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3,74

sur 241 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est un roman du mal-être, des malentendus, des rendez-vous ratés.

La narratrice a vécu ses dix-sept ans comme une chute sans fin dans une faille existentielle. En y a perdu ses repères, et une ombre s'est propagée sur tout ce qui fait le sel de la vie.

D'errance diagnostique en espoirs chimiques, les mises en garde ont fait peser sur une potentielle maternité une menace sournoise.

Après un mariage éclair, une erreur de jugement, les révélations tardives d'un amoureux de longue date ont enfin permis une vie de couple. Chaotique, certes, mais soutenante, malgré tout.
Jusqu'au jour où un nom est attribué aux symptômes et avec lui le remède adapté. Fin du combat ou début d'un tsunami ?

Avec les confidences au jour le jour du malaise qui a marqué la vie de cette femme, sont abordées de nombreuses questions autour de la maladie mentale.

Comment vit-on avec ? Comment vit-on lorsque l'on partage le quotidien d'une personne concernée ? Quels impacts sur la famille, entre sollicitude et rejet ?

La relation du couple est particulièrement approfondie, et ce qui aurait plus apparaitre comme une abnégation n'est-il pas finalement un piège qui maintient la jeune femme dans un statut d'assistée ?

La question de la maternité n'est pas uniquement celle des effets secondaires des médicaments, mais aussi celle de la capacité d'être mère lorsque le paysage habité est si instable. Curieusement on y retrouve pas la notion du risque de transmettre la pathologie qui est cependant héritée des femmes de la lignée.

Ne pas se laisser affliger par la morosité ambiante du début : on s'attache finalement à ce personnage fragile et imprévisible.

Ne pas non plus y chercher un traité consacré à une pathologie psychiatrique précise, là n'est pas le but.

Un petit bémol pour des phrases incompréhensibles : effet de la traduction ou de la lecture d'épreuves non corrigées ?

Merci à Netgalley et aux éditions Cherche midi
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Je remercie chaleureusement Masse Critique et les éditions du Cherche Midi pour le généreux envoi de ce livre .

Un roman de 401 pages au contenu sensible et de qualité qui nous plonge au coeur de la psyché d'une femme ,sans cesse sur le fil du rasoir , tendre , sombre, passionnant .
iI conjugue admirablement la profondeur psychologique à un humour corrosif , une drôlerie plutôt amère . …..

Cette femme Martha , depuis l'âge de dix- sept ans accumule les périodes négatives ou euphoriques , comme si une petite bombe avait explosé dans sa tête .
Pourquoi passe t - elle des journées entières au fond de son lit ? .

Et pourquoi se met - elle à dos inconnus ou proches , avec ses remarques désinvoltes , agaçantes , dérisoires ou cruelles qu'elle regrette ensuite? .

Mariée fugitivement à un certain Jonathan, dont elle conte les circonstances et le gigantesque malentendu à l'origine de leur union : il prenait d'immenses quantités de cocaïne, puis elle se marie à Patrick , son ami d'enfance devenu médecin urgentiste, un homme bon , constant, gentil, obéissant , qui ne réagit même pas lorsque Martha lui lance des objets à la figure , si elle crie s'énerve , pleure à gros sanglots sans raison …..

Elle est atteinte d'une curieuse maladie mentale entre anorexie et bi- polarité , se terre dans la salle de bains , peut ne pas se lever ,angoissée, accablée , rongée par la maladie , une adulte en souffrance , vraiment …

Elle a travaillé chez Vogue, a habité à Paris quatre ans , a perdu son ami Peregrine , la narratrice conte avec talent la vie de sa soeur Ingrid qui l'a toujours soutenue ,même épuisée par ses grossesses successives, elles sont les filles de deux artistes : Célia , sa mère , une sculptrice au talent confidentiel , très portée sur la boisson , son père : un gentil poète plutôt raté dont les oeuvres ne se vendent pas…. son labeur à la fois esthétique et domestique, dévoué à son épouse , son oeuvre inachevée ……

Très sensible et difficile à vivre , Martha n'arrête pas de prendre des médicaments , accumule les diagnostics jusqu'aux révélations de sa mère à propos de cette maladie détestable qui aurait ravagé leur famille , la sienne et celle de son père …..
Elle éprouve une véritable terreur à l'idée d'une grossesse..

