Je finis ce livre un peu partagé.
Il se lit facilement, les personnages, l'intrigue sont sympas.
Mais quelques petit trucs gâche ce sentiment.
Déjà la façon dont Khal parle, de bouffer les mots, c'est voulu mais perso à lire et "entendre" dans ma tête c'est agaçant (c'est très perso comme ressenti mais fallait que je le dise).
L'intrigue policière est tranquille mais fait bien son job , réunir les deux hommes et créer une intrigue pour les caser.
J'ai surtout eu du mal avec la derniere partie, une fois que l'intrigue policière est résolue.
Je trouve que tout va trop vite et trop lentement en même temps, je m'explique Il faudrait que Onyx digère tout : la résurrection de Ilyes, les mensonges, ces traumatisme qu'il ressent en moins d'un mois. Et en même temps, une fois qu'il comprends qu'il aime et veux tenter un truc avec Khal, il rame à peine pour le reconquérir et surtout, il doit accepter et oublier ses peurs en vitesse et c'est lui qui doit s'excuser.
Khal aussi devrait comprendre, ça marche dans les 2 sens.
Puis le comportement de Lysander m'a bien agacé, c'est surement sa manière à lui d'aider Onyx mais il se range vite du coté de Khal sans chercher à comprendre Onyx qui est son ami de base et ancien amour !
Donc, je pense que c'est la partie finale qui m'a un peu gâcher le plaisir de lire cette histoire.
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Malgré certains aspects de l'intrigue plus que prévisibles, je me suis laissée porter par ce livre. Ça se lit bien, c'est bien écrit, les personnages sont sympas. Une lecture comme je les apprécie avec un mélange d'amour, de scènes hot et de suspense.
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Je suis malheureux parce qu’au fond de moi, j’ai compris depuis un bon moment qu’il est « l’autre », la bonne personne, celle que l’on a attendue avec impatience, rencontrée au hasard de la vie sans qu’on la cherche… J’ai le sentiment absolu que c’est lui
J’ai toujours eu une passion chronique pour le danger, j’aime tout ce que cela apporte, ce n’est pas par hasard si j’ai choisi le métier que je fais. Oui j’adore le danger et je vais me lancer tête baissée dedans !
— Tu ne m’as même pas dit bonsoir correctement beauté, c’est très impoli dis moi…
Je m’approche encore un peu, nos corps se frôlent, je vois sa respiration s’accélérer et atteindre le même rythme que la mienne.
— Et c’est comment correctement ? me demande-t-il dans un souffle.
— Aucune idée, tu sais toi ?
— Peut-être…
— Tu m’montres ?
— Pourquoi pas…
Et avant que je n’ai pu répliquer, il m’attrape le visage de ses deux mains, se colle contre moi et écrase sa bouche sur la mienne.
Bordel !
Un grognement de satisfaction m’échappe tandis que sa langue passe le barrage de mes dents pour trouver la mienne. Bordel de bordel ! Que c’est bon !
« J’ai toujours eu une passion chronique pour le danger, j’aime tout ce que cela apporte, ce n’est pas par hasard si j’ai choisi le métier que je fais. Oui j’adore le danger et je vais me lancer tête baissée dedans !
— Tu ne m’as même pas dit bonsoir correctement beauté, c’est très impoli dis moi…
Je m’approche encore un peu, nos corps se frôlent, je vois sa respiration s’accélérer et atteindre le même rythme que la mienne.
— Et c’est comment correctement ? me demande-t-il dans un souffle.
— Aucune idée, tu sais toi ?
— Peut-être…
— Tu m’montres ?
— Pourquoi pas…
Et avant que je n’ai pu répliquer, il m’attrape le visage de ses deux mains, se colle contre moi et écrase sa bouche sur la mienne.
Bordel !
Un grognement de satisfaction m’échappe tandis que sa langue passe le barrage de mes dents pour trouver la mienne. Bordel de bordel ! Que c’est bon ! »
« Truck me cache quelque chose, je le sens, je suis persuadé qu’il sait.
— Vous l’protégez, je peux l’comprendre, mais j’veux ce mec ! Dans quatre jours c’est Noel et je n’tiens pas à l’passer sans lui ! J’le veux dans ma vie Truck vous comprenez ?
— Je ne suis pas idiot !
Il m’énerve, il m’énerve !
— Ne m’obligez pas à utiliser mon statut d’flic pour vous l’faire dire Truck.
— Vous êtes en arrêt maladie.
— Oh bordel ! Je vais m’le faire ! »
son regard pâle inhibe tous mes moyens. Je suis dans son antre, je suis dans la tanière du loup et je crois que je n’attends que ça, qu’il me dévore, tout entier