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Jacques Laurent (Autre)Philippe Bonnefis (Éditeur scientifique)
EAN : 9782253009009
367 pages
Le Livre de Poche (01/08/1979)
  Existe en édition audio
3.93/5   12995 notes
Résumé :
Guy de Maupassant

Bel-Ami

Le monde est une mascarade où le succès va de préférence aux crapules. La réussite, les honneurs, les femmes et le pouvoir: le monde n'a guère changé. On rencontre toujours - moins les moustaches - dans les salles de rédaction ou ailleurs, de ces jeunes aventuriers de l'arrivisme et du sexe. Comme Flaubert, mais en riant, Maupassant disait de son personnage, l'odieux Duroy : " Bel-Ami, c'est moi." Et pour le cy... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (467) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 12995 notes
Bel-Ami... Quelle belle découverte ! J'ai franchement beaucoup aimé cette lecture. C'est fluide et prenant, vraiment, et Maupassant nous offre une bonne palette de personnages de l'époque, tous plus ou moins intéressants mais avec un rôle certain dans l'intrigue, ce que j'apprécie fortement; j'ai particulièrement bien aimé le pessimisme (néanmoins réaliste) du poète Norbert de Varenne - je crois d'ailleurs que Maupassant a mis un peu de lui dans ce personnage (ils sont tous les deux obsédés et dévorés par l'idée de la mort, notamment).
C'est, en tout cas, radicalement différent d'Une vie qui est beaucoup plus descriptif et qui nous embarque dans une atmosphère beaucoup plus pesante (ce qui est le but voulu d'ailleurs), et ça ne m'a pas étonné de lire dans la postface que Bel-Ami a été écrit d'une traite, et sous forme de feuilleton – d'où la permanente sensation d'être tenue en haleine -, alors qu'Une Vie a été écrit en 7 ans ! Je trouve aussi un côté très « zolien » à Bel-Ami, ce qui m'a beaucoup plu !
Et puis George Duroy… J'adore les personnages passionnés, donc j'adore George Duroy envers et contre tout ! Un Valmont plus moderne et un tout petit peu moins vil, un homme à femme comme je les aime (littérairement parlant, évidemment !), qui use de ses charmes pour s'élever dans la société, mais qui malgré toutes ses conquêtes éphémères et intéressées, reste attaché à Madame de Marelle, sa première amante, vers qui il reste irrésistiblement attiré et peut être la seule qu'il - et qui l' - aime vraiment.

Bref, j'ai vraiment passé un excellent moment avec ce roman, et je le recommande à quiconque aurait envie de s'évader dans une époque lointaine et pourtant très peu différente de la nôtre pour ce qui est des aspirations et ambitions humaines…
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« Bel-Ami »... ? Un bel ami, je n'en voudrais pas un pareil, en tout cas ! Personnage tout en façade, en rondeurs, en joliesse, en déclarations passionnées mais creux à l'intérieur, cynique, vide, de temps à autre se posant des questions sur la vie et la mort, mais finissant par déclarer : « C'est bête, tout ça ».

Oui, Maupassant m'a bien dupée avec son Georges Duroy surnommé « Bel-Ami » par des femmes désoeuvrées et contentes qu'un bel homme s'occupe d'elles. Car en ce 19e siècle finissant, la société bourgeoise et aristocratique ne pense qu'à l'argent, qu'au pouvoir, le tout agrémenté d'un batifolage de bon aloi. Georges Duroy se sert des femmes pour grimper dans l'échelle sociale, lui qui est fils de paysans de Rouen, qui n'a même pas de diplôme, qui est allé servir l'armée 2 ans en Afrique. Il se retrouve journaliste grâce à la rencontre d'un vieil ami, puis monte en grade grâce à la femme de cet ami. Et c'est l'engrenage, rien ne peut l'arrêter...D'intrigues amoureuses en guet-apens politiques, ce jeune homme encore pardonnable au début devient LE parvenu par excellence, et là, je l'ai détesté.

