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Citations sur Une évidence (131)

J'avais besoin de ses mains, de son corps, sur moi, en moi. Maintenant. Tout de suite. Tant pis s'il était imprévisible. Tant pis si c'était la dernière chose à faire. Tant pis si le chaos dans lequel j'étais déjà plongée s'intensifiait. Avant que tout explose, je voulais m'autoriser à vivre encore un peu.
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Nous ne serions jamais amies,nous ne serions jamais de la même famille,mais nous devions être des alliés et nous respecter.Nous ne menions pas la même guerre et,pourtant ,nous partagions le même objectif.
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J’avais aussi privé mon fils de la gaité du quotidien d’une famille nombreuse.
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J’appris donc que les corsaires avaient le droit d’attaquer les navires et de monter à l’abordage grâce à une lettre de marque délivrée par le roi. Ces charmants messieurs - contrairement aux pirates qui, eux, étaient des flibustiers - respectaient les lois de guerre et naviguaient sur de plus petits bateaux pour être plus Rapides et protéger les plus gros bâtiments ou les navires marchands en temps de guerre.
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Comment m’avaient-ils élevée pour que je couche avé. N’importe quel type, qui m’avait mise enceinte et s’était envolé juste après ? Ils étaient passés du statut de personnes hautement fréquentables à celui d’irresponsables a mauvaise influence, dont on craignait qu’elle soit contagieuse.
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Noé grandissait, allait passer son bac et son permis dans quelques mois. Je me souvenais de moi à son âge ; je n’avais qu’une idée en tête, prendre mon envol, m'éloigner de mes parents - que pourtant j’adorais - passer du temps avec mes copains, me sentir libre. Noé était à cette étape-là de sa vie et je m’efforçais de le laisser faire, c’était l. Rôle, malgré le vide que cela gênerait chez moi. C’était ça être parent... Je m'étais Toujours refusée d’être une mère poule envahissante, pourtant élever seule mon fils aurait excusé une telle attitude, mais Noé, lui, aurait pu ne pas le supporter et étouffer par la faute. A la place, j’avais choisi de lui offrir la liberté, la confiance, et surtout, je m’estimais chanceuse. Notre complicité nous permettait de rester proche malgré les années qui filaient inexorablement.
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Aimer d’amour. Aimer un homme. Aimer une femme. Un jour, on perd cet être aimé, désiré, avec une séparation, avec la mort. Et ça fait mal, ça fait toujours mal, ça arrache un bout de soi. Pacôme, où qu’il soit en ce moment même, dans un aéroport, déjà dans le ciel, avait embarqué à jamais un morceau de moi. Un morceau vital. Je ne respirerais plus de la même manière.
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N’oublie jamais qu’il y a toujours une histoire à créer, à se raconter.
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Il n’y avait définitivement pas de petite victoire, chaque parcelle de lien reconquise valait tout l’or du monde.
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Il y a des moments où tout s’arrête, où l’on voit sa vie défiler en l’espace d’un quart de seconde. C’est effrayant, c’est déstabilisant, surtout qu’on ne peut pas lutter contre. Il y aura un avant, un après.
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