Ce gros roman profond , décline des portraits drôles, poignants , pétris d'humour et de dérision à propos de l'incompréhension: RIVALITÉS , jalousies , espoirs , illusions et désillusions au quotidien au sein d'une famille , non- dits douloureux, désir insensé d'essayer de s'amender et de changer , souci de préserver une certaine normalité , un équilibre mental difficile à maintenir , l'enfance et les fêtes , un espoir rare et beau à propos d'une maladie peu reconnue ou ignorée , à la complexité dévastatrice .

L'écriture est percutante , vive , fluide, âpre , l'intrigue fascinante d'émotions multiples et contradictoires , chargée de l'analyse aiguisée, minutieuse de sujets essentiels :
Comment vivre au quotidien avec autrui ?
Àu sein d'une même famille ? .
Un vrai tourbillon jusqu'à un bel optimisme à la fin ….
Repartir de zéro même sur le fil du rasoir !
Un roman psychologique complexe et émouvant !
«  La pire chose que Patrick m'i dite : «  Parfois , je me demande si ça te plait d'être comme ça » .
«  Oublier , c'est pardonner » ..
«  Tu en aurais fini avec le désespoir » .
«  Ce dont on a honte fournit d'habitude la matière d'une histoire intéressante » …
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« Parce que, quand la souffrance est inévitable, la seule chose qu'on peut choisir, c'est le décor. Pleurer toutes les larmes de son corps en longeant la Seine, ce n'est pas la même chose que pleurer toutes les larmes de son corps en traînant dans Hammersmith. »

Et Martha pleure beaucoup depuis ses 17 ans. Malgré des parents aimants (et un peu dysfonctionnels). Une soeur très présente. Et Malgré Patrick. Son ami/Amant/Mari. Elle oscille entre petits bonheurs et désespoir pur. Et n'arrive pas à mettre de mots sur ses maux.
Un roman qui traite avec un certain humour de maladie mentale (j'aurais aimé qu'elle soit nommée, j'ai l'impression d'avoir été flouée).
La plume est légère malgré le sujet, le ton caustique et typiquement anglais. Et au fil des pages, d'agaçante, Martha devient vite attachante. Sa famille aussi, tellement engluée dans les ravages de cette dépression chronique.
On plonge et surnage avec eux. Et on espère aussi.
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Toujours dans le cadre du challenge NetGalley j'ai choisi un roman qui sort de mes habitudes de lecture .
J'ai choisi Évidemment Martha de Meg Mason .
Et de nouveau j'ai été contente de mon choix , cette lecture a été très agréable.
J'ai donc suivi Martha , jeune femme atypique , très jeune elle a des accès de panique assez graves qui l'empêchent de vivre normalement, elle est alors tétanisée et n'arrive plus à reprendre le cours habituel de sa vie .
Évidemment comme le dit le titre , les relations amoureuses en prennent un coup , difficile de garder son conjoint quand le moral est aussi bas .
Malgré tout ce n'est pas du tout un roman triste , c'est plutôt ce qu'on appelle un roman intimiste qui suit les états d'âme de la jeune femme .
Au fil et à mesure que les années passent , des changements se profilent , des rapprochements notamment avec sa mère avec qui elle ne s'entendait pas .
C'est aussi un chemin de résilience , l'espoir au bout du tunnel .
#challengenetgalley
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Ce roman me laisse une impression mitigée à cause principalement du personnage féminin. L'intrigue est racontée du point de vue de Martha qui, à 17 ans a fait une grave crise. Mais de quoi justement ? Et comment se fait-il que les parents ne soient pas intervenus tout de suite au vu de l'effondrement psychique de leur fille ? Alors, certes, c'est une famille dysfonctionnelle car elle a grandi entre un père trop timoré pour remettre sa femme à sa place, poète sans succès et une mère dite artiste et alcoolique mais la situation de départ m'a laissée perplexe.

