Ce roman nous permet de “rencontrer”
Goethe dans la dernière partie de sa vie et d'assister à l'incendie du théâtre qu'il a dirigé de nombreuses années. Érudition, transmission du savoir, intérêt pour la culture étrangère, amour des lettres, des langues et du théâtre sont au rendez-vous et grâce à l'écriture, on se sent plongé en plein XIXe siècle. En prime, le narrateur parle si bien de la flûte enchantée de Mozart qu'il nous donne envie de courir voir ce chef d'oeuvre.
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