La vie est facile, ne t'inquiète pas

Agnès Martin-Lugand réussit brillamment le difficile exercice qu'est l'écriture d'une suite, de surcroît lorsqu'il s'agit d'écrire la suite d'un best-seller... Avec La vie est facile, ne t'inquiète pas, elle nous propose un texte tout en sensibilité au fil des mots, sur le fil de l'émotion, remarquable.

Voilà donc qu'elle nous donne des nouvelles de Diane, à qui nous avons continué à penser forcément après la lecture du roman Les Gens heureux lisent et boivent du café et de sa fin ouverte qui nous permettait d'imaginer une suite à notre convenance pour notre presque amie... Diane, on la connait depuis longtemps maintenant et son histoire nous a touchées dès le départ, n'est-ce-pas ?

Dans La vie est facile, ne t'inquiète pas, nous retrouvons donc celle que nous n'avons pas oubliée, Diane, qui évolue et qui ose de nouveau envisager un avenir… à deux. On se réjouit devant sa volonté de reprendre sa vie en main et l'on s'émeut devant ses fêlures encore tellement présentes.

On s'attache encore un peu plus à elle ainsi qu'aux autres personnages dont les personnalités sont toutes aussi intéressantes les unes que les autres. L'ambiance que nous peint l'auteur est intense : un sourire provoqué par la légèreté d'une phrase peut cacher une bouffée d'émotion incontrôlable (et de larmes me concernant…) dans les lignes qui suivent.

Il y a une infinie justesse dans la façon d'aborder des thèmes lourds comme : le deuil, la reconstruction de soi, les choix de vie. Avec beaucoup de tendresse, l'auteur nous amène à réfléchir à la question de la maternité lorsqu'on a perdu son premier enfant ainsi qu'à la notion de filiation.

On retrouve tout le charme qui avait fait le succès du premier roman d'Agnès Martin-Lugand avec encore plus de profondeur à mon avis.

Agnès Martin-Lugand parle de la place importante que tient la musique dans son processus d'écriture et partage d'ailleurs avec nous, lecteurs, la bande originale de son roman, les artistes et les musiques qui l'ont inspirée sur le site Spotify. Elle précise que le titre de ce roman est extrait d'une chanson d'Aaron, Little Love.

Vous l'avez compris, je suis totalement convaincue par ce nouveau roman et conquise par son auteur et son incontestable talent.

Suite du 1er roman de l'auteure "Les gens heureux lisent et boivent du café", pour moi ce livre était nécessaire pour vraiment apprécier pleinement l'histoire de Diane.
On retrouve donc dans ce livre tous les personnages précédemment découverts, les adieux du 1er n'étaient donc pas si définitifs que cela à ma plus grande joie, j'ai enfin eu le sentiment d'avoir une fin, même si celle-ci était prévisible. J'y ai retrouvé le style si simple et agréable de l'auteure. C'est un récit qui se lit vraiment très rapidement, accessible à tous, même aux lecteurs occasionnels.
Je ne peux que recommander.

J’attendais avec impatience la suite des aventures de Diane ! Et je n’ai pas été déçue ! J’ai même préféré ce tome « La vie est facile, ne t’inquiète pas ». Il y a plus de péripéties et de « rebondissements » amoureux… Agnès Martin-Lugand sait nous tenir en haleine.
Diane est de retour sur Paris pour reprendre en main son café littéraire « Les gens heureux lisent et boivent du café ». Son fidèle ami Félix, toujours aussi déluré, l’aide dans cette entreprise. Elle se reconstruit peu à peu… mais ne peut encore faire le deuil de sa fille. C’est alors qu’Olivier tombe sous le charme de Diane… et je ne vous en dirai pas plus !!!

Ce roman est la suite de "les gens heureux lisent et boivent du café" qui m'avait beaucoup marqué.
J'ai retrouvé avec émotion Diane, Félix, Abby, Jack, Judith, Edward et l'ambiance du premier roman. J'ai adoré le personnage de Declan , petit garçon plein de joie vivre, miroir des malheurs de Diane.
J'ai encore eu envie de découvrir (enfin) l'Irlande , son climat , ses paysages et La Guinness.
Et j'ai encore eu besoin de mouchoirs pour étancher les quelques larmes qui ont perlé à certains passages.
Le premier roman était celui d'une reconstruction, d'un deuil difficile. Celui ci est celui d'une nouvelle vie , plus lumineux, plus optimiste. Diane, le personnage principal, est encore pleine de doutes mais elle reprend les rênes de sa vie et y est maître.
C'est la suite que j'espérais après "Les gens". Celle qui termine de chasser tous les nuages noirs pour ramener le soleil et l'espoir et l'envie de vivre. Qui amène de nouveaux projets, de nouveaux possibles et peut être même le bonheur?
On peut avoir plusieurs vies en une seule existence et Diane en est la preuve. Et j'ai encore une fois été très contente de tourner les pages de sa vie avec elle. Et j'ai fermé le livre à la fin, le coeur gonflé, pleine d'espoir, et je me suis dit que la vie est facile , ne t'inquiète pas...

