AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,62

sur 378 notes
Rien à faire !
J'étais méfiant vis-à-vis de cette longue nouvelle des aventures de Dunk et l'Oeuf à cause de l'engouement actuel concernant G.R.R. Martin et son oeuvre, et la façon dont nos chers éditeurs français profitent du filon en triplant le prix de l'original (en découpant un livre en trois). En manque de ma drogue Westerosienne depuis un an j'ai craqué pour le petit précieux sorti cet été (2014) et lâché les 15€ demandés.
Et je me suis régalé.

J'avoue, j'ai apprécié l'objet-livre. C'est rare pour une nouvelle de se voir emballé comme ça. Ici les mots ont de l'air pour respirer contrairement aux éditions de poche. J'ai aimé la police de caractère employée pour exprimer les pensées de Dunk, qui imite une élégante écriture manuscrite. Et l'oeuf de dragon illustré sur la couverture est superbe. Bref, en lisant, j'avais l'impression de conduire une luxueuse BMW série 4 toute neuve : ça coûte honteusement cher mais le plaisir est au rendez-vous.

Mais soyons clair, c'est avant tout l'histoire racontée qui m'a plu, tout à fait dans la lignée des deux nouvelles précédentes sur Dunk et l'Oeuf. Chevalier désargenté, Ser Duncan le Grand dit Dunk se dirige vers le Nord avec son écuyer l'Oeuf dans le but de vendre ses services aux Stark qui luttent contre les Fer-Nés. Attiré en chemin par les prix offerts lors du tournoi qui clôturera les noces de Lord Beurpuits, il décide de tenter sa chance. Il ne s'attend pas à se retrouver dans un vrai sac de noeuds d'intrigue. Les partisans de la vieille rébellion Feunoyr n'ont en effet pas tous renoncé à détrôner le roi Targaryen.

Le manque d'action ne m'a pas gêné ; c'était déjà le cas dans « l'Épée Lige, la deuxième nouvelle consacrée à nos héros. de même l'absence totale de magique et de fantastique n'entraîne pas de manque (sauf si c'est ce qu'on vient chercher). de fait il y a largement de quoi boire et manger dans la description de ces nobles médiévaux qui festoient et joutent, qui complotent et combattent. On trouve des parangons de noblesse pure, des traîtres, des roublards, des lâches. On s'attend presque à voir Ivanhoé lancé au galop, une lance de tournoi en main. Tout cela est cousu ensemble avec les fils d'une intrigue politique dont l'importance se dévoile peu à peu. Seule manque la présence d'une forte personnalité féminine.

Rien de tout cela n'est nouveau bien sûr, et l'on trouvera des acteurs et des situations semblables le long de l'oeuvre principale « A song of Ice and Fire ». Mais j'étais en manque je vous dis. Et cette dose de Westeros était de la bonne, pure à 90% au moins.
Commenter  J’apprécie          340
Je commençais à peine à découvrir ce roman de George R. R. Martin quand Gregory Da Rosa m'a proposé son excellent Sénéchal, une trilogie, qui a pris le pas ou plutôt le galop sur cette lecture, L'oeuf du dragon fait bien pâle figure à côté mais je ne suis pas une experte en fantasy.
Je reconnais que l'histoire s'étoffe et devient intéressante à partir de l'arrivée aux murs-blancs. le style n'a rien de spécial mais j'ignore si cela vient de l'auteur ou du traducteur.
Pour l'instant, pas de coup de foudre. Il me reste encore le trône de fer volume 1 pour me faire une idée car ces 170 pages sont trop peu pour juger un auteur dont j'aime beaucoup la série, à suivre...
Commenter  J’apprécie          310
Alors que le sixième tome de la saga à succès « Game of thrones » se fait toujours attendre, G. R. R. Martin fait patienter son lectorat avec quelques récits inédits se déroulant également sur Westeros mais à une époque antérieure. « L'oeuf de dragon » est ainsi la troisième nouvelle consacrée au duo composé du chevalier errant Dunk et de son jeune écuyer baptisé l'Oeuf. On retrouve ici nos deux compères en route pour le nord où ils espèrent pouvoir mettre leur épée au service des Stark, déjà en proie aux velléités de rébellion des Fer-nés. La vie d'un chevalier errant n'est toutefois pas aisée, le froid et la faim auxquels s'ajoutent le manque de confort et surtout de considération faisant partie du quotidien de ces guerriers résolus à ne dépendre d'aucun seigneur. Alors lorsqu'on leur propose de faire escale à Murs-Blancs où un tournois réunissant la fine fleur de la chevalerie locale est prévu en l'honneur des noces de Lord Beurpuits, la tentation est grande de profiter du gîte et du couvert offerts en échange de leur participation. le prix proposé au vainqueur est également alléchant et inhabituellement prestigieux : un oeuf de dragon. On renoue ici avec le monde des tournois déjà mis en scène dans « Le chevalier errant ». le martellement des sabots des chevaux, le fracas des lances, les armures étincelantes, les défis lancés par des chevaliers épris de gloire... : la richesse et la crudité de la plume de l'auteur rend cette fois encore l'immersion immédiate.