Puis on voit Martha devenir jeune adulte, contracter un mariage raté d'avance, sombrer dans la dépression, remonter la pente, épouser un autre homme, Patrick, et resombrer régulièrement dans des phases dépressives et surtout refuser le bonheur que pourrait lui apporter son mari. Je me suis régulièrement demandé les raisons de ces sautes d'humeur, je me suis dit qu'elle devait être bipolaire. Et puis finalement, quand elle consulte enfin le bon psychiatre, il lui dit qu'elle souffre de la maladie de -, de quoi ??? le mot n'est pas écrit ! L'auteure nous laisse dans le flou, on ne sait pas trop pourquoi. Il me semble qu'elle aurait dû nommer cette maladie, cela aurait permis de mieux comprendre la transformation de Martha après et de mieux apprécier ce personnage que j'ai trouvée antipathique tout du long. Curieux roman…
Je remercie les Editions Harper Collins et Netgalley de m'avoir permis de découvrir cette auteure.


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Martha, la quarantaine, ne s'est jamais sentie comme les autres. Quand elle avait dix-sept, "une petite bombe a explosé dans son cerveau" et depuis malgré les traitements et les thérapeutes elle alterne les crises de colère, les périodes où elle n'arrive plus à sortir de son lit et les moments où elle fait face tant bien que mal. Quand nous faisons sa connaissance, elle vient de se séparer de son second mari et nous raconte comment elle en est arrivée là.

Drôle de roman que ce Evidemment Martha que j'ai trouvé profondément triste et malaisant. L'auteure nous raconte la vie de Martha de manière très détachée, extrêmement froide, comme si tout ce qui lui arrivait était normal et la conséquence de ses troubles psychiques (non nommés et qu'on ne comprend pas bien) alors qu'on se rend bien compte que celle-ci aurait besoin d'aide. Cela fonctionne malgré tout grâce à l'ironie corrosive de Martha et à sa manière de se moquer pour ne pas pleurer quand les choses deviennent trop graves. Mention spéciale à tous les dialogues avec sa soeur, sa presque jumelle, sa confidente, où les deux filles s'échangent SMS mordants, blagues idiotes et vannes d'adolescentes, apportant enfin un peu d'air et beaucoup d'humour à ce roman qui sinon serait définitivement plombant.

On découvre ainsi l'enfance de Martha au sein d'une famille que l'on pourrait qualifier de dysfonctionnelle, un père poète raté qui n'a jamais écrit une ligne, une mère artiste plasticienne qui occupe toute la place, boit plus que de raison et ne s'occupe que d'elle même, et la tante de Martha et sa famille bourgeoise qui essaient d'insuffler un peu de normalité dans tout cela et tiennent financièrement la famille à bout de bras. J'ai eu du mal à comprendre la jeune Martha, à part à me dire qu'elle aurait vraiment besoin d'aide et que personne ne semble se préoccuper d'elle : menant tant bien que mal au bout ses études malgré des absences répétées dues à ses troubles, acceptant n'importe quel travail alimentaire sans sembler avoir son mot à dire et se précipitant tête baissée dans le mariage à la première rencontre. Tout ça n'est pas vraiment passionnant et le roman comporte de nombreuses longueurs, heureusement que quelques fulgurances et scènes franchement drôles viennent ranimer notre intérêt. La fin ne m'a pas plus convaincue, Martha trouvant enfin une explication à tous ses troubles et un traitement prescrit par un mystérieux psychiatre mais l'auteure préférant nous laisser dans le floue en refusant de nommer la maladie de son héroïne désignée dans le texte par des tirets -- ! Je comprends la démarche qui sans doute vise à faire du personnage un symbole universel de la maladie mentale sans vouloir se focaliser sur un trouble précis (ou qui évite à l'auteure de s'enferrer dans une description trop médicale d'un syndrome donné) mais je l'ai trouvée extrêmement frustrante puisqu'on ne comprendra finalement pas grand chose à cette histoire ni au but poursuivi par l'auteure en nous racontant cette tranche de vie.

