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EAN : 9782080604125
Flammarion (08/01/1992)
3.62/5   92 notes
Résumé :
L'étouffoir...
Ce n'est pas seulement cette lande qui sent le pin brûlé. Maltaverne et ses deux mille hectares, ses papillons cloués à la résine des arbres... C'est aussi cette force obscure qui saisit les êtres, les incendies... Alain est l'héritier de ce domaine. Il aime Marie, du moins il la désire. Mais elle n'a pas de dot et, quand on s'appelle Alain Gajac, on ne se commet pas avec une employée de librairie. Madame Gajac, sa mère, ne rêve que stères de b... >Voir plus
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Ce livre est le dernier roman écrit par François Mauriac, toutefois une suite inachevée "Maltaverne" sera éditée quelques années plus tard à titre posthume.
Il s'agit d'une oeuvre très sombre évoquant l'adolescence d'un garçon dominé par sa mère, et écrasé par sa condition de richissime propriétaire terrien qui a reçu un enseignement catholique très rigoureux. le protagoniste lutte à la fois contre son milieu et aussi d'une autre façon contre le catholicisme. L'auteur trace le portrait d'un adolescent en marge par rapport à son époque et sa classe sociale, qui intellectualise beaucoup, et nourrit son existence de littérature et d'écriture, envisageant d'ailleurs de devenir écrivain. Les drames se succèdent dans la vie de cet adolescent, trop chaperonné par sa mère, voire même étouffé. Beaucoup de psychologie tout au long des pages, de belles descriptions aussi, et des portraits des personnages... mais aucun ne m'est vraiment sympathique. Un roman très bien écrit, mais qui relate une histoire pesante, se déroulant dans une société figée par les principes, les calculs et presque les "castes".
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Ce dernier roman de François Mauriac, âpre, violent, écrit par un vieil homme sans indulgence, paru peu de temps avant sa mort, conte l'adolescence d'un jeune homme (avatar de lui-même ?) de l'âge de dix-sept ans jusqu'à celui de vingt-trois ans, moment où le héros, à la suite d'un drame qui va bouleverser sa vie, quitte Bordeaux pour Paris.
Il ramène à la vie l'adolescent d'autrefois qu'il fut peut-être lui-même, en endossant le costume d'Alain Gajac, jeune bourgeois terrien, riche, indolent, indécis, et solitaire.

Alain Gajac en personne prend la plume en se confiant par le biais de carnets, à un ami, nommé Donzac. Il pose un regard acéré sur cette richissime bourgeoisie qui tient le haut du pavé dans la lande, accumulant la possession des terres et des pinèdes. Il en est lui-même un représentant de premier choix, sa mère détenant "des milliers d'hectares de landes, des immeubles" ainsi que Maltaverne, une imposante propriété, où le jeune homme vit la plupart du temps.
Doté d'une mère à la personnalité écrasante, qui s'impose de façon autoritaire à son entourage, et gère ses biens d'une main de fer, il tente d'échapper au sort qui l'attend en fréquentant Simon et surtout Marie qui va l'aider à se connaître.

Tout cela sent furieusement la soutane et baigne dans l'eau bénite. La mère accumule propriétés et prières, achète son salut en payant des études au fils du métayer pour qu'il devienne prêtre. Quant à Alain, tout en étant lui même croyant, il critique violemment l'hypocrisie religieuse ambiante.

François Mauriac fouille l'âme humaine, pose un regard d'une lucidité sans faille sur cette caste bourgeoise, sèche et si sure de sa supériorité, au coeur aride, dénonce les faux-semblants et les non-dits, décortique le drame final en mettant en évidence le sentiment de culpabilité qui anime les personnages.
C'est remarquablement fait et superbement écrit.
Une oeuvre de maturité puissante et bouleversante.