Si le décor constitue à lui seul une raison suffisante pour apprécier la nouvelle, son intérêt réside aussi et surtout dans ce qu'elle nous apprend d'inédit sur l'histoire mouvementée de Westeros. La guerre civile opposant les Stark aux Lannister est en effet loin d'être la première à avoir menacé la stabilité et la prospérité des sept royaumes. Dans le cas présent le lecteur arrive toutefois après la bataille puisque cela fait déjà plusieurs années que les partisans de deux prétendants concurrents se sont joyeusement étripés au champ d'Herberouge. Certaines maisons ont malgré tout encore du mal à digérer la défaite de celui que l'on appelait alors le « dragon noir » et qui pourrait fort bien toujours constituer une menace pour le souverain actuel. G. R. R. Martin profite également de l'occasion pour nous familiariser un peu plus avec les puissants et les célébrités de l'époque, qu'il s'agisse de la redoutable et redoutée main du roi Freuxsanglant, ou bien de chevaliers plus modestes comme ser Kyle le Chat, Maynard Prünh, Glendon Boule ou encore Jehan le Ménétrier. Autant de personnages qui donnent davantage de corps à l'univers et de complexité à l'intrigue. On prend aussi plaisir à suivre l'évolution des relations entre ces deux protagonistes aux caractères si éloignés et s'entendant pourtant comme larron en foire : l'un est taciturne, bougon mais profondément honnête, et l'autre impulsif, sûr de lui et, en dépit de son jeune âge, déjà rompu aux intrigues de cour.

Les aventures de Dunk et l'Oeuf constituent donc un supplément agréable au « Trône de fer » et nous permettent de nous familiariser avec l'histoire de Westeros sur lequel plane ici aussi le spectre de la guerre civile. On reconnaît d'ailleurs sans mal la patte de G. R. R. Martin qui se montre une fois encore particulièrement retors, multipliant les indices et les fausses pistes pour au final nous surprendre complètement dans les dernières pages. A découvrir.
Commenter  J’apprécie          292
Ah, j'ai beaucoup aimé ce petit interlude "martinesque", dégoté pour un item du challenge "Harry Potter" sur FB.

Il est vrai que je n'ai pas accroché au "trône de fer", hélas, qui part beaucoup trop dans tous les sens à mon goût.

Ici cependant, et comme dans les autres que j'ai lus, il se concentre juste sur Ser Duncan et "l'Oeuf" (ça me fait toujours rire ce nom), et du coup, on y gagne en précision, en justesse de ton, et l'intrigue, quoi qu'assez complexe, reste facilement "suivable" (bien que l'auteur sème tellement de petits cailloux qu'on s'y perd, mdr !).

C'est vraiment bien écrit, j'ai adoré les descriptions des joutes, on plonge vraiment dans une ambiance de moyen-âge, c'est fabuleux de réalisme !

