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Critique de photonoxx


Arthur Black est un écrivain américain de roman d'épouvante ayant connu un certains succès. À plus de 80 ans, il décide de raconter l'aventure qu'il a vécue à 18 ans sous son vrai nom d'Alex White, quand, récemment démobilisé de la première guerre mondiale, il s'installe dans la petite ville anglaise de Gatford, dont les bois, dit-on, sont le domicile du Petit Peuple…
Malgré un thème intéressant et un écrivain d'un certain renom, je dois bien avouer avoir eu beaucoup de mal à rentrer dans ce livre. À 165 pages sur les 300 que compte ce roman, on se demande encore vers quel genre d'intrigue on se dirige, on ne voit se succéder qu'une suite d'événements, mais, rien ne semble nous tenir en haleine, et nul suspense ne nous encourage à continuer la lecture.
Par ailleurs, le récit, censé être une sorte de journal se voit plus ou moins « truffé » de remarques de l'écrivain de fiction, sorte d'aparté avec lui-même, sur son style d'écriture et d'autres choses, du genre :
« Elle ne faisait aucun effort pour dissimuler son irritation, désormais (eh ! Pas mal ça !). »
Peut-être le texte anglais faisait usage de termes assez rares ou savant, je ne le sais pas, mais là, c'est juste incompréhensible je trouve.
Donc plutôt déçu par ce roman, j'essayerai peut-être de le finir pour connaître le fin mot de cette histoire, véridique, incroyable, terrifiante… telles que souvent décrite par Arthur Black, ce qui ne s'avère pas tout à fait évident pour l'instant.
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