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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le tome 7 ne fait pas exception à la règle de cette série :
L'auteur nous relatent les dernières 24 h de deux jeunes personnes.

Le thème abordé ici est le regret.
Le regret que nous pouvons ressentir lorsque nous avons laissé de côté une passion, un rêve pour faire ce que les autres attendent de nous.
L'un des personnages, par exemple, laissera tomber la pratique de la danse pour les études.
Difficile d'assumer cette décision quand il ne vous reste plus que quelques heures à vivre.

Un tome intéressant, certes, mais qui m'a moins ému que d'autres.
Pourtant le thème me plaisait mais j'ai trouvé les intrigues un peu plates, avec peu de contenu, de fond.
Peut-être en raison du fait que les derniers tomes commençaient à faire émerger les problèmes, les dérives que l'ikigami engendre dans cette société. Il est donc difficile de repartir sur des récits plus "légers" sur ce sujet.

Je regrette d'ailleurs le peu de place que prend notre porteur, Fujimoto, dans ce tome.
C'est un personnage que je commence doucement à vouloir suivre plus.
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La tension commençait à s'installer. On s'attendait à retrouver la même chose avec les doutes et les interrogations de Fujimoto face au système. Motorô Mase nous montre que rien n'échappe au pouvoir. Il maîtrise tout afin que rien ne puisse lui échapper. La dénonciation fonctionne assez bien. Bien que par la suite, les collègues du héros le mettent de côté et se méfient de lui. Dorénavant la direction va surveiller tous les braves soldats pour éviter le risque d'intrusion subversive. Interrogatoires, caméras partout, accompagnement lors des missions... rien n'échappe à leur vigilance. Fujimoto ne peut laisser aucune place à ces questionnements. Tout doit rester à l'intérieur sans jamais transpirer. La peur facilite le contrôle. le mangaka souligne l'absurdité du système avec deux histoires. D'un côté, un jeune garçon passionné de photographies qui a un avenir tout tracé avec une boutique d'un autre temps. Un champ de possible s'ouvre à lui avec tellement de possibilités. de l'autre côté, un jeune garçon qui a mis pour un temps sa passion pour la danse pour préparer un concours d'entrée à l'université afin de mêler les deux plus tard. Aucun de leur projet ne verra le jour car dans les 24h ils vont mourir. Est-ce juste? Faut-il ça pour la prospérité nationale, un élément essentiel à la pérennité du pays? Les 18/24 ans est-ce la bonne tranche d'âge? Mais serait-ce plus acceptable avec des gens de 70 ans? Comment se projeter avec une épée de Damoclès? Si c'est pour le bien de tous, est-ce à prendre en compte? Une fiction qui ne laisse pas indifférent le lecteur. Car on sait bien que la réalité n'est jamais trop loin.
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Une inspectrice est envoyée pour évaluer le travail de Fujimoto qui se sent nerveux.
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Même si les sentiments abordés ne sont pas identiques selon les personnes, ce tome est construit comme les précédents, sur les mêmes bases : des jeunes gens vivent leur vie lorsqu'ils reçoivent l'ikigami puis on assiste à leurs réactions.
Je pensais que l'intrigue résidait dans la remise en question mais il semble que ça tourne essentiellement autour des différentes histoires.
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