Et les femmes, me direz-vous ? Eh bien, les femmes, Maupassant n'est pas tendre avec elles ! Ce sont soit des vénales, soit des oies blanches... Il y en a une, quand même, qui attire l'attention, par son intelligence, son caractère posé et qui ne s'en laisse pas conter, et finalement, qui tombe dans le piège de notre « héros ». Même celle fidèle à son mari, « vierge de coeur », dégringole aussi, et de plus haut vu qu'elle semblait inattaquable.
Maupassant d'ailleurs excelle dans ses descriptions ! En voici une, je n'y résiste pas : « Elle était un peu trop grasse, belle encore, à l'âge dangereux où la débâcle est proche. Elle se maintenait à force de soins, de précautions, d'hygiène et de pâtes pour la peau. Elle semblait sage en tout, modérée et raisonnable, une de ces femmes dont l'esprit est aligné comme un jardin français. On y circule sans surprise, tout en y trouvant un certain charme. » Et encore une autre, allez, puis je me tais : « La soeur aînée, Rose, était laide, plate, insignifiante, une de ces filles qu'on ne voit pas, à qui on ne parle pas, et dont on ne dit rien ».
C'est tout dire...

Maupassant, je le connaissais, surtout dans ses nouvelles, et j'ai donc circulé dans « Bel-Ami » en terrain connu, avec un peu d'ennui par moments (oui, c'est vrai, il aurait pu expliquer cette ascension sociale sans scrupules en une nouvelle) mais aussi avec beaucoup de plaisir face à cette description sans fards de cette riche société. Ce n'est pas pour rien qu'il est devenu un « classique ».
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Bel-Ami est indémodable ! Sur fond de journalisme et de dîners mondains, cette fable (sans en avoir la forme, mais déjà le fond) nous persuade que tout est possible (j'ai failli dire qu' "ensemble, tout devient possible" *humour*) ! Dans la France de la fin du XIXe, Duroy part de rien, mais arrive à tout ! Il choisit le journalisme presque par défaut, il conquiert le coeur des femmes presque sans le vouloir, il cherche au fond l'impossible sans vraiment le savoir. Avec un cynisme aux abois, Maupassant peint la société qui l'entoure au vitriol. Comment ne pas y voir à chaque nouvelle génération de lecteurs une vision calquable sur les réalités de notre époque ? Où se situe le vrai bonheur ? La réussite doit-elle se faire à tout prix ? Bel-Ami ou comment répondre à des questionnements cruciaux, au plus près de la société, tout en évitant les longues descriptions lassantes de certains auteurs réalistes du XIXe. À méditer toujours une fois de plus !
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"Bel-Ami" ou comment partir d'un Georges Duroy pour devenir un Georges du Roy de Cantel : Voilà toute l'histoire de ce roman.

Maupassant en pleine possession de son talent de conteur-né et maître de son métier d'écrivain (comme le décrit si bien Roger Martin du Gard) a cette facilité à maîtriser le rythme de la narration, à incruster une description malicieuse, une pensée fugitive d'un personnage, à varier les points de vue, et à introduire un dialogue avec à propos.

L'histoire de Georges est assez singulière. Cet homme médiocre par sa condition, pantouflard, menant un train de vie ordinaire ; comme tout fonctionnaire de bas étage, quelques jours heureux aux débuts du mois et le reste dans l'indigence. Il n'avait ni ambition, sauf, peut-être, une envie vague de changer de situation. Il n'avait jamais pensé à mettre en oeuvre ses moyens (son air de beau garçon) qu'il ignorait peut-être même. Et le voilà soudain devant l'occasion de sa vie ; son ami l'introduit dans une société intéressante et le pousse dans le monde du journalisme. Certes Georges a été opportuniste, il faut l'admettre, voilà l'une de ses bonnes qualités. A partir de là, il commence à s'accrocher, mais sans grands résultats d'abord, ensuite, son ascension se fait grâce aux femmes séduites. Chacune d'elles aura une influence différente sur son parcours. Au fur et à mesure, apparaissait le vrai caractère de Georges ; homme pusillanime (notez son comportement dans l'affaire du duel), égoïste, ingrat (envers son ami Forestier), sans scrupules ; en bref, un homme machiavélique qui apprend vite et voit juste lorsqu'il le faut. Mais, ne le fait-il que pour se venger de cette société de riches ? n'est-il après tout qu'une version réussie d'un Julien Sorel ? Regardez son comportement exemplaire envers ses parents.

