est pleine d'action et de rebondissements…
Moi qui a suivi cette série a l'envers avec Alix Senator, je retrouve un peu le style cette dernière dans ces premiers albums.

Second tome des aventures d'Alix. Je trouve le scénario plutôt abouti et l'histoire interressante. On sait en effet qu'à l'époque romaine, les contacts entre extrême Orient et Moyen-Orient existaient. Je graphisme s'affirme un peu, même si on a encore quelques imprécisions comme page 42, l'emplacement de l'oeil du cheval : cela gâche la case... L'histoire rattrape le tout

Dans ce deuxième tome de la série, nous retrouvons Alix pendant le siège d'Alésia. L'aventure du Sphynx d'or va la conduire en Egypte où il retrouve Arbacès son ennemi rencontré précédemment. J'ai mieux apprécié cet album dont j'ai trouvé la lecture plus aisée.

Retour sur un classique de la BD, lu et relu tant de fois dans ma jeunesse. La première publication des planches de cet album dans le journal de Tintin date de 1948, pourtant le récit n'a pas vieilli. Certes, il reste très bavard pour aujourd'hui : beaucoup de texte dans de toutes petites vignettes. Mais l'intrigue est vivante et sans temps mort.
La partie initiale qui rappelle le siège d'Alésia est très bien faite, la rencontre avec le jeune Enak à Alexandrie est dynamique, et la suite dans le temple d'Efaoud tient plus de l'imagination galopante de Martin, mais reste dans la grande aventure.
Les dessins sont méticuleux au possible et transportent le lecteur dans un monde antique assez réaliste, avec toujours de somptueux décors de bâtiments.
Cet épisode d'Alix passe les années plutôt bien et reste à conseiller pour qui veut se divertir dans un contexte antique.