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Critique de Maelou01


Anton Torvath est tzigane et dresseur de chevaux. Né au coeur de la steppe kirghize peu après la Première Guerre mondiale, il grandit au sein d'un cirque, entouré d'un clan bigarré de jongleurs, de trapézistes et de dompteurs. Ce « fils du vent » va traverser la première moitié du « siècle des génocides », devenant à la fois témoin de la folie des hommes et mémoire d'un peuple sans mémoire. Accompagné de Jag, l'homme au violon, de Simon, le médecin philosophe, ou de la mystérieuse Yadia, ex-officier de l'Armée rouge, Anton va voyager dans une Europe où le bruit des bottes écrase tout. Sauf le souffle du vent. À la fois épopée et récit intime, Avant que le monde ne se ferme est un premier roman à l'écriture ample et poétique. Alain Mascaro s'empare du folklore et de la sagesse tziganes comme pour mieux mettre à nu la barbarie du monde.

Merci @babelio_ pour ce merveilleux cadeau reçu dans le cadre de la dernière "masse critique littératures".
5 mots : J'ai kiffé ce roman.
Vous voulez en savoir un peu plus ? J'ai suivi, aveuglement, bouleversée, le chant mélodieux d'@alainmascaro. J'ai plongé dans la douceur et la féerie des soirées tziganes. Je me suis enfoncée dans la barbarie des ghettos et des camps d'extermination pour tziganes. J'ai vibrée au son des violons et abusée des nuits parfumées indiennes. J'ai pleuré impuissante les pieds dans le gange. Tant d'émotions, tant de douceur, tant de poésie...Je ne peux que vous encouragez à lire ce fabuleux premier roman publié aux @editionsautrement
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