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Ikigami tome 7 sur 11
EAN : 9782849658604
208 pages
Kazé-Crunchyroll (01/07/2010)
4.17/5   116 notes
Résumé :
Quand les Services sociaux envoient une inspectrice évaluer le travail de Fujimoto, le jeune fonctionnaire sent soudain sur ses épaules le poids de la suspicion étatique. Difficile alors pour lui d'être d'un quelconque secours aux deux jeunes hommes qui reçoivent cette fois l'Ikigami. Pour accepter leur destin amputé, ils vont devoir trouver la paix dans leur passion, face au regard des autres et malgré le temps qui passe trop vite... Que feriez-vous de vos dernière... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Les deux histoires de ce tome m'ont particulièrement touchée. Même si bien sur au bout du 7ème tome, les événements sont un peu redondants, il est indéniable que Motorô Mase réussit toujours à nous émouvoir et à nous faire réfléchir. Deux histoires sur les espoirs perdus de la jeune génération sacrifiée pour « apprendre aux autres la valeur de la vie ».

Dans le premier épisode, « photo souvenir », on suit un tout jeune garçon passionné de photos, il veut en faire son métier, il aimerait travailler dans le studio de son quartier où il fait développé ses photos argentiques, le gérant est même d'accord s'il poursuit des études dans ce sens.Il va jusqu'à lui donner son vieux appareil pour ses études. le gérant de la boutique toutefois ne veut pas passer au numérique pourtant considérer comme l'avenir de la photographie. Pendant ses études, le jeune homme passera au numérique, car l'argentique d'après son école n'a plus d'avenir et donc il ne reprendra pas le studio. Qu'adviendra-t-il du studio ? Comment ce jeune garçon marquera-t-il le quartier avant de disparaitre, car oui, malheureusement il reçoit l'Ikigami ?
Du coté de Fujimoto, un poste de surveillance idéologique va être installé dans la mairie. Fujimoto s'inquiète, tous les fonctionnaires vont tous être contrôlés, sondés, … Les agents de la police pour l'application de la loi de sauvegarde de la prospérité sont à la recherche d'agents dégénérés.

Dans la seconde histoire « un rêve à réaliser, un jeune garçon fait du break dance dans la gare avec un de ses potes. C'est leur façon de s'exprimer, d'âtre libre. Il annonce à son ami, qu'il arrête la danse pour faire des études et prendre la direction d'un cours de danse dans a boite de cours particulier de son père. Un an passe. Il a pris 25 kg, il ne danse plus et malheureusement il reçoit l'Ikigami. Entre temps, son pote avec deux autres dansent toujours à la gare, de temps en temps, il venait leur donner des conseils. Un des danseurs se casse le bras et ils ne peuvent postuler au concours. En sursis de 24h, l'ancien danseur les aidera-t-il ? le peut-il?
Fujimoto est contrôlé et une inspectrice l'accompagne dans ses livraisons d'Ikigami. Pour cette inspectrice, le côté administratif est bien géré par Fujimoto mais elle est trouve qu'il n'insiste pas assez sûr l'honneur de donner sa vie, que les désignés sont des héros de la nation.

La pression monte pour Fujimoto dans ce tome, il doit réussir à faire taire ses convictions de peur d'être considéré comme un élément dégénéré.
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Le tome 7 ne fait pas exception à la règle de cette série :
L'auteur nous relatent les dernières 24 h de deux jeunes personnes.

Le thème abordé ici est le regret.
Le regret que nous pouvons ressentir lorsque nous avons laissé de côté une passion, un rêve pour faire ce que les autres attendent de nous.
L'un des personnages, par exemple, laissera tomber la pratique de la danse pour les études.
Difficile d'assumer cette décision quand il ne vous reste plus que quelques heures à vivre.

Un tome intéressant, certes, mais qui m'a moins ému que d'autres.
Pourtant le thème me plaisait mais j'ai trouvé les intrigues un peu plates, avec peu de contenu, de fond.
Peut-être en raison du fait que les derniers tomes commençaient à faire émerger les problèmes, les dérives que l'ikigami engendre dans cette société. Il est donc difficile de repartir sur des récits plus "légers" sur ce sujet.

Je regrette d'ailleurs le peu de place que prend notre porteur, Fujimoto, dans ce tome.
C'est un personnage que je commence doucement à vouloir suivre plus.
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Dans un pays asiatique imaginaire, régie par une "loi de prospérité nationale", tout les jeunes dont l'âge est comprit entre 18 et 24 ans, sont susceptible recevoir une carte appelé "Ikigami", qui annonce leur décès 24 heures à l'avance. le manga suit le quotidien de Fujimoto, livreur de ces préavis de mort.

