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La seule question est : qu'attendons-nous de la Vie ? Comment souhaitons-nous vivre vraiment et quelles croyances limitantes nous empêchent de vivre comme nous l'entendons, nous empêchent de nous réaliser et d'être pleinement heureux ?
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La seule question est : qu'attendons-nous de la Vie ? Comment souhaitons-nous vivre vraiment et quelles croyances limitantes nous empêchent de vivre comme nous l'entendons, nous empêchent de nous réaliser et d'être pleinement heureux ?
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Tous les enseignements authentiques, religieux ou laïques, visent pourtant cette prise de conscience, cet éveil spirituel : le Père Noël de l'ego n'existe pas ; il n'est pas de conscience séparée. Tout enseignement authentique est non duel. Voies progressives (on progresse dans le mensonge, jusqu'au moment où on est prêt à entendre la vérité) ou directes, toutes mènent à la même vérité. Toutes sont la clé du Royaume dont nous avons tout à la fois la nostalgie et l'intuition : la vérité de l'Être non voilée par l'illusion de l'ego. Celle que le nouveau-né connaît sans le savoir ; celle dans laquelle il s'agit de s'établir sciemment.
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Il semble que le silence soit ce qu'il y ait de plus difficile à trouver. Pourtant... il est si proche de nous, il est en nous, il est nous. Notre liberté. En fait, il y a deux sortes de silence. Celui du monde, le silence extérieur Que l'on peut décrire comme simple cessation du bruit ambiant Et le silence intérieur, si profond qu'il est insondable, Dont on ne peut pas parler Que l'on peut simplement être À volonté Simplement en disparaissant en sa faveur En retournant la flèche de notre attention vers Ce Qui regarde en nous. Et voici alors Ce qui nous est donné : Clarté sans limites, Silence conscient, lumineux, Vie rayonnante, Source et Accueil de Tout Au centre de nous-même, Ce que nous sommes vraiment, Accessible à chaque instant, Pourvu que nous accomplissions cette conversion totale du regard. Les voies et les voix sont multiples et intéressantes. Mais le silence est un. On ne peut pas parler du silence. On ne peut qu'être le silence." Catherine Harding |
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Enfant, tout petit, nous sommes être pur, mais sans le savoir. Puis un beau jour notre mère franchit la porte de la chambre et dit : « Tu es John. » Et soudain vous devenez John et elle devient votre mère. C’est l’instant de la séparation. Aussitôt qu’il y a séparation la quête se met en branle. Lorsque débute la séparation vous êtes hors du paradis. Vous avez apparemment perdu le paradis et aussitôt vous partez à sa recherche. Ce que vous voyez chez un bébé, c’est ce que vous êtes. La différence est que lorsque ce sera redécouvert, si l’on peut dire, il y en aura un savoir, alors que dans le cas du bébé il y a simplement cela sans aucun sentiment de le savoir. C’est toute l’affaire. Nous quittons le paradis dans le dessein d’y revenir et de le connaître. Nous ne pouvons le connaître sans l’avoir perdu. |
Jésus était-il vraiment Juif ?