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Critique de nurachi


Bon, la première partie était trépidante, la seconde relève relativement bien moins le gant.

Il faut tout de même 150 pages à Mahit et Trois Posidonie pour se retrouver, tandis que l'atmosphère est quasiment exclusivement féminine (et lesbienne), mais l'histoire vaut le coup.

Les rares hommes qui passent sont des sous fifres, des vieillards qui se suicident, des aigris haïssables ou bien se font assassiner. Les seuls qui sortent un peu du lot sont un enfant naïf qui décidera du sort de l'empire et l'assistant d'une Yaoltek adepte d'une religion dont on ne saura rien.

On sent le livre terminé dans des délais impartis avec un nombre de pages précis à livrer (ce que mentionne l'auteur dans ses remerciements). le traducteur a fait de même; certaines phrases on perdu leur proposition principale, mais bon en survolant le tout et faisant abstraction de la ponctuation, on y arrive.

Reste que c'est dommage, un peu plus d'application aurait donné un résultat brillant. Les nombreux ressassages de l'état d'esprit des personnages maintiennent le suspense mais sont un peu lassants à la longue.

Personnage attachants, suspense allant crescendo, un livre qui se lit très bien malgré ce reniement de la moitié de l'humanité.
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