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Premier roman de cette grande auteure que fut Daphné du Maurier, "La chaîne d'amour" n'a, à première vue, rien de passionnant et pourtant il m'a passionnée, davantage que "Rebecca".

Ridiculement rebaptisé "L'amour dans l'âme", titre qui fera fuir tout lecteur que la romance rebute, "La chaîne d'amour" est un magnifique roman foisonnant qui retrace sur plus d'un siècle le parcours particulier d'une famille de Cornouailles, chaque génération étant liée à la suivante et à la précédente par un amour passionné de la mer et de la navigation. Si romance il y a, elle s'inscrit en filigrane et ne nuit pas au développement d'autres thèmes forts tels que la relation mère-enfant, la famille, la guerre, les traditions, les conflits de générations, la vengeance, le chemin initiatique et bien d'autres encore.

Avec un talent précoce et une plume déjà très affirmée, clairement inspirée de l'oeuvre de Thomas Hardy dans le traitement des descriptions et de la vie quotidienne, Daphné du Maurier brosse une chronique familiale pleine de justesse et de sentiment. Chaque personnage est fouillé dans ce drame en quatre actes. Avec la même délicatesse de touche que sa contemporaine Elizabeth Goudge, Daphné du Maurier dépeint l'Angleterre chère à son coeur, celle des landes et des côtes abruptes, celle de la campagne verdoyante et des horizons flamboyants, celle enfin des villages de pêcheurs et du Londres sale et malsain. Une Angleterre tour à tour dure et émouvante, qui prend vie à travers une narration très colorée, empreinte de la noirceur et de l'humour de Charles Dickens, le roi des conteurs.

On se laisse glisser entre les maillons de cette "Chaîne d'amour" avec langueur puis avec passion, laissant l'auteur nous emmener avec elle, là où elle le souhaite ; on se prend, chapitre après chapitre, d'une affection vive pour chaque acteur et d'un intérêt passionné pour leurs destinées.

Bien que ce premier roman ait reçu à sa publication un accueil "courtois", j'y ai personnellement trouvé ce que je recherche avant tout dans la littérature romanesque : un grand vent d'évasion.


Challenge PLUMES FÉMININES 2018
Challenge ABC 2018 - 2019
Challenge 1914/1989 - Edition 2018
Challenge PAVES 2018
Challenge PYRAMIDE
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Quand il me faut des jours pour lire un roman, c'est mauvais signe.
C'est exactement ce qui s'est passé pour ce livre, 1ere oeuvre de Mme du Maurier. J'avais lu « Rebecca », j'en avais gardé un souvenir ébloui, mais celui-ci m'a plutôt éteinte.

Bien sûr, le style de Daphné du Maurier est déjà là, il illumine les descriptions de la nature. le village de Plyn, pas loin de Plymouth en Cornouailles, dominé par la petite colline, couronné par les champs au-dessus desquels retentit à heures régulières la cloche de l'église, les ruelles descendant vers le port et le chantier naval, les petites maisons bien confortables, et la mer, gardienne de ces humbles gens...Cette description paradisiaque (trop paradisiaque ? ) d'une campagne enchantée par l'air de la mer s'oppose au Londres du 19e et du début du 20e siècle, noir, puant, hermétiquement clos sur lui-même et à la mentalité si obtuse. Descriptions joliment enlevées, mais par trop dichotomiques, me semble-t-il.

Aïe ! J'ai commencé à énoncer mes griefs, je vais devoir continuer.
L'histoire de la famille Coombe à travers 4 générations est dans la droite ligne de l'opposition ville-campagne. Je veux dire par là que les personnages sont soit gentils, soit méchants. Mais alors, bien méchants.
Ensuite ils ont TOUS une curieuse propension à préférer un de leurs enfants au détriment des autres. Et cet amour me parait tellement exagéré, tellement possessif, tellement quasi incestueux (je pense à l'un d'eux en particulier : le vilain Joseph qui adore sa mère Janet) qu'à la place d'être attendrie comme il se devrait, j'en suis dégoûtée. du désespoir, des larmes, de l'amour sirupeux à souhait... Il n'y a que la jeune fille de la quatrième génération qui échappe à cela , c'est qu'elle a du caractère, et elle me plait.
Et puis que de répétitions ! On le saura que Janet aimerait être indépendante et se lancer sur la mer, comme un homme, mais qu'elle sera clouée à terre, vouée aux tâches ménagères et à l'éducation de ses enfants ; on le saura qu'elle partage avec son enfant préféré, Joseph, son amour du large, et qu'elle l'aime, qu'elle adore... On le saura que Joseph est méchant, égoïste, dur avec tout le monde sauf avec sa mère. On le saura que Christopher, le fils de Joseph est un enfant mal-aimé par son père parce qu'il ne suivra pas le chemin tout tracé vers la mer. Il n'y a que Jennifer, mais ça je l'ai déjà dit, qui se détachera de cette chaine d'amour ( d'amour?) sirupeuse.

