Nos résiliences

Depuis 2013, un livre tous les ans, je les ai tous lus.
Pour la plupart je les ai dégusté avec plaisir.
Certains moins que d autres.
Mais je lis cette auteure avec plaisir et j etais au rdv lors de la sortie de ce dernier, comme à chaque fois.
Grosse déception.
Un feelgood tellement prévisible, tellement peu profond.
Il me semble difficile d ecrire un livre tous les ans, et de conserver l originalité... il vaut mieux se faire désirer un peu à mon sens ...
Mais ce livre rencontrera son public...
Je serai plus regardante pour le prochain... dommage.

J'ai choisi ce roman en librairie, car je trouvais les avis plutôt unanimes, à savoir, qu'il avait plu à énormément de gens. du coup je me suis dit que j'allais passer un bon moment et en profiter pour découvrir cet auteur. Alors je dois avouer que je n'ai pas trop apprécié l'histoire. Pour moi, le peintre est un personnage de trop. Je ne comprends pas trop à quoi il sert. de plus, j'ai trouvé les chapitres trop longs. J'ai tout de même envie de persévérer dans la lecture de cet auteur.

Pas tellement fan des livres d'Agnes-Martin-Lugand, j'ai lu celui-ci que plusieurs amies m'avaient recommandé.
Eh bien on ne m'y reprendra pas!
Beaucoup de clichés ( la petite famille parfaite frappée par le malheur); le mari accidenté terriblement culpabilisé, donc complètement transformé.
Madame frustrée mais courageuse attend la fin du calvaire en serrant les dents.
Bien sûr je l'ai lu jusqu'au bout parce que l'intrigue est bien menée.
Mais décidément les ficelles sont trop grosses.

Un couple qui s'aime, elle est galeriste, il est vétérinaire.
Un soir de vernissage, tout s'écroule : elle apprend que Xavier vient d'avoir un accident de moto. C'est grave! Il va peut-être ne pas survivre...

J'ai trouvé ce roman beaucoup moins bon que les précédents. L'auteur se laisse aller à tous les clichés, et sur le plan du style, on frôle la littérature de gare…
C'est sirupeux, souvent mal écrit avec des phrases parfois tout justes acceptables, c'est redondant, répétitif, avec des paragraphes voire des pages entièrement construites sur la base de la phrase interrogative…

"Pourquoi fallait-il que sa présence me rassure? Qu'elle ne me fasse plus me sentir seule? Pourquoi lui et pourquoi pas mon mari? J'étais écartelée un peu plus à chaque seconde... Et lui, que cherchait-il auprès de moi qu'il ne trouvait pas avec sa femme?"

Je ne suis pas contre la littérature dite "populaire " qui détend et distrait, mais là franchement, on a l'impression qu'on est passé en mode « alimentaire » avec un texte bâclé, une écriture approximative, une histoire cousue de fil blanc , des personnages caricaturaux, une psychologie de comptoir et un titre complètement inadapté.
Déception.

J'avais survolé plusieurs critiques concernant ce livre avant ma lecture, -je dis bien survolé- car certains lecteurs et lectrices donne des éléments essentiels, qui m'ont gâché un peu ma lecture, ça m'apprendra ! la prochaine fois je ne lirai pas les critiques de mes lectures en cours !

Résilience : phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l'évènement traumatique pour ne plus, ou ne pas avoir à vivre dans la dépression et se reconstruire d'une façon socialement acceptable.

Avec un titre pareil j'avais vraiment envie de lire le dernier roman d'AGNES MARTIN LUGAND.
D'autant plus que j'avais apprécié ses précédents romans.

Malheureusement, j'ai terminé ma lecture déçue.
J'ai trouvé que les personnages manquaient de profondeur.
En poursuivant ma lecture, j'ai espéré un rebondissement mais l'histoire s'est poursuivie sans aucune surprise.
Je ne suis pas parvenue à ressentir une quelconque empathie ni pour Xavier ni pour Ava.
Même si AGNES MARTIN LUGAND décrit très bien les différents sentiments que l'on peut percevoir et vivre lorsque la vie bascule, je n'ai pas échappé à l'ennui.

Oui je me suis ennuyée ! Je n'ai pas ressenti cette étincelle qui m'aurait permis de passer un excellent moment de lecture.
Dommage ………….

Alors que j'avais beaucoup aimé "Une évidence", livre paru en 2019, j'ai été très déçu par "Nos résiliences". Je me suis profondément ennuyé avec ce livre que j'ai trouvé sans intérêt.

Voilà deux fois que l'auteure me déçoit. Ça a déjà été le cas avec "A la lumière du petit matin".