Bref, c'était cool, et je l'ai lu en deux fois, parce qu'une fois dedans, j'arrivais plus à m'en sortir !
Dommage que j'accroche pas à l'oeuvre maîtresse, mais elle a pour moi des défauts totalement absents ici.
Commenter  J’apprécie          273
Je peux officiellement dire que je viens de faire la lecture la plus décevante de ce premier quart de l'année 2015.

Appâtée par l'adaptation télévisée de Games of Thrones, il était naturel - en boulimique de lecture qui se respecte - de me tourner vers les romans qui en sont à l'origine.
La lecture du premier tome n'a pas été très concluante, alors pour ne pas rester sur un échec, j'ai pris ce roman-là.

Et là le constat est sans appel : j'ai vraiment du mal avec l'écriture de George R.R. Martin ! Autant, l'univers, les personnages, les propos et les situations ne me posent pas tellement problème, autant la narration et l'écriture..... Avec les rares scènes d'action expédiées en 2 coups de cuillère à pot...
Tout au long de ce roman, rien de bien intéressant ne se passe. A la place s'enchaînent une série d'événements sans grand intérêt qui augmentent l'impatience du lecteur. Il faut attendre les 10 dernières pages pour voir enfin venir de l'action avec des retombées intéressantes. Certes le roman n'en fait que 175 mais ce n'est pas une raison suffisante pour diluer autant l'intrigue dans une eau de pas grand chose qui donne au final une contrefaçon de l'histoire.

Dommage pour moi.
Commenter  J’apprécie          237
Commençons par un point qui me tient à cœur : la traduction. C'est ma première "rencontre" avec Patrick Marcel, le nouveau traducteur du Trône de Fer qui succède à Jean Sola. En si peu de pages, je n'ai pas vraiment pu les comparer et me faire une idée, mais j'ai trouvé l'écriture fluide et agréable. J'attendrai donc de relire le tome 5 en VF avant de me faire un avis définitif sur le nouveau traducteur.

J'attendais avec impatience de retrouver Dunk et Egg, deux personnages très attachants sur lesquels j'aimerais vraiment en savoir plus. J'ai d'ailleurs été ravie d'apprendre que Georges RR Martin prévoyait un bon paquet de nouvelles sur le duo ! S'il n'est pas nécessaire d'avoir lu le Trône de Fer pour lire les aventures de Dunk et l'Oeuf. il faut cependant bien sûr avoir lu les deux premiers tomes des nouvelles les concernant avant de se lancer dans celle-ci, histoire de comprendre pourquoi l’héritier Targaryen est l'écuyer d'un chevalier errant sans le sou. J'aime beaucoup la relation qui lie les deux personnages principaux, ainsi que l'humour quasi constant qui ponctue leurs dialogues.

L’Oeuf de Dragon est donc la troisième nouvelle mettant en scène Dunk et l’Oeuf. L’Oeuf, c'est Egg en VO, le diminutif de Aegon, mais il se fait aussi appeler ainsi à cause de son crane chauve qu'il rase pour dissimuler sa chevelure si typiquement Targaryenne. Dunk, ou ser Duncan, est un chevalier errant qui se distingue par sa très haute taille, entre autres.

Dans cette nouvelle, les deux héros sont invités au mariage de Lord Beurpuits, où ils décident de se rendre afin que Dunk participe au tournoi organisé pour l'occasion. Il ne veut y gagner que quelques sous et n'envisage pas d'atteindre la première place, même si le prix offert au vainqueur est un authentique oeuf de dragon. Très vite, Dunk et son écuyer se rendent compte que le tournoi n'est qu'une couverture qui cache bien des choses et qu'une rébellion est en marche... Mais je ne peux vous en dire plus, avec seulement 170 pages ce serait du spoil pur et dur. Je dirais donc juste que j'ai encore une fois eu beaucoup de plaisir à lire une nouvelle aventure de Dunk et l'Oeuf, que l'intrigue est plus que passionnante et que la fin m'a énormément plu.