Un roman qui ne m'aura donc pas vraiment convaincue, ni particulièrement plaisant à lire, ni vraiment passionnant et en plus donnant franchement le bourdon. Dommage car le style affuté de l'auteure est prometteur et laisse imaginer des histoires qui pourraient être beaucoup plus attirantes ! A suivre lors d'une prochaine lecture ?
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Entrée en matière brutale dans la vie de Martha, trentenaire de prime abord comme les autres, avec un épisode qui nous conte sa complicité avec Jonathan, son mari, lors d'une soirée... Mais cela, c'était avant... avant la rupture, avant que Jonathan ne finisse par la quitter peu de temps après. Et l'on remonte alors le temps avec Martha, qui nous décrit sa famille, plutôt foutraque finalement, avec un certain humour, assez détaché, avant d'en arriver à l'évènement de ses dix-sept ans qui va la faire basculer vers une autre Martha, évènement sans explication ni élément déclencheur vraiment déterminée, évènement terrible qui la rend incapable de sortir de chez elle, d'aller en cours, qui la fait rester prostrée dans son lit... Évènement, ou plutôt trouble psychique, que l'on nomme dépression, qui ne sera jamais nommé comme tel tout du long du roman, et qui suivra Martha de tout temps désormais.

Je dois avouer que j'ai été merveilleusement surprise par ce roman - bien que le sujet soit loin d'être merveilleux, certes -, moi qui m'attendais à l'histoire d'une trentenaire un peu mièvre, comme je ne les apprécie que très peu. Et non, très vite, l'on se prend l'histoire de Martha en pleine figure, comme une bonne gifle que chacun pourrait connaître un jour dans son existence. Alors oui, forcément, malgré quelques réserves quant au dénouement, j'ai été touchée par cette histoire, par ce personnage, par la capacité de Meg Mason à nous faire pénétrer dans un esprit qui bascule ainsi tragiquement, à nous montrer comme l'on est, chacun, bien peu à l'abri de ce type de basculement soudain, et comment la "prise en charge", familiale, amoureuse, médicale... est une vraie bataille de chaque instant, tout en donnant la légèreté nécessaire à l'ensemble - car Martha a énormément d'humour - pour ne pas nous entrer dans une forme de pathos qui alourdirait le propos.

Un belle surprise en somme que ce roman qui remue, franchement, terriblement.

Je remercie les éditions du Cherche-Midi et NetGalley de m'avoir permis de le découvrir par l'intermédiaire du Challenge NetGalley 2022, même si lu avec énormément de retard.
Lien : https://www.aubonheurdesmots..
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Martha, la quarantaine, n'a jamais été réellement elle-même. Depuis ses 17 ans, moment où une petite bombe a explosé dans sa tête selon elle, elle oscille entre dépression et "normalité"....Elle mène sa vie comme elle peut, toujours retenue par cette étiquette de "folie" qui la suit...Ses relations avec les autres ne sont pas simples non plus. Son père est très attentif à elle, mais doit aussi gérer sa mère, une femme assez particulière, elle peut aussi compter sur sa soeur Ingrid dont elle très proche, et sur sa tante Winsome....
Ce roman, c'est avant tout celui de la maladie de Martha, où on la voit osciller dans ses phases de descente, dans ses difficiles rapports à l'autre...J'ai eu à la fois envie de la secouer par moment et à d'autres instants j'avais envie de la serrer dans mes bras...J'ai trouvé le tout plein de délicatesse, c'est sensible, émouvant...On se laisse vite emporter par Martha et par ses proches...
Merci à Netgalley et à Le Cherche Midi pour cette belle lecture.
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Depuis l'âge de dix-sept ans, Marthe souffre de troubles psychiques et tente de s'en accommoder avec l'aide de traitements peu efficaces. Elle a maintenant trente-quatre ans, un premier mariage éphémère à son actif et un second qui se délite.
Les autres membres de sa famille (un père poète jamais édité, une mère sculptrice (qui vit aux crochets de sa soeur tout en la méprisant copieusement) une soeur quasi jumelle exténuée par ses grossesses successives) , ont chacun à leur manière tenté de "faire avec" l'attitude chaotique de Martha mais semblent eux aussi sur le point de lâcher prise.
L'autrice a fait le choix de ne jamais nommer la maladie (qui sera enfin correctement diagnostiquée ), sans doute pour ne pas stigmatiser ou pour ne pas limiter le récit et cela me convient très bien car ce qui est davantage montré ici est la souffrance  de Martha et celle de tous ceux qui l'entourent.
La structure éclatée du roman, les allers retours dans le temps, l'analyse fine des rapports complexes liant Martha à sa famille et, en particulier, à son second mari en apparence trop patient, la révélation retardée de certaines réactions de la jeune femme contribuent à maintenir la tension tout au long du récit.
Un roman clivant  sans doute mais que j'ai dévoré et qui m'a serré le coeur.