Par ailleurs, ce roman nous présente les bas-fonds du métier de journaliste. Mais surtout ce type de journaliste sans principe, qui vend sa plume au plus payant, qui travaille au profit des grands, qui manipule les lecteurs et publie de fausses nouvelles pour des fins maléfiques. de plus, la plume impassible De Maupassant a mentionné quelques épisodes de l'Histoire de la France et ses relations avec l'Afrique du Nord.

Comparons maintenant la fin et le début du roman et le changement de situation de Georges : Sorti, au début, d'un restaurant de classe inférieure, avec quelques sous en poche vers la fin d'un mois, suscitant l'intérêt de quelques simples ouvrières, il sort, à la fin du roman, de l'église, glorieux et acclamé attirant les regards de tout Paris (comme le roi à la fin du "Seigneur des Anneaux").
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Que c'est bon !
Encore une fois Monsieur de Maupassant réussit à nous éblouir.
De l'obscur Georges Duroy au Bel-Ami du beau monde parisien, ce récit nous enseigne que vouloir c'est pouvoir.
Il faut dire que ce cher Duroy n'est pas très regardant sur les principes pour gravir l'échelle sociale et faire oublier ses origines.
Ce personnage est une véritable enflure mais c'est justement ce qu'il est qui lui donne toute sa force. Bel-Ami, c'est l'opportuniste avec un grand O. Comme quoi, il faut toujours se méfier des petits, dans le panier de crabes c'est toujours les plus dangereux.
Ce livre est super, Maupassant n'a pas son pareil pour décrire avec acidité son semblable. C'est écrit avec classe et finesse, on en redemande. A lire!
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Citations et extraits (625) Voir plus Ajouter une citation
Comprenez-moi bien. Le mariage pour moi n'est pas une chaîne, mais une association. J'entends être libre, tout à fait libre de mes actes, de mes démarches, de mes sorties, toujours. Je ne pourrais tolérer ni contrôle, ni jalousie, ni discussion sur ma conduite. Je m'engagerais, bien entendu, à ne jamais compromettre le nom de l'homme que j'aurais épousé, à ne jamais le rendre odieux ou ridicule. Mais il faudrait aussi que cet homme s'engageât à voir en moi une égale, une alliée, et non pas une inférieure ni une épouse obéissante et soumise. Mes idées, je le sais, ne sont pas celles de tout le monde, mais je n'en changerai point. voilà.
Bel-ami - Guy de Maupassant - écrit en 1885 !
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Il revint à grands pas, gagna le boulevard extérieur, et le suivit jusqu’à la rue Boursault qu’il habitait. Sa maison, haute de six étages, était peuplée par vingt petits ménages ouvriers et bourgeois, et il éprouva, en montant l’escalier, dont il éclairait avec des allumettes-bougies les marches sales où traînaient des bouts de papiers, des bouts de cigarettes, des épluchures de cuisine, une écœurante sensation de dégoût et une hâte de sortir de là, de loger comme les hommes riches, en des demeures propres, avec des tapis. Une odeur lourde de nourriture, de fosse d’aisances et d’humanité, une odeur stagnante de crasse et de vieille muraille, qu’aucun courant d’air n’eût pu chasser de ce logis, l’emplissait du haut en bas.
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Duroy, qui se sentait le coeur gai, ce soir-là, dit, en souriant : "Vous avez du noir, aujourd'hui, cher maître."
Le poète répondit : "J'en ai toujours, mon enfant, et vous en aurez autant que moi dans quelques années. La vie est une côte. Tant qu'on monte, on regarde le sommet, et on se sent heureux ; mais, lorsqu'on arrive en haut, on aperçoit tout d'un coup la descente, et la fin, qui est la mort. Ca va lentement quand on monte, mais ça va vite quand on descend. A votre âge, on est joyeux. On espère tant de choses, qui n'arrivent jamais, d'ailleurs. Au mien, on n'attend plus rien ... que la mort."