J'ai apprécié redécouvrir lord Freuxsanglant, surtout après certains événements du cinquième tome. C'est un personnage que j'espère revoir dans les futures nouvelles. L'histoire de ser Glendon m'a aussi beaucoup plu, elle montre un coté chevaleresque où l'honneur est mis en avant, assez différent de ce à quoi la série de romans nous a habitué. J'aime aussi l'humour de GRR Martin, quand par exemple il fait dire à Dunk que certaines choses sont aussi improbables que le fait qu'il devienne lord Commandant de la Garde Royale... Des détails qui font tout le charme de la saga.

J'ai donc hâte de lire les prochaines nouvelles dédiées à Dunk et Egg.. J'ai surtout hâte d'en savoir plus sur la tragédie de Lestival ! L'Oeuf de Dragon est donc une excellente petite nouvelle, mais je vous conseillerais d'attendre la sortie en version poche.
Commenter  J’apprécie          235
Retrouver l'univers de Westeros, même bien avant les événements que tout le monde connait , c'est bien sur une idée sympa. ( Enfin je le pensais )
J'y ai cependant trouvé un peu moins de plaisir qu'à la lecture des tomes du trône de fer. C'est en partie de ma faute, car j'ignorais que cette courte histoire était une suite de deux autres....Évidemment, quand on prend le train en route....
Un chevalier errant, Dunk, accompagné de son ecuyer, l'Oeuf ( qui n'est autre qu'un Targaryen) va se rendre au château de Murs-blancs pour assister au mariage du seigneur du dit château. Très vite on entre dans une atmosphère de complots.
J'ai eu un peu de peine à comprendre tous les tenants et aboutissants de cette histoire ( bah oui, j'aurais mieux fait de lire les histoires précédentes ) et je m'emmêlais un peu les pinceaux avec tous ces chevaliers différents... Et je ne parle pas de la famille Targaryen où ils ont des prénoms qui se ressemblent vaguement : Daemon, Daeron, Aemon, Aegon....
Des questions sont restées sans réponse : pourquoi un jeune prince est devenu l'écuyer d'un chevalier errant par exemple ?
Bon, une lecture en demi teinte donc....Même si j'étais contente de me retrouver à Westeros...
Commenter  J’apprécie          180
Dunk le chevalier errant et son écuyer l'Oeuf assistent à un tournoi donné à l'occasion d'un mariage. le prix: un oeuf de dragon. Mais la fête est l'occasion d'intrigues auxquelles ils auraient préféré ne pas être mêlés.

Cette novella se situe des dizaines d'années avant le début du Trône de Fer, dans un royaume appartenant encore aux Targaryen. On y découvre des personnages inconnus, dont certains sont brièvement mentionnés dans la saga et on s'aperçoit que les complots, intrigues et trahisons étaient déjà un des passes-temps favoris des familles puissantes des 7 Couronnes. On retrouve ici la même recette que dans la série: complots, batailles, banquets, etc.

Les deux héros sont sympathiques, on prend plaisir à les suivre. Ce qui est très dommage, c'est que la 4e de couverture et les divers résumés qu'on trouve ici et là spoilent tous l'intrigue. Déjà que c'est court, c'est bête de savoir d'avance quel sera le fin mot de l'histoire…

Une intrigue par ailleurs plutôt sympathique, qui se lit facilement et avec plaisir. Pour autant, ce prequel n'est pas indispensable. Il n'apporte aucune explication ou précision à ce qui est raconté dans la saga. C'est plus un bonus pour les fans, qui permet de patienter en attendant l'éventuelle publication du tome 6.

Une bonne lecture 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
Commenter  J’apprécie          140
Je suis en train d'essayer de me convaincre de me relancer dans ma lecture du Trône de Fer depuis que je suis à peu près la série télé et donc que je connais suffisamment les personnages pour suivre correctement l'histoire. du coup, quand je suis tombée nez à nez avec ce petit livre chez France Loisirs, je me suis dit que ça pouvait aussi être sympa de lire quelque chose de différent dans ce monde...

