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Peter May était un auteur que je voulais découvrir depuis longtemps. J'en avais entendu parlé à de très nombreuses reprises, ce qui avait pour effet de systématiquement titiller un peu plus ma curiosité, et par conséquent accentuer mon envie.

En fin d'année dernière, lors de mon inscription au Challenge Pavés 2023, c'est tout naturellement que j'ai sorti de ma PAL « La Trilogie écossaise », regroupant « L'île des chasseurs d'oiseaux », « L'Homme de Lewis » et « Le Braconnier du lac perdu », et programmé sa lecture pour ce premier mois de 2023.
Personnellement, bien débuter l'année est toujours important ! Mais j'étais loin de m'imaginer ce qui va suivre...

Que dire de cette belle « Brique » si ce n'est WAAOOUUHH ! En me frottant la joue... Quelle claque ! En refermant ce roman pour la dernière fois, et après cette immersion Ecossaise, je me retrouve assis confortablement dans mon salon, tout ébouriffé, trempé par les pluies, à me réchauffer au coin de ma cheminée en savourant un très, très, bon whisky légèrement tourbé..

Tout commence lorsque suite au décès tragique de son fils, l'inspecteur Finlay McLeod « Fin » se retrouve convoqué par Black, son supérieur hiérarchique. Au plus profond de lui, il sait qu'une reprise rapide de sa vie professionnelle ne peut que lui être salutaire.
Sur l'île de Lewis, située dans l'archipel des Hébrides, à l'extrême nord-ouest de l'Ecosse, dans son île natale, un meurtre à été commis. Choses surprenantes, tous les indices laisse à penser à un même mode opératoire, un copier collé, d'un crime commis à Edimbourg et sur lequel Fin à enquêté. Tout semble le désigner d'office pour remplir cette mission. Mais seulement voilà ! Fin est-il prêt ? Prêt à renouer avec son passé au risque d'ouvrir sa boîte de pandore ? Loin de s'imaginer ce qu'il va découvrir, Fin accepte... et la souffrance sera au rendez-vous...

Avec « La Trilogie écossaise », Peter May nous plonge avec beaucoup de maîtrise, dans l'histoire personnelle de son enquêteur Fin McLeod. Un récit, construit très intelligemment, fluide, dans lequel on se laisse porter par le rythme. Tout au long de cet aventure, Fin, un personnage émouvant, captivant, vrai, prisonnier de son passé, va tenté de se construire un futur.
L'auteur nous invite au voyage. Il dépeint avec beaucoup de poésie, une Ecosse mystérieuse, majestueuse et sauvage à la fois. Âpre, voire inhospitalière à certains moments. Ce pays de landes où les tourbières sont battues par les vents. Où les pluies tombent à l'horizontal. Où les rites ancestraux et l'influence gaélique règnent en maître. Peter May nous livre toute la puissance et la dureté de cette nature hostile. Il ne me reste plus qu'à fermer les yeux quelques secondes, prendre une profonde inspiration, pour sentir la tourbe...
Les insulaires y sont durs au travail, parfois injustes, cruels, parfois même violents, mais malgré tout terriblement bouleversants et attachants. Rongés par leur passé, chacun d'entre eux est à la recherche d'une délivrance qui n'espère plus.
Pages près pages, Peter May nous embarque dans une ambiance envoûtante. Les nombreux flash-back permettent d'apporter de la matière à l'intrigue. Nous font revivre en sépia certains faits du passé, qui conduiront notre enquêteur au dénouement final.

« La Trilogie écossaise » est un roman noir, dépaysant, passionnant, que l'on ne lâche jamais.
Assurément un chef-d'oeuvre mais surtout un Gros coup de Coeur !

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Couvrez-vous bien, le vent fouette le visage et il pleut souvent sur l'île de Lewis, au large de l'Ecosse. Mais que c'est beau ! Le séjour ne sera pas de tout repos mais les trois romans de cette trilogie bien ficelée se lisent d'une traite, avec un plaisir infini. Le lecteur découvre les traditions, le poids de la religion, des pans d'histoire méconnus et douloureux de l'île de Lewis, des vies rudes aux lourds secrets. L'odeur de la tourbe pour chauffer les maisons vient vous chatouiller le nez...
Contraint par sa hiérarchie, l'inspecteur Fin McLeodest revient sur son île natale pour les besoins d'une enquête alors qu'il vient de perdre son petit garçon de manière tragique. C'est un homme particulièrement attachant, cabossé par la vie et chaque enquête permet de lever le voile sur son propre passé, assez sombre. On suit de nombreux personnages dans l'entourage de l'inspecteur, sans caricatures, l'écriture de Peter May est fluide, elle tient le lecteur en haleine jusqu'au bout.

Il n'y a pas de suite, c'est vraiment dommage !

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Comme dans tout bon roman policier qui se respecte, Finley Mcleod, inspecteur principal, enquête surtout sur lui-même. Et nous voici à la place, sinon du psy, du moins du voisin indiscret embusqué de l'autre côté du mur. Finley remonte dans son enfance et l'auteur, qui vit dans le Lot, doit suffisamment connaître le français pour ne pas avoir choisi son surnom par hasard. Fin, donc, tente de retrouver le début de la pelote et tire les fils de ses erreurs. Orphelin et privé d'amour, il survit à son enfance fracassée grâce à ses amis: Donald, Artair, Marsaili, Whistler, Roddy, Kenny... Mais, tout au long de la trilogie, le retour aux origines ne fait surgir le passé que pour l'effacer. Tout le monde trompe tout le monde. Et Mcleod, à rechercher la vérité, provoque les drames ou du moins s'avère incapable de protéger ceux dont il dévoile les secrets. le tout est addictif comme « 10 petits nègres » déboulant dans « Star Wars ». Comme chez Agatha Christie, l'île oblige à considérer que le monstre est un proche; et comme chez Lucas, nous devons bien nous faire à l'idée que le coupable a d'abord été un de ces enfants mutins, un de ces adolescents fougueux dont la mémoire de Finn égrène les mésaventures. Oui, oui, parmi tous ceux-là qui nous émeuvent se cache Darth Vador.
Bon, d'avoir avalé les trois livres à la suite ne m'a pas permis d'occulter quelques maladresses, surtout dans le dernier volume où deux paragraphes copiés-collés des tomes précédents n'avaient pas eu le temps de s'effacer de ma mémoire. J'aurais également apprécié que le prénom Marsaili ne soit pas systématiquement suivi des mêmes lignes geignardes sur son amour d'enfance tellement maltraité ou que « un désir profond et douloureux au creux des reins » ne soit pas la seule métaphore utilisée encore et encore à chaque fