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Critique de silverfab
Encore sous le coup de la disparition de Solo, son mentor, Legatus rencontre un vieil ours qui lui confie des poudres magiques aux propriétés hallucinogènes.
Au fil des ses pérégrinations notre chien dur à cuire est rejoint par d'autres voyageurs/guerriers et, guérissant les malades sur son chemin il est bientôt précédé d'une aura de messie, ce qui déplaît fortement aux autorités humaines en place.
Pour ce nouveau cycle Oscar Martin pioche un peu dans le mythe de Jésus et de Spartacus , Légatus faisant office de leader charismatique plus ou moins malgré lui.
Si l'on regrettera encore quelques textes un brin trop envahissants au début, l'action prend ensuite le dessus et la série est toujours servie par ce style graphique animalier disneyen toujours aussi soigné qui n'est jamais plus efficace que sur les nombreuses planches muettes, preuve du savoir faire narratif de son auteur.
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
Au fil des ses pérégrinations notre chien dur à cuire est rejoint par d'autres voyageurs/guerriers et, guérissant les malades sur son chemin il est bientôt précédé d'une aura de messie, ce qui déplaît fortement aux autorités humaines en place.
Pour ce nouveau cycle Oscar Martin pioche un peu dans le mythe de Jésus et de Spartacus , Légatus faisant office de leader charismatique plus ou moins malgré lui.
Si l'on regrettera encore quelques textes un brin trop envahissants au début, l'action prend ensuite le dessus et la série est toujours servie par ce style graphique animalier disneyen toujours aussi soigné qui n'est jamais plus efficace que sur les nombreuses planches muettes, preuve du savoir faire narratif de son auteur.
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