J'ai été agréablement surprise par cette lecture : je ne savais pas du tout à quoi m'attendre avec ce livre et je pense que c'est ça justement qui m'a plu. Si vous lisez ce livre pour renouer avec les familles de la série, passez votre chemin ! Vous serez déçus : bien qu'on croise les Targaryen, ils ne sont pas au coeur de l'intrigue.
De même, le monde dans lequel évoluent Dunk et Egg est assez éloigné de ma perception de GOT : c'est beaucoup plus moyenâgeux que l'ambiance de la série.

J'ai bien aimé être aux côtés de Dunk et Egg : tous les deux ne sont pas vraiment ce dont ils ont l'air d'être. Quand on les découvre, ils ont l'air assez primaires, pas très cultivés et très pauvres. Et, au fur et à mesure de l'histoire, on découvre qu'ils sont beaucoup plus importants qu'ils n'en ont l'air dans cette masse de nobliaux présents au mariage.
Je serais assez curieuse de les retrouver dans d'autres aventures : ces deux-là se révèlent assez attachants !

J'ai trouvé l'écriture de George R.R. Martin beaucoup plus accessible que dans le Trône de Fer. C'est peut être du au fait que je connais maintenant l'univers, qu'il y a moins de personnages (ou bien qu'ils sont présentés en début de bouquin)... mais j'ai pris davantage de plaisir à suivre son histoire que les deux autres livres que j'ai lu de lui !
Bref, je crois bien que je suis prête à retenter TDF ;p
Un prélude sympathique.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          140
Avec L'oeuf de dragon, George R. R. Martin permet aux (très) nombreux fans du Trône de fer de renouer avec les tribulations de ser Dunk et son princier écuyer l'Oeuf-Aegon, déjà connus depuis L'épée lige. Retourner près d'un siècle avant le cycle principal, alors que les lecteurs s'impatientent de retourner à Westeros, est un argument tentant. Mais cela peut-il justifier un achat quelque peu onéreux ? Certains s'offusquent déjà... pourtant la question doit être posée...

La réponse ne laisse guère de place au doute. Pourtant le récit est sympathique. Il est ici question de tournoi. Une nouvelle fois (la troisième de manière aussi centrale). Pourtant le talent de l'auteur est tel que l'impression de déjà lu et relu fait long feu. Pour cela il fait appel à trois parties qui donnent une dimension nouvelle à l'événement : d'abord l'aspect chevaleresque, puis le politique et enfin un mélange des deux plutôt équilibré.
Les personnages sont nombreux ce qui prouve une nouvelle fois la féconde imagination du maitre. Les deux personnages principaux sont toujours aussi sympathiques et leurs échanges aussi percutants et amusants.
Le style est à l'avenant et le dénouement bien pensé (bien qu'un peu rapide).
Autrement dit : c'est un réel plaisir de lire un exemplaire nouveau de la célèbre saga.

Tout cela est bel et bien, sauf que... de nombreuses déceptions doivent être notées. Tout d'abord l'obligation d'avoir lu L'épée lige. Ensuite un démarrage quelque peu laborieux (surtout après la lecture de la quatrième de couverture). Suivre les pérégrinations du duo errant laisse présager d'un bon moment... avant de se transformer en une simple amorce du tournoi...
Le récit et surtout le choix de la seconde "révolte" Feunoyr a de quoi étonner et de quoi décevoir. Tout ça pour en arriver là en aussi peu de pages ?

Autant le dire : voilà une parution sympathique mais purement commerciale ! A réserver aux adeptes... qui s'ils sont avisés attendront la sortie en poche du récit ou une intégration prévisible au sein d'un recueil avec les trois précédentes nouvelles...
Commenter  J’apprécie          135




Lecteurs (934) Voir plus



Quiz Voir plus

Le Trône du Fer, Tome 9 : La Loi du Régicide

Quel est le nom de l'enfant que Davos cherche à sauver des griffes de Mélisandre ?

Petyr Frey
Aegon Snow
Belon Stone
Edric Storm

10 questions
240 lecteurs ont répondu
Thème : Le Trône de fer, tome 9 : La Loi du régicide de George R.R. MartinCréer un quiz sur ce livre

{* *}