Normal, nous sommes chez François Mauriac,
un grand écrivain d'autrefois
et non chez ...... ou chez ...... ou encore chez ......
un pisseur d'encre d'aujourd'hui !
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Un adolescent d'autrefois
François Mauriac (1885-1970)
Académie Française
Prix Nobel 1952
Maltaverne au début du vingtième siècle : un domaine de deux mille hectares au coeur de la lande au parfum de pin brûlé et aux troncs constellés de papillons collés à la résine, seulement traversé par la Hure, l'unique ruisseau de Maltaverne, bordés de vergnes aux reflets bleutés et d'osmondes où chantent les grillons et les sauterelles et volètent des libellules fauves, et cachant de beaux brochets et des assèges qui font le bonheur des pêcheurs que sont les fils du régisseur du domaine.
Alain Gajac, le narrateur, est l'héritier du domaine. Il a dix sept ans. Il a reçu un enseignement catholique très strict contre lequel il va souvent se rebeller. Il aime la littérature et la philosophie, féru de Blaise Pascal et de Bergson. Il veut devenir écrivain. M. le Doyen dit de lui qu'il a un mauvais esprit parce qu'il pose des questions que personne ne lui a jamais posées. Alain ne fait pas de sport et a la force d'un poulet, il rougit quand il entend parler des filles. Enfin, bien que croyant, il exècre la religion que pratiquent ses proches mais ne se coupera jamais de la vie sacramentelle. Il aime jouer des tours à M. le Doyen lors de la confession lui faisant croire à toutes sortes de balivernes, notamment qu'il voue un culte profond à un arbre qui est son refuge et son confident. Il est un garçon différent des autres. Son meilleur ami est Simon Duberc, le fils du régisseur du domaine, séminariste, visant la prêtrise et que l'on appelle déjà l'abbé car il porte la soutane depuis ses quinze ans.
Précoce, Simon est suspecté d'avoir une relation avec la femme du maire, Madame Duport qui l'invite chez elle de façon répétée, et l'affaire alimente les conversations du voisinage. Attiré par les idées du maire M.Duport, Simon s'éloigne peu à peu du destin que lui avaient tracé ses parents de devenir prêtre. Alain est alors investi de la mission de ramener Simon dans le giron de l'église.
La mère d'Alain aime son fils, mais exerce sur lui une constante domination sans s'intéresser vraiment à lui car rien ne l'intéresse à part ses propriétés et l'héritage éternel, une manière de folie avec en point d'orgue la mort vaincue par l'héritage. Sa passion charnelle de la propriété se manifeste dans l'orgueil qu'elle a d'avoir des pins sur pieds, alors que beaucoup qui devraient être coupés, pourrissent et perdent de leur valeur.
Alain va souvent à Bordeaux et fréquente une librairie où il rencontre une femme dont il va tomber amoureux : c'est Marie, la commise de la boutique. Rapidement il la désire. Il lui parle mariage. Plus âgée qu'Alain de quelques années, elle a déjà un passé et surtout elle n'a pas de dot ce qui rend folle Madame, la mère d'Alain qui passe sa vie a compté les stères de bois et se confiner dans une attitude bien-pensante parfumée d'eau bénite. Madame n'aime pas la terre, elle aime la propriété, a le goût de la domination sur une vaste étendue. On va vite à la confrontation entre la mère et le fils. le père est décédé depuis de longues années.
Quand on s'appelle Gajac, on ne se commet pas avec une employée libraire. Madame a des vues pour son fils pour accroître le domaine : attendre la petite Jeannette seule héritière de l'immense domaine de Numa Séris, fillette qui n'a que dix ans et l'épouser pour se retrouver à la tête d'une forêt de pins doublée en surface. Madame veut que son fils connaisse le bonheur de régner et non celui de flirter avec une fille telle que Marie. Elle l'imagine déjà avec Jeannette et telle une vieille régente se voit tirer les ficelles dans le royaume de son fils. L'amour des corps, elle ne connaît pas, ne l'a pas connu, et elle immole déjà son fils pour la gloire de la famille.
Entre Alain et Marie, les choses se compliquent forcément, le jeu de Madame opérant son oeuvre destructrice. Et Alain d'avouer à Marie, qui d'ailleurs n'est pas intéressée pas ses propriétés et sa richesse, qu'il ne pourra jamais abandonner la terre de Maltaverne, ses arbres, son ruisseau, son ciel entre les cimes de pins, son odeur de résine et de marécage.
Alain a vingt deux ans à présent et sa relation avec Marie connaît des hauts et des bas, mais en tout état de cause Marie transforme l'ange - enfant en un homme lors d'une nuit de péché comme dit Alain, et pourtant une inoubliable nuit de grâce. Jusqu'au jour où Marie rencontre la mère d'Alain à l'insu de celui-ci…