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Evidemment je cherche de quelle maladie mentale souffre Martha. Des périodes d'abattement et de déprime lui tombent dessus, une envie de ne plus vivre , de ne plus être et lourdeur des bras qu'elle peut alors à peine porter. Bipolarité me vient de suite à l'esprit et plus particulièrement cette forme clinique de mélancolie unipolaire c'est à dire se limitant aux passages dépressifs mélancoliques. Mais d'autres signes énoncés au fil de la lecture, ne collent pas.
Et ne voilà t il pas qu'en toute fin du livre, en annexe, il est dit : les symptômes décrits dans ce roman ne correspondent pas à ceux d'une maladie mentale réelle.

Agaçant me vient à l'esprit.

Les médecins sont qualifiés d'incompétents en diagnostic pour une maladie qui n'existe pas. Pour les soins, c'est du même tonneau.

Avoir un enfant est quasiment interdit à Martha, pour des raisons qui n'existent pas.

Agaçant car face à la maladie mentale et probablement tout autre maladie chronique, cela fait partie du traitement que le patient sache de quoi il souffre afin d'être dans la prévention et d'agir au mieux lorsque le mal débute ou s'installe de nouveau. Participation des proches recommandée si possible.
Comment oeuvrer en ce sens alors pour une maladie qui n'existe pas.

Revenons à Martha, personnage de roman dont je me demande de quel avatar au sens premier du terme elle est l'émanation.
Recherche internet Meg Mason. Presque rien. Laissons tomber l'avatar.

Donc Martha se marie une première fois, premier fiasco. Puis elle torpille son mariage avec Patrick épris d'elle depuis belle lurette. Il a tenu quelques années, ce qu'il a pu le brave homme, mais rassurez vous il reviendra.
Nous avons aussi plus qu'un aperçu des relations familiales, papa maman, la soeur, les cousins etc.
Ceux qui acceptent, ceux qui comprennent, ceux qui en ont marre, ceux qui rejettent et ceux qui passent d'un état à l'autre sans parler des prises de conscience et des revirements.

Addictif, lisai je en commentaire éditeur, effectivement la maman souffre d'addiction.
Humour dévastateur, en cherchant on en trouve effectivement un peu.
Absolument génial, ah bon.

Evidemment Martha.

Bien écrit malgré tout mais les trois premiers quarts où parfois la patience est en mal de contribution. le dernier quart a effectivement un petit côté addictif.
Une Martha qui n'existe pas donc quel crédit accorder aux vérités qu'elle énonce.
Une Martha égocentrée au point d'ignorer le ressenti des autres. Mais lorsqu'on a les bras lourds peut on aider alors qu'on ne peut s'aider suffisamment.
Parenthèse. Ne pas se réduire à la maladie et dans un cadre élargi ne pas oublier l'existence des autres et leurs besoins.

Enfin, qu'a voulu montrer Meg Mason. Les répercussions d'une maladie mentale sur la vie d'un individu et de ses proches ? La voie du faux était elle alors la meilleure pour tinter vrai.

Et pour terminer, ne mettons pas tout sur le compte de la maladie, ce serait trop facile.
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