Quelques jolis passages, mais dans l'ensemble, je me suis ennuyée, et, c'est assez rare.
On débute par une initiation pourtant savoureuse à une partie d'échecs entre deux virtuoses, et puis on suit leur relation à maturité, les divergences entre Roderer et le narrateur.
Mais,
je n'ai pas été convaincue, j'y ai trouvé une certaine platitude loin de la 4 ème de couverture annonçant ""un grand roman encore inédit en France mélange avec virtuosité suspense et métaphysique".
Les références aux théories de
Nietzsche,
Spinoza et autres sont trop minimalistes à mon goût pour alimenter le discours et la réforme de l'entendement suggérée par Roderer...
et j'ai attendu en vain
une péripétie,?
j'aurai voulu être "étonnée" au sens aristotelicien...