Autant le dire tout de suite, cette critique sera valable pour tout les tomes de la saga. C'est une série que j'ai dévoré, tout en ayant eu un peu de mal au début car il s'agit au premier abord de deux histoires différentes et indépendante dans chaque tome. Cependant, une fois les deux premiers tome posés, le manga s'axe alors sur "l'arrière plan", l'organisme et l'histoire de la loi. Au fil des volumes, les révélations sur l'évolution de la loi se succèdent et se superpose aux différentes mésaventures des personne recevant leur préavis de décès. Certains épisodes mettent d'ailleurs la boule à la gorge, tant dans leur intensité que dans leur sentimentalisme. Pour ma part, ce fut "Photo souvenir" (Tome 7) qui parvint à m'arracher une petite larme.

L'épisode final est riche en découvertes, en suspense, et surtout en retournement de situation même si , ce point étant, à mon sens, le seul point négatif du mangas.

Mangas choc par moment, Ikigami est une bonne découverte, pour de très bon moment de lecture dans un monde qui, on l'espère, ne deviendra pas réel.
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La tension commençait à s'installer. On s'attendait à retrouver la même chose avec les doutes et les interrogations de Fujimoto face au système. Motorô Mase nous montre que rien n'échappe au pouvoir. Il maîtrise tout afin que rien ne puisse lui échapper. La dénonciation fonctionne assez bien. Bien que par la suite, les collègues du héros le mettent de côté et se méfient de lui. Dorénavant la direction va surveiller tous les braves soldats pour éviter le risque d'intrusion subversive. Interrogatoires, caméras partout, accompagnement lors des missions... rien n'échappe à leur vigilance. Fujimoto ne peut laisser aucune place à ces questionnements. Tout doit rester à l'intérieur sans jamais transpirer. La peur facilite le contrôle. le mangaka souligne l'absurdité du système avec deux histoires. D'un côté, un jeune garçon passionné de photographies qui a un avenir tout tracé avec une boutique d'un autre temps. Un champ de possible s'ouvre à lui avec tellement de possibilités. de l'autre côté, un jeune garçon qui a mis pour un temps sa passion pour la danse pour préparer un concours d'entrée à l'université afin de mêler les deux plus tard. Aucun de leur projet ne verra le jour car dans les 24h ils vont mourir. Est-ce juste? Faut-il ça pour la prospérité nationale, un élément essentiel à la pérennité du pays? Les 18/24 ans est-ce la bonne tranche d'âge? Mais serait-ce plus acceptable avec des gens de 70 ans? Comment se projeter avec une épée de Damoclès? Si c'est pour le bien de tous, est-ce à prendre en compte? Une fiction qui ne laisse pas indifférent le lecteur. Car on sait bien que la réalité n'est jamais trop loin.
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Le manga continue encore et toujours sur sa bonne lancée, cependant, j'ai du mal à voir comment l'auteur va pouvoir finir son histoire en 10 tomes... l'intrigue principale avance assez lentement au final, et il ne reste plus que 3 tomes!
Dans tous les cas, dans ce tome, le gouvernement commence à dévoiler sont côté oppresseur, conséquence de la découverte de la traitrise de la doctoresse dans le volume précédent.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Ça ne m'inspire pas grand chose cette danse de rue.
Je me demande pourquoi ils choisissent de faire ça dehors...ce ne sont pas les lieux qui manquent...
Je verrais presque ça comme une forme de nuisance.
Mh... Pour ma part, je n'ai rien contre.
C'est votre point de vue, d'autres pensent autre chose...
A mes yeux, c'est juste une forme de communication.
Songez que nous vivons une époque où chacun d'entre nous peut entrer en contact avec autrui d'un simple clic, sans même se montrer.
Pour être pratique, c'est pratique...
Mais sans "odeur", ni "chaleur", ni rien.
Or, eux utilisent leur "chair" pour attirer l'attention des autres...
Le procédé a quelque chose de primitif mais ce n'en est pas moins un moyen de communication sain et fort.
Pour moi, ça explique que de plus en plus de gens s'y livrent.
Est ce que...ce ne serait pas la preuve que notre société actuelle manque de moyens d'expression qui ont de la substance?
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Sa danse était peut-être la preuve qu'une passion désintéressée peut aisément enfoncer la barrière de la technique ou de la honte.
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Regardez bien Monsieur.
Le voilà votre fils.
Votre vrai fils!
La danse est tout pour lui. J'aimerais que vous ne l'oubliez jamais.
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En fin de compte, y a vraiment que ça qui compte pour moi. Suffit que je danse, ça me fait oublier tout, jusqu’à la mort. C'est tout pour moi... c'est ça, ma "vie"...
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Quelqu'un ici croit encore en moi. Et si je renonce maintenant, toute ma vie aura été un mensonge.
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Vidéo de Motorô Mase
Pour ce dernier coup de cœur vidéo, la librairie Point Virgule vous propose de vous projeter dans le futur avec trois BD de SF qui explorent des thématiques très différentes.
- Mécanique céleste, Merwan, éditions Dargaud, 25,50€ - Frontier, Guillaume Singelin, éditions Rue de Sèvre, Label 619, 21,90€ - Hitomoji - Stress mortel, Motorô Mase, éditions Crunchyroll, série en cours, deux tomes de parus sur quatre, 8,29€
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