Vraiment très drôle mais surtout pour le pratiquant de base, non pas de la religion catholique mais de la montagne ordinaire, juste au-dessus de la randonnée. La part du doute, de la fatigue, de l'inconfort, du froid, de la maladresse, bref de toutes ces valeurs négatives qu'on ignore dans les récits habituels sauf en les exagérant pour accentuer le triomphe final ou la tragédie, la part des valeurs négatives est retrouvée et cuisinée amoureusement avec art et humour. Un régal.
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On passe franchement un bon moment à lire ces nouvelles montagnardes, toutes en lien avec une randonneuse désespérément liée à sainte Rita et ses causes perdues.
En revanche, pour apprécier à juste titre, il faut être familier de la montagne et de l'alpinisme avec tous ces imprévus. Nombre de petites histoires rappelleront à coup sûr des expériences personnelles.
S'il fallait utiliser un adjectif pour ce receuil, ce serait sans aucun doute "truculent".
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La connaissance de l'itinéraire et la connerie de l'itinérance sont bien des éléments qui distinguent l'amateur du professionnel.
La godille escagassée s'obtient à partir d'une godille classique que l'on assomme de façon à obtenir une trace en S très plate, qui, idéalement, occupe toute la largeur de la pente.
Lorsque Chéri-Chéri trouve les cairns de départ d'une voie, c'est généralement de manière inopinée, à l'occasion d'une envie de déféquer.
Qui sait à la gardienne monter le Nutella, le dortoir des guides et la gnôle récupèrera.