Et puis les drames vont se succéder dans la vie d'Alain qui vont lui forger un véritable caractère d'homme.
Cette confession d'Alain s'adresse à un certain André Donzac, jeune séminariste progressiste demeurant à Paris, un ami de toujours et son mentor, le témoin de sa vie.
Extrait : « Les quelques chênes énormes et bas qui abritent notre cabane m'ont toujours rendu l'éternité sensible, m'ont toujours pénétré de cette sensation d'éphémère qui est la nôtre. Ce ne serait rien que d'être un roseau pensant, mais un moucheron pensant et qui, si peu d'instants qu'il ait à vivre, trouve tout de même le temps de s'accoupler. » Et Alain d'ajouter : « Voilà l'horrible ! »
Ce roman assez sombre, comme souvent chez cet écrivain, est le dernier écrit par François Mauriac. On est frappé par le charisme des personnages que l'auteur a su parfaitement décrire en mettant en lumière leur psychologie complexe. Un très beau roman au style parfait de sobriété et de précision.
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Le dernier roman publié de son vivant par François Mauriac, en 1969. L'histoire d'un jeune homme nanti, qui commence à l'âge de dix-sept ans et se termine à Paris, cinq années plus tard. Un roman de jeunesse ? Bien au contraire, celui d'un homme près de sa fin qui n'a plus rien à cacher de son initiation à la vie charnelle, de ses doutes mystiques, de ses inclinations.
« Moi le jeune homme triste, qui s'éloigna parce qu'il avait de grands biens ».
Quand on a visité Malagar, les lieux où François Mauriac vécut, le cadre et les meubles de sa mère que l'auteur ne modifia pas, on apprécie ce roman très personnel, si désuet et pourtant si actuel. C'est le moment où cet enfant chétif, mais sensible à l'extrême, préservé par la richesse, rompt avec son destin tout tracé et surtout, s'affranchit de la tutelle de sa mère omnipotente. Comme le jeune François, Alain Gajac n'a pas connu son père, comme lui, sa mère est une fervente croyante … Comme lui, il passe ses étés dans les Landes, au milieu des pins et au bord de la Hure, la rivière qui serpente entre les aulnes – ici, on dit les vergnes. Il y a le régisseur, qui connaît les limites des immenses propriétés, et ses fils, Prudent, l'aîné, et surtout Simon, qui a la particularité d'avoir six doigts à chaque main et autant à chaque pied. On le destine à la prêtrise. La mère d'Alain y veille, de concert avec le curé. Mai lui, doué à l'école, le souhaite-t-il ? Ne va-t-il pas céder aux sortilèges du maire franc-maçon qui le convainc de venir à Paris où son terrible accent va cependant le marginaliser au point qu'il envisagera le suicide ?
Pour le fils de famille, bientôt fils unique puisque son frère aîné meurt de phtisie galopante, la voie est toute tracée : il épousera Jeannette Séris, la fille de ce Numa dont les propriétés jouxtent celles des Gajac. Mais la petite fait horreur à Alain … Il la surnomme « le Pou » … La petite le sait et en souffre, car, et on ne le découvrira que trop tard, elle l'adore …
Le roman traite avant tout du Mal. de la manière dont un jeune homme le rencontre, le combat, le surmonte. Ce n'est pas tant la femme, cette Marie, une belle femme intelligente et cultivée, plus âgée que lui, et qui « a un passé », et lui fera connaître sa première expérience sexuelle, que la découverte du pharisianisme de sa mère, plus attachée à ses hectares qu'à l'amour de son fils. Et puis il y a le Mal absolu, ce viol et ce meurtre d'une petite fille effarouchée, qui hantera à jamais le jeune Alain.
Récit autobiographique ? Réflexions désabusées sur la foi d'un homme comblé d'honneurs près de sa fin ? le roman est bâti comme une suite de cahiers destinés à être lus par un ami très cher de l'auteur, un certain Donzac … Un message ? Une intrigue rapidement menée, avec des rebondissements constants qui vous laissent pantois, un grand roman d'un homme toujours aussi jeune qu'un adolescent d'autrefois qu'il fut et qu'il ose faire enfin parler.
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"Un adolescent d'autrefois" est un roman de François Mauriac, prix Nobel de Littérature 1952, écrit en 1969, un peu avant sa mort. C'est un roman et non une oeuvre autobiographique comme on pourrait le croire en lisant le titre, même si l'on retrouve des éléments communs à d'autres romans de l'auteur et qui ont un lien avec sa vie réelle (Bordeaux, l'envie d'écrire, la grande propriété familiale, la religion catholique...).