Bref, j'oublierai au plus vite ce premier roman qui par moments m'a bien plu, surtout par son style, surtout pas pour son choix de narration à la focalisation hasardeuse ni pour sa pointe de surnaturel tout à fait incongrue.
« La chaine d'amour » ne passera pas par moi !
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« La chaîne d'amour » ou « L'amour dans l'âme », qu'importe le titre pourvu qu'on ait le plaisir.
Et le plaisir, je l'ai eu ! J'ai tout aimé dans ce roman.
Je pensais avoir tout lu de Daphné du Maurier, jusqu'à la découverte de ce titre échappé à ma vigilance de lectrice assidue.
J'ai dévoré cette saga familiale qui nous emmène en Cornouailles dans le village de Plyn.
Le roman donne la parole à quatre personnages : Janet, une femme charismatique et sauvage qui rêve de prendre la mer, Joseph, son fils préféré, avec lequel elle forme un couple fusionnel, Christopher, le fils de ce dernier, étouffé par les espoirs démesurés que l'on place en lui et Jennifer, qui les rassemble tous un peu.
Chaque personnage a son caractère que l'auteure dissèque minutieusement, nous invitant dans leurs émotions les plus intimes.
Les paysages, les éléments déchainés de la côte sauvages complètent le tableau et font de ce livre un dépaysement total.


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1830, le matin de son mariage, Janet, le regard perdu vers la mer, s'interroge sur sa vie, la vie de ses enfants et petits enfants à venir avant qu'elle finisse par rejoindre le cimetière de Lanoc.

À un siècle de là, sur la même colline surplombant la mer, son arrière petite fille Jennifer pensera à ses parents, grands-parents et aux générations précédentes qui se sont également, un jour, tenus là. Ils ont tous constitué la chaîne générationnelle dont elle est issue.

Sur cette chaîne, quatre générations se succèdent dont l'auteure a extrait quatre maillons féminins ou masculins représentatifs des tumultes familiaux, des passions du large, des besoins d'indépendance et de l'amour porté à ce petit port des Cornouailles.

Janet est une jeune fille sauvage, aimant courir la colline, ses rêves s'égarant au-delà du port de Plyn, vers les flots qui satisferaient ses envies d'espace, d'échappées, d'immensité.
Elle se complait pourtant, pour un temps, dans son foyer, mais la chaleur et la paix de sa maison ne peuvent pas lui suffire durablement. du haut de sa colline, elle voit la liberté filer à chaque bateau qui quitte le port.
Ce sera donc à travers son second fils, Joseph, à qui elle transmettra son désir de navigation qu'elle assouvira ses rêves, ceux qui lui sont refusés de par sa nature de femme.

Lorsqu'on a déjà lu plusieurs livres de Daphné du Maurier, on ressent les petites imperfections de ce premier roman. L'écriture y est inégale même si cela n'entache pas l'agréable fluidité de lecture. On la sent plus à l'aise dans les descriptions qui bourdonnent des bruits de la mer, des bateaux, de la vie et des mouvements qui animent ce petit port de Plyn. On se laisse aisément emporter par le devenir du chantier naval des Coombe qui doit faire face à l'évolution du commerce et qui va souffrir d'un besoin de vengeance de l'un des fils de Janet dont l'animosité sera grandissante au fil des années.
Les relations humaines au sein des Coombe se répondent au fil des générations. Amorcé par Janet, le besoin obsessionnel de vouloir partager cet amour de la mer et de la navigation sera à l'origine de préférences bien trop marquées pour un seul des enfants dans chacune des familles qui se succéderont. Ainsi, j'ai trouvé bien trop ambiguë l'amour que porte Joseph à sa mère Janet et l'insistance sur cette relation m'a plutôt gênée dans la première partie. Cet attachement excessif découle sur un amour bien trop ardent qui aurait mérité d'être plus mesuré sans nuire au déroulement du roman.
Joseph ne s'intéressera aussi qu'à l'un de ses fils, reconnaissant en lui les yeux de sa mère. Peu sympathique, Joseph a pris femme uniquement pour échapper à sa solitude et trouver dans l'un de ses enfants la continuité de Janet. Son choix porté sur Christopher sera cependant malheureux car le métier de marin et la mer elle-même font rapidement horreur à cet élu qui n'aura qu'une envie, celle de quitter Plyn pour un plus bel avenir.