Heureusement que "La datcha" reçoit beaucoup d'avis positifs sinon j'abandonnerais l'auteure ici.

"Nos résiliences", c'est 300 pages dont la moitié est du blabla inutile ! Il ne se passe rien, c'est de l'introspection, le récit de tout ce qui passe dans la tête de l'héroïne, Ava.

Ava mène une vie tranquille avec son mari, Xavier, et ses deux enfants jusqu'au choc : Xavier a eu un accident avec sa moto et il renversé une cycliste qui se trouve tout comme lui, bien mal en point.

Xavier doit se remettre de ses blessures tant physiques que morales car il culpabilise beaucoup. Son obsession : il a brisé la vie d'une femme, une excellente violoniste qui plus est.

Xavier rejette sa femme, ses enfants, sa vie et Ava n'arrive pas à lui faire remonter la pente...

Un roman qui manque de crédibilité et que j'oublierai bien vite.
Lien : http://phildes.canalblog.com..

Il a été facile à l'auteure, psychologue, de bien nous faire ressentir les états d'âmes d'Ava qui l'ont envahie après l'accident survenu à son mari, Xavier.
Le lecteur peut le comprendre. Mais ils reviennent un peu trop souvent au long de cette histoire. Des répétitions quelques peu lassantes qui nous présentent cette femme comme une victime de trop d'amour envers son mari. Souffrir, toujours souffrir…c'est visiblement son crédo.
Lecture pénible par tant de questionnements.
En revanche, son aparté avec Sacha (mari de Constance, accidentée par Xavier et dont nous ne savons rien) était bien prévisible. Cependant, l'auteure nous y mène étape par étape, détaillant avec précision les tourments de ces deux êtres. de l'oeil noir et haineux à celui rempli de douceur et d'amour.
J'aurais bien aimé une suite…
Quant à Xavier, qu'il s'inquiète de celle qu'il a renversée, qu'il culpabilise même, est tout à son honneur mais son attitude envers sa femme et ses proches est juste incompréhensible. Xavier s'enferme dans un mutisme sans précédent déroutant ainsi sa femme qui ne le reconnaît plus
Pour un couple que l'auteure nous décrit en osmose, il y a quelque chose qui m'échappe…
Et à la fin du livre, Xavier déclare à sa femme que le soir du vernissage, il souhaitait lui faire la surprise en se rendant à sa galerie. Il était en retard, comme à son habitude, aussi, il a accéléré et a grillé le feu rouge.
Elle se déclare donc aussi responsable. de quoi ?
Quelque peu déçue par cette lecture alors que j'avais apprécié beaucoup l'écriture et l'histoire de «désolée… »

Malheureusement pour moi c'est une grosse déception. Tout était prévisible, ce qui allait se passer et à qui ça allait arriver. J'attendais tellement cet événement, je le voyais tellement venir, que ça m'a gâché mon plaisir de lecture.

Je n'ai pas non plus réussi à m'attacher aux personnages. Notamment à Xavier que j'ai trouvé détestable et aigri.

De plus je trouve l'histoire plutôt plate et les émotions sont trop exacerbées. Je me suis sentie totalement extérieure et imperméable à ce récit.

Je ne sais pas si c'est que je n'ai pas lu ce roman au bon moment, car ce sont pourtant des thématiques qui me touchent et m'emeuvent. Je suis vraiment déçue car j'avais lu de bonnes critiques sur ce livre. Toujours est-il que là, l'alchimie ne s'est pas produite.

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Dégoulinant de mièvrerie et de bons sentiments ce roman que je m'empresserai de déposer dans la boîte à livres de mon quartier demain matin. Décidément, la littérature féminine à l'eau de rose n'est pas ma tasse de thé. Pas de réflexions sur des sujets sérieux et intellectuels. Je suis aussi étonnée qu'une auteure soit aussi cantonnée dans une vision machiste de la femme…

J'ai du mal en général à noter "médiocre" car l'auteur a mis sans doute beaucoup d'énergie à écrire son livre.
Mais là je n'ai pu m'identifier un seul moment aux personnages,tant les réactions émotionnelles sont caricaturales,que ce soit l'effroi,la culpabilité,le mensonge,la trahison...Cela donne une naïveté,une immaturité aux acteurs notamment Ava,alors que ce n'est pas un trait voulu de son caractère . Et le roman s'attachant surtout à la psychologie des personnages,on y perd l'essentiel.
Finalement, la découverte de métiers originaux comme galeriste,chef d'orchestre et vétérinaire a suscité heureusement ma curiosité.
En CD lu, l'expressivité des sentiments est plutôt exacerbée et n'apporte pas de nuance à la caricature.