Le narrateur est un jeune homme de bonne famille, sous la coupe de sa mère, propriétaire de terres et de "Maltaverne, un domaine pas loin de Bordeaux, qui écrit à un ami les évènements de sa vie d'adolescent, entre ses 17 ans et ses 22 ans. J'ai beaucoup aimé ce roman, sauf la fin que j'ai trouvé inutilement rallongée par un horrible drame digne des faits divers d'aujourd'hui, bien que ce drame aide le narrateur à mieux comprendre sa mère et à s'en rapprocher.

Outre l'écriture qui est très soignée, j'ai particulièrement aimé la description de cette mère affectueusement tyrannique et les expressions de la foi catholique du jeune homme. En effet, plusieurs fois au cours du roman, François Mauriac laisse entendre sa propre compréhension de la foi, de la grâce de Dieu dans la vie d'un chrétien, à travers les propos et les réflexions d'Alain, le jeune héros du roman. Ainsi, Alain insiste sur la différence entre la pratique de la foi vide, pharisienne, et conventionnelle, des personnes de son entourage, à l'opposé de la « vie intérieure », de la grâce divine qui saisit les âmes et qui réside en elles.

« […] Peut-être n'aurais-je jamais su ce que je sais et qui est si incroyable que je n'en parle à personne parce qu'on me traiterait de présomptueux, ou d'idiot, ou de fou ; c'est que la parole : « le royaume de Dieu est au-dedans de vous » est vraie à la lettre, qu'il n'y a qu'à descendre au-dedans de nous pour y pénétrer. »

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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
- Comment le savez-vous?
Comment le savais-je? J'avais mis dans le mille, non pas tout à fait au hasard : ce Doumergue était venu inaugurer notre Comice Agricole l'année dernière et M. Duport lui avait présenté Simon.
- Je sais ce que le Seigneur veut que je sache. Mais écoute-moi bien : Dans le civil, vous aurez beau faire, vous serez plus ou moins utilisé par le parti, mais sauf un don de parole éclatant que vous n'avez pas, vous resterez un subalterne, vous ne déboucherez sur rien d'important, il vous manquera toujours...
J'hésitai : j'avais peur de le froisser. Les seuls mots qui me venaient, c'était l'expression dont maman usait toujours : "l'éducation première". Simon me devina.
- Eh! Bé! Oui! Je serai toujours un paysan, un cul-terreux, et en plus un ancien apprenti-curé.
- Ce n'est pas cela que je voulais dire, mais songe-y : la soutane change un homme, à la fois spirituellement et socialement. La soutane, c'est un changement de peau. Le bâton de maréchal dans la giberne du simple troufion, quelle blague! En revanche, le chapeau de cardinal suspendu dans le dos d'un petit séminariste intelligent, il existe, croyez-moi, et il dépend de vous de le décrocher. Oui, tout dépend de votre volonté et de votre intelligence. Ce qui ne vous empêcherait pas d'être un bon prêtre, fidèle à son devoir d'état, et même un saint prêtre. Les saints évêques ne manquent pas, ni même les saints cardinaux.
Quel trait de génie! Je sanctifiais la première place à laquelle Simon aspirait. (...)
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Je ne suis pas un garçon comme les autres. Si j'étais un garçon comme les autres, à dix-sept ans je chasserais avec Laurent, mon frère aîné, et Duberc, notre régisseur, et Simon Duberc son fils cadet qui est abbé et qui devrait, à cette heure-ci, assister aux vêpres, et Prudent Duberc, son frère, qui pousse Simon à tirer sa révérence au curé. Je pourrais me servir du calibre, au lieu de battre les buissons et de faire comme si j'étais chien, - au lieu de jouer à être chien.
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Après un silence, je me souviens d'avoir demandé à ma mère si elle ne se faisait pas scrupule de livrer cette misérable Jeannette à un mari tel que moi qui à coup sûr la fuirait. "Mais mon pauvre petit, heureusement pour elle! après qu'elle t'aura donné un fils, tu lui laisseras la paix et il lui restera l'orgueil d'avoir servi à créer ce domaine qui sera le plus important du Bazadais par l'étendue, par la qualité des terres, qui lui permettra, à cette petite Séris, d'agir pour le bien sur toute une population dépendant d'elle : le seul plaisir légitime qui soit accordé en ce monde à une femme de nos familles..."
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Je n'ai pas encore osé pousser jusqu'à Montmartre. Le quartier latin, sa faune m'est familière, j'y ai mes habitudes, mais Montmartre me fait peur. j'en entends parler souvent au Bar du Panthéon où on est entassé, où n'importe qui vous interpelle. Je réponds volontiers, n'étant personne. (p. 264 / Flammarion, 1969)
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Entre maman et moi, je ne me souviens pas qu'il y ait jamais rien eu d'autre que des jugements passe-partout, très souvent en patois, car ils servent aussi pour les métayers, pour les domestiques. Peut-être est-on séparé par l'âge ou par la différence sociale au point qu'il n'existe pas de langage commun... Mais j'ai observé que les métayers ne parlent pas non plus entre eux : quand ils se rencontrent, ils se demandent : As déjunat ? (As-tu déjeuné ?) L'important et même l'unique intérêt de la vie tient dans la nourriture qu'ils ont ou non mâchée de leurs gencives sans dents, comme s'ils ruminaient. Les êtres qui s'aiment, est-ce qu'ils se le disent ?
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