La puissance de l'appel de la mer dans les liens qui unissent Janet à Joseph, Joseph à Christopher et Christopher à Jennifer est l'atout majeur du roman et son exploitation est admirablement maîtrisée.
Aucun effort n'est nécessaire pour sentir l'attraction magnétique de cette mer alliée au puissant sentiment d'appartenance à ce petit coin des Cornouailles. Plyn et sa beauté tranquille, animé par la plainte perpétuelle des mouettes, sera perçu comme une nécessité, l'unique lieu où les vides et les inquiétudes laissent place à une paix rassérénante.
Emblème et actrice de cette chaîne familiale, la goélette «Janet Coombe » construite sur le chantier et faisant commerce de port en port, renfermera les souvenirs de toutes ces passions maritimes et humaines. Janet traversera ainsi le siècle, figée sur un morceau de bois artistement sculpté et peint, cette figure de proue qui, même sur l'épave continue de fixer ses descendants.
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*** Attention : GROS coup de coeur littéraire ***

Une fois n'est pas coutume, Daphné du Maurier a frappé fort avec cette sublime saga familiale.
Une fois de plus, elle m'a fait voyager, m'a emmenée en Cornouailles dans la famille Combes.

L'histoire commence en 1830 lorsque la terrible Janet épouse Thomas, un armateur de goélette. Janet, qui rêvait d'être un garçon car sa vie est la mer, les goélettes, les voyages sur des navires marchands ... Mais la voilà maman et notamment de Joseph qui lui livre un amour terrible et vice versa, à tel point que Janet délaisse son époux et ses autres enfants dont Philip qui aura un rôle clé jusqu'à la quatrième génération des Combes.

Cette saga familiale s'étend sur cent ans : de 1830 à 1930, quatre générations entre amour et trahisons.
Roman sublime en quatre parties on suit Janet, Joseph, Christopher et enfin Jennifer.


L'auteure réussi avec sa plume fluide et de grand maître a nous attacher à tous ces personnages qui forment La chaîne d'amour de la famille Combes. Merveilleux fil conducteur, ce lien très fort qui les unis sur cent ans d'histoire familiale où Daphné du Maurier aborde les thèmes chers à son écriture : la relation mère-enfant, la famille, la guerre, les conflits familiaux, la trahison et la vengeance, et bien sûr cette Angleterre si chère à son coeur.

Je pense aussi que l'auteure a dû essuyé des foudres et des critiques à l'époque de la sortie du roman, car les relations de Janet et Joseph (mère-fils) sont à la limite de l'inceste !!!

Cette histoire m'a profondément passionnée. Ayant déjà beaucoup aimé Rebecca et L'auberge de la Jamaïque, j'ai eu une nette préférence pour La chaîne d'amour.
J'ai réussi à embarquer sur la goélette "Janet Combes" sans en avoir le mal de mer, où le brouillard et l'humidité de la petite ville côtière de Plyn m'ont littéralement embrassée.

J'ai lu la version livre de poche de 1969, sous le titre La chaîne d'amour, titre bien plus explicite que L'amour dans l'âme.

Assurément, Daphné du Maurier est une valeur sûre afin de passer un excellent moment de lecture.

A découvrir ABSOLUMENT !
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Premier roman de Daphné du Maurier, on y trouve déjà l'essentiel de ce qui fait l'oeuvre de cette auteure exceptionnelle.
Dans le superbe cadre de la Cornouailles, on découvre Janet Coombe, qui rêve de mer et d'évasion et qui fonde avec son mari Thomas une famille dont l'auteure nous invite à suivre quatre personnages.
Correspondant chacun à une génération de la famille, on suit ainsi Janet, Joseph, son fils, Christopher, son petit-fils et, enfin, Jennifer qui revient marcher sur les traces de Janet.
Dans des paysages sauvages, on accompagne des personnes différentes, parfois indomptables, parfois consensuelles, mais dont le dénominateur commun est l'amour qu'ils portent à leur famille et à leur port d'attache, Plyn.
Janet est aux côtés de chacune des générations et, à travers la figure de proue qui la représente, elle promène son regard sur ses descendants à qui elle transmet sa force.
A la lecture de ce premier roman, on trouve entre les lignes les traits de ce que seront l'auberge de la Jamaïque, la maison sur le rivage ou la crique du Français.
Un roman remarquable où Daphné du Maurier excelle déjà dans le récit qui entretient un savant suspense.
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Je viens de finir ce premier roman de Daphne du Maurier, écrit alors qu'elle n'avait que 24 ans. Et je l'ai aimé.
C'est la chronique d'une famille de Cornouailles de 1830 à 1930, en quatre parties centrées chacunes sur une personnalité d'une génération, Janet, Joseph, Christopher, Jennifer.
Les Coombes sont une famille de constructeurs de bateaux dans un village de la côte de Cornouaille, apparemment imaginaire, que certains membres déserteront pour Londres pour y revenir avec bonheur.
La chaîne d'amour commence avec le mariage de Janet et Thomas. Janet vivante puis comme figure de proue planera sur toute sa nombreuse descendance. Cette jeune fille acceptant tout naturellement les évènements, souffre cependant de ne pouvoir comme un homme répondre à l'appel de la mer. C'est son fils préféré Joseph qui vivra pour elle cette union avec la mer et avec un bateau. J'ai cependant été mal à l'aise devant cet amour entre mère et fils, de nature quasi incestueuse, bien qu'il n'aient pas de relations sexuelles. Christopher lui commencera par déserter la mer. C'est avec sa fille, portrait vivant de Janet que se clôt cette saga qui prône le bonheur loin des bruits et des fumées de Londres.
La famille Coombe connaîtra des hauts et des bas dans leur village qui se mue au fil du temps en petite ville, certains disparaitront dans la première guerre mondiale.

