Un livre qui se lit très vite, si vite qu'on reste sur sa faim!
Même au narrateur-je, la fin reste surprenante! Un style osé mais efficace!
On s'attache très vite aux personnages, et malgré la noirceur de Byron, sa naïveté fait parfois sourire!
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Le violoncelle était à la musique ce que le pinceau était à la peinture ou ce que le couteau était au boucher. La musique nécessitait des instruments pour être créée, et j'écoutai Théodore avec avidité, me la décrire et me l'expliquer jusqu'à l'aube. Il me raconta la vie de Bach et tout comme Théodore qui créait beaucoup d’œuvres, le musicien avait écrit plus de mille compositions musicales, avait eu vingt enfants, deux femmes, mais pas beaucoup d'argent. Quand j'y pense, je ne sais pas comment Bach nourrissait sa famille, mais la chasse devait être bien épuisante pour tout ce monde! Le virtuose, comme l'appelait Théodore, avait même perdu la vue à la fin de sa vie, à cause d'un mauvais médecin qui avait raté son opération! Pas étonnant que Théodore se refusait d'aller à l'hôpital.