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Citations sur 100 pages blanches (80)

Un fou, c’est peut-être simplement quelqu’un qui sait une chose que les autres ignorent.
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Je t’aime. Si ces trois mots n’existaient pas, la moitié des films et les trois quarts des livres n’existeraient pas non plus.
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Pleurer de rire après un enterrement, c’est remettre un peu de chaleur dans ses yeux ; ensuite on peut repartir, et marcher droit devant sans cette buée qui nous empêchait de bien voir.
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Le bonheur est un cadeau et, comme tout cadeau, il n’existe que s’il est offert à quelqu’un.
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Pour emporter de grands souvenirs, il ne faut pas regarder en arrière.
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Un parent qui nous aime, c’est comme un sourire attendri qui plane au-dessus de nos têtes : quand on va mal, il suffit de lever les yeux pour être réchauffé à l’intérieur.
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C'est étrange le bonheur.
Quand on est à sa recherche, il nous semble obscur, complexe, caché dans un endroit où on ne pourra jamais le trouver.
Quand on le vit, on comprend qu'il est lumineux et simple. Surtout on comprend que le bonheur n'était pas caché : il était juste protégé enfoui à l'intérieur de l'autre. Le bonheur est un cadeau et comme tout cadeau il n'existe que lorsqu'il est offert à quelqu'un.
Avec Clarisse on s'offre du bonheur chaque jour .
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Je t'aime. Si ces trois mots n'existaient pas, la moitié des films et les trois quarts des livres n'existeraient pas non plus.
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Je jette un oeil dehors et mon regard est attiré par deux silhouettes colorées jurant avec le gris ambiant. On dirait papi et mamie... Mais oui, c'est bien eux ! Ils se promènent malgré la pluie et le vent, revêtus du même ciré jaune et abrités sous un unique parapluie qu'ils doivent tenir à deux pour ne pas qu'il s'envole. Après quelques mètres, ils s'arrêtent et font face à l'océan démonté. Papi tend le bras pour faire sortir sa main de la manche trop longue de son imperméable, et prend la main de mamie. Ils restent là quelques minutes, sans rien se dire. Mamie penche doucement la tête et la pose sur l'épaule de Papi. Et je vois Papi l'embrasser sur le front et la serrer contre lui. Il me semble qu'ils ferment les yeux.
Je comprends avec stupeur qu'après tant d'années de mariage, papi et mamie sont toujours amoureux. Je prends conscience qu'il est possible d'être vieux et de s'aimer encore. Du haut de mes vingt ans, cette idée me met mal à l'aise, je le ressens très clairement.
Pourtant, mes yeux d'aujourd'hui voient cela différemment. On croirait que, face à l'océan déchaîné, ils regardent leur vie, tous les moments difficiles qu'ils ont affrontés ensemble. Et là, bien à l'abri, bien protégés par leur amour, ils savent qu'ils ont gagné. Ils sont sur la berge, loin des vagues, loin du danger. Ne leur restent que les bons moments, toutes ces choses qu'ils ressentent, qu'ils partagent sans rien se dire. Tous ce qui les unit et que je ne pourrai sans doute jamais comprendre.
L'amour de toute une vie.
Quelle chance avaient mes grands-parents... J'ai l'impression que cela est réservé aux anciens, qu'aujourd'hui on s'aime quelques années, et puis l'amour s'envole, lentement, comme la vapeur s'échappe d'une tasse de chocolat chaud. Sans que l'on s'en rende vraiment compte.
Y aura-t-il quelqu'un pour me donner la main, face à l'océan, dans trente ou quarante ans ? Et à qui aimerais-je la donner, cette main sèche et ridée qui sera la mienne dans si longtemps ?
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Perdre son dernier parent, c'est quand même quelque chose, une étape dans la vie. On n'a plus personne au dessus de soi, il ne reste que ceux d'à côté et ceux d'en dessous. Moi j'aimais bien avoir quelqu'un au dessus, comme une bonne conscience qui veille sur la mienne, cette présence rassurante qui ne cessera jamais de nous aimer.
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