Duroy se mit à rire : "Bigre, vous me donnez froid dans le dos."
Norbert de Varenne reprit : "Non, vous ne me comprenez pas aujourd'hui, mais vous vous rappelerez plus tard ce que je vous dit en ce moment. Il arrive un jour, voyez-vous, et il arrive de bonne heure pour beaucoup, où c'est fini de rire, comme on dit, parce que derrière tout ce qu'on regarde c'est la mort qu'on aperçoit. Oh ! vous ne comprenez même pas ce mot-là, vous, la mort. A votre âge, ça ne signifie rien. Au mien, il est terrible. Oui, on le comprend tout d'un coup, on ne sait pas pourquoi ni à propos de quoi, et alors tout change d'aspect, dans la vie. Moi, depuis quinze ans, je la sens qui me travaille comme si je portais en moi une bête rongeuse. Je l'ai sentie peu à peu, mois par mois, heure par heure, me dégrader ainsi qu'une maison qui s'écroule. Elle m'a défiguré si complètement que je ne me reconnais pas : Je n'ai plus rien de moi, de moi l'homme radieux, frais et fort, que j'étais à trente ans. Je l'ai vue teindre en blanc mes cheveux noirs, et avec quelle lenteur savante et méchante ! Elle m'a pris ma peau ferme, mes muscles, mes dents, tout mon corps de jadis, ne me laissant qu'une âme désespérée qu'elle enlèvera bientôt aussi. Oui, elle m'a émietté, la gueuse, elle a accompli doucement et terriblement la longue destruction de mon être, seconde par seconde. Et maintenant je me sens mourir en tout ce que je fais. Chaque pas m'approche d'elle, chaque mouvement, chaque souffle hâte son odieuse besogne. Respirer, dormir, boire, manger, travailler, rêver, tout ce que nous faisons, c'est mourir. Vivre enfin, c'est mourir !
... Moi, maintenant, je la vois de si près que j'ai souvent envie d'étendre les bras pour la repousser. Elle couvre la terre et emplit l'espace. Je la découvre partout. Les petites bêtes écrasées sur les routes, les feuilles qui tombent, le poil blanc aperçu dans la barbe d'un ami, me ravagent le coeur et me crient : "La voilà ! "
Elle me gâte tout ce que je fais, tout ce que je vois, ce que je mange et ce que je bois, tout ce que j'aime, les clairs de lune, les levers de soleil, la grande mer, les belles rivières, et l'air des soirs d'été, si doux à respirer ! "
Il allait doucement, un peu essoufflé, rêvant tout haut, oubliant presque qu'on l'écoutait.
Il reprit : "Et jamais un être ne revient, jamais ... On garde les moules des statues, les empreintes qui refont toujours des objets pareils ; mais mon corps, mon visage, mes pensées, mes désirs ne reparaîtront jamais. Et pourtant il naîtra des millions, des milliards d'êtres qui auront dans quelques centimètres carrés un nez, des yeux, un front, des joues et une bouche comme moi, et aussi une âme comme moi, sans que jamais je revienne, moi, sans que jamais même quelque chose de moi reconnaissable reparaisse dans ces créatures innombrables et différentes, indéfiniment différentes, bien que pareilles à peu près.
A quoi se rattacher ? Vers qui jeter des cris de détresse ? A quoi pouvons-nous croire ?
Toutes les religions sont stupides, avec leur morale puérile et leurs promesses égoïstes, monstrueusement bêtes.
La mort seule est certaine."
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Je suis comme vous d'ailleurs et j'aime beaucoup lire dans les échos de Paris le décès d'un académicien. Je me demande tout de suite : " Qui va le remplacer ? " Et je fais ma liste. C'est un jeu, un petit jeu très gentil auquel on joue dans tous les salons parisiens à chaque trépas d'immortel...
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Avec un homme arrivé on sait ce qu'on prend ; avec un homme qui commence on ne sait pas où il ira.
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Vidéo de Guy de Maupassant
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