Décidément je ne suis pour l'instant jamais déçue avec Daphné du Maurier.



Challenge ABC 2019-2020


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Grande fan de Daphné du Maurier, j'étais ravie de découvrir ici son premier roman. Ce n'est clairement pas le meilleur de ses livres, mais ceux qui comme moi sont attachés à cet auteur sauront lui pardonner ses quelques erreurs...
En tout cas, j'ai retrouvé cet attachement à la nature qu'aime l'auteur, l'odeur de la Cornouailles et des personnages finement ciselés...
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Daphné du Maurier nous dépeint avec subtilité et sur quatre générations les sentiments de ses personnages. Ces derniers ont parfois de drôles de réactions mais toutes trouvent leur explication dans l'importance de la filiation et le souhait de ne pas décevoir ses parents. Les quatre histoires ont un point commun : la mer, l'océan et la navigation. Cet élément est omniprésent dans l'esprit de chaque protagoniste et leur donne l'envie de revenir aux sources ainsi qu'à leur racine. Cette auteure possède un don exceptionnel pour décortiquer et nous décrire les états d'âme et les pensées torturées. L'ambiance générale peut être qualifiée de romantique voire gothique à certains moments. J'ai développé une espèce de fascination au fil de ma lecture et d'autant plus que l'auteure insère ici et là quelques éléments oniriques.

Il s'agit du premier roman de Daphné du Maurier (paru en 1931 sous le titre The Loving Spirit). Pourtant on sent déjà toute la puissance de sa plume ainsi que sa finesse. Chaque mot est pesé et choisi avec minutie. J'avoue avoir dévoré ce livre en un rien de temps. L'auteure a su me tenir en haleine et me donner envie de connaitre chaque histoire avec un intérêt égal. J'ai tout de même eu une préférence pour celle de Christopher qui m'a beaucoup touché. J'ai su comprendre ses choix et voir en lui quelqu'un de bien et de bon. de grands thèmes sont développés comme la relation mère/fils, le poids du passé, les relations familiales parfois houleuses, la recherche d'indépendance, l'affranchissement des règles sociales.

Voilà un roman qui m'a beaucoup plu. Cette fresque familiale mais aussi historique a su m'embarquer. La magnifique plume de Daphné du Maurier n'y est pas étrangère. Je suis franchement sous le charme. J'ai hâte de poursuivre ma découverte de l'oeuvre de Daphné du Maurier.
Lien : http://danslemanoirauxlivres..
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Grand coup de coeur. Une très belle saga familiale qui nous plonge dans une petite ville de Cornouailles en Angleterre, le paysage et l'ambiance sont si bien posés que l'on y est vraiment, sous les ruines de ce chateau sur la falaise, ces collines et ces vallées, face à ce petit port 1830 en contrebas, puis la mer, grise, à l'infini. Très belle fresque, mon époque favorite, et des personnages plus qu'intéressants, réels, attachants comme rarement dans un livre. Un lien entre eux, un fil conducteur, une logique. le style est aussi remarquable, un peu de fantastique, beaucoup de romantisme, de poésie, de réflexion, de psychologie, le rythme est parfait, du mystère tout au long, des réponses en leur temps, des secrets.

Je n'ai vraiment rien à redire de ce livre, aucune remarque, je suis étonnée qu'il ne soit pas plus connu que cela. Une belle découverte d'un bon auteur, je vais me pencher sur le reste de ses oeuvres.

le livre a été très bien pensé ; il se déroule tout simplement sur 100 ans, de 1830 à 1930, il est divisé en 4 parties, chacune centrée sur la vie d'un personnage de la famille : Janet Coombe, puis son fils Joseph, puis son petit fils Christopher, puis sa petite petite fille Jennifer. Une grande famille et sur un siècle, donc ça paraît difficile de tout caser de façon fluide et pas ennuyeuse, ici c'est parfaitement joué, une impression de simplicité étonnante, on est tout bonnement invité dans cette famille, avec, sur un siècle, un début, une fin, et une leçon de vie, le recommencement des générations au fil des époques. Magnifique histoire, presque un conte.......
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