Suite de "Les Gens heureux lisent et boivent du café" et on retrouve Diane à Paris dans son café littéraire dans lequel elle s'est investit à fond avec Félix, son presque associé. Elle rencontre Olivier, un kiné qui vient d'emménager dans le quartier et qui lui donne douceur et amour. Mais Diane est-elle prête à reconstruire une histoire, un couple et éventuellement avoir un enfant après le drame qu'elle a vécu dans la perte de son mari et son enfant.
Il y a aussi l'Irlande où elle a laissé des amis qui sont devenus sa famille et puis il y a Edward auquel elle pense souvent.
Comme toujours avec Agnès Martin Lugand une jolie histoire mêlant gaité, tristesse et même si on devine très vite la fin du roman et j'ai pris du plaisir à retrouver tous les personnages du premier roman.
Mon seul regret : le manque d'originalité dans l'intrigue et je crains qu'à force il n'y ait plus, comme souvent quand on suit un écrivain, la surprise......
Lien : http://mumudanslebocage.cana..

Voilà qui me réconcilie avec le premier (Les gens heureux lisent et boivent du café) dont j'avais apprécié la lecture mais qui m'avait vraiment déçue sur la fin et donc laissé un goût négatif.
La fin n'en étant plus une , cela change tout. Cette suite (qui n'était pas prévue au départ) est une vraie réussite. On y retrouve avec bonheur l'Irlande, des émotions et des personnages un peu moins caricaturaux. J'ai versé ma petite larme ... J'étais triste de le le terminer. C'est léger mais qu'est ce que ça fait du bien.

Bon je viens de parcourir les quelques critiques déjà publiées et force m'est de constater que je vais être la première à émettre un avis plutôt négatif (et Dieu sait que je n'aime pas ça !). Parfois je reste sidérée par l'écart entre ce que j'ai pu ressentir à la lecture d'un livre et ce que d'autres ont pu ressentir. Comme quoi, les mots et les impressions qu'ils laissent sont bien subjectifs
Alors moi aussi j'avais lu le premier opus, que j'avais plutôt aimé (si je me souviens bien, même s'il ne m'avait pas non plus transcendée). Et j'avais lu son deuxième roman « Entre mes mains… » qui m'était d'ailleurs tombé des mains.
Donc pour résumer, ne voulant pas rester sur une mauvaise impression et ayant plutôt aimé « Les gens heureux », je me suis lancé dans sa suite… Et là, badaboum… alors certes, ce roman d'Agnès Martin-Lugand se lit d'une traite, très facilement (parfait pour les transports), il n'est pas aussi gnangnan que le précédent mais tout est encore cousu de fil blanc, bien construit certes mais on voit trop la trame, malheureusement. Les personnages sont et restent des personnages auxquels je n'arrive pas à m'attacher. Les situations sont hyper convenues et il n'est pas difficile d'anticiper sur le récit (c'est typiquement ce qu'on appelle cousu de fil blanc !).
Bon je crois que le problème, c'est que je venais de refermer « Bertrand et Lola », alors forcément le grand écart, parfois ça fait mal et ça ne pardonne pas !
D'ailleurs, pour moi, le 1er signe qui ne trompe pas quand je lis un livre, c'est lorsque je n'ai envie de recopier aucune phrase, ça ne présage rien de bon… et là malheureusement pas une petite phrase n'aura retenu mon attention au point d'avoir envie de la citer.

à force d'entendre parler de ces romans aux jolis titres, je me suis décidée. Comment dire? le titre est joli. La photo de couverture, pourquoi pas. C'est déjà bien. L'avantage? c'est (involontairement) drôle, tant le scénario (parler d'intrigue dans ce cas me semble relever d'une ambition démesurée) est prévisible, les personnages stéréotypés, les dialogues bien lisses, bien rédigés comme-au-collège. Tout y est: le cours illustré sur les phases du deuil, la résilience, l'amour (le-coup-de foudre-qu'on-n'avait-pas-prévu, enfin, si, le lecteur, s'il ne l'a pas prévu, il a du manquer un épisode), l'Irlande (il pleut et il fait du vent, c'est pas une surprise, ça?). Et c'est fade, et c'est bourré de clichés et c'est dégoulinant de guimauve (je l'entends déjà la bande originale de l'adaptation ciné qui ne manquera pas). Encore une fois, la couverture ne fait pas davantage le livre que l'habit le moine.

Une petite semaine après avoir refermé les gens heureux lisent et boivent du café je retrouve Diane pour de nouvelle aventures ... N'ayant pas vraiment eu l'impression que ce premier tome est eut une fin je me retrouve presque plus sur une seconde partie que celui-ci qu'un tome  2 ....
Néanmoins, la magie opère toujours et je suis contente de la tournure qu'ont enfin prise les choses ! On découvre ce nouveau personnage Oliver, il a tout pour plaire, il est gentil, bien trop gentil mais surtout trop plat ! le passage à l'église m'a totalement chamboulée ! Tous les personnages sont attachants ... Et j'ai trouvé que le petit jeu de séduction et tension sexuelle etais particulièrement bien décrit !

Encore un bon moment avec ce livre, une fin que j'avais vu venir mais qui me fait quand même bien plaisir !

On m a dit tu pleureras moins sur le deuxième, c était sans connaître les facultés à pouvoir'pleurer pour rien.
Tout comme pour' le premier, j ai adore, j ai retrouvé les personnages avec plaisir, leurs émotions, leur déchirures, leur progression dans la vie... j aurais voulu ne pas les quitter, rester en Irlande et boire une Guiness avec eux.
C est léger, rapide, ça fait du bien à lire même si on pleure ;) bref j ai adore cette suite.