Pfff.
Même pas fini.
Mon Dieu, un Harlequin amélioré.
Pas de style, des clichés en veux-tu en-voilà, des ficelles grosses comme mon poing, on se doute bien de ce qui va arriver à Ava et Sacha....
Aucune logique, le mari accidenté qui change du jour au lendemain....
Et puis ce titre ronflant, la résilience, qu'on emploie à tort et à travers, comme "psychose" ou "deuil", alors que ce sont des mots bien précis en psychiatrie et en psychanalyse.
Ah oui, j'oubliais, Madame est psychologue.... c'est bien, elle a trouvé un vrai filon.
Tout ça n'est pas très sérieux.
J'ai voulu réessayer cette auteur portée aux nues par tous les lecteurs, mais décidemment, non.
Le livre est facile à lire, trop facile.
Mais cela plaît de ne pas faire d'effort, de sombrer dans cette facilité déconcertante, d'avaler tout sans esprit critique.
Je l'ai déjà dit, mais on donne à manger aux gens ce qu'ils ont envie de manger.
Moi, désolée, mais je préfère un autre menu, avec d'autres nourritures.
Je sais que je vais me faire incendier, tant ce genre de "littérature" plaît, mais je m'en moque.
La sincérité est mon maître mot.
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Un seul instant suffit-il à faire basculer toute une vie ?
Le sujet était prometteur, l'écriture agréable... malheureusement trop prévisible et beaucoup d'incohérences trop feel-good pas assez creusé.
Je pense que l'auteur a opté pour la facilité pour écrire ce livre qui trouvera je pense un public mais qui pour moi m'a laissé sur ma faim .
Dommage j'ai lu mieux de cette auteure.
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Les jours qui suivaient son retour, Xavier était toujours ailleurs, toujours un peu loin, toujours un peu soucieux. La même question me hantait ; avait-il fait le voyage de trop ? Celui dont il ne reviendrait pas. Son esprit était-il encore là-bas ?
Quand une histoire débute, on est dans l'euphorie, dans le désir insatiable, on veut s'aimer, on veut se prendre, ne jamais être séparé ou alors juste le temps de susciter une frustration jouissive qui sera apaisée dans un corps à corps passionné.
Mon père était un funambule des mots. Cela s’était imprimé dans chaque fibre de mon être, j’avais absorbé cette passion, elle était devenue mienne. Le sens de la communication, cet art de la séduction et cet amour pour les artistes qui étaient le propre des galeristes s’étaient inscrits en moi d’une manière irrévocable. Je laissais Grand-Père dire que ses gènes l’avaient emporté sur ceux de maman, sachant pertinemment que contredire un vieil homme buté comme lui aurait été une dépense d’énergie inutile.
- Son regard partit au loin, il pensait à sa femme, tout comme je pensais à Xavier. Nos douleurs étaient similaires. Malgré l'incongruité de la situation, il y avait un je-ne-sais-quoi de rassurant à ne plus se sentir seule.
- On s'est perdu tous les deux, on a oublié qui nous étions... On voulait juste survivre, même si on en paye le prix aujourd'hui. Je veux te retrouver, je veux nous retrouver...Je t'aime, si tu savais comme je t'aime...
- Encore ? sanglotai-je.
- Ça ne ferait pas si mal si je ne t'aimais plus.
Écoutez Agnès Martin-Lugand vous livrer son ressenti personnel sur les bienfaits du livre audio à l'occasion de la sortie en livre audio de son premier roman best-seller "Les gens heureux lisent et boivent du café"
Écoutez un extrait : https://www.lizzie.audio/content/les-gens-heureux-lisent-et-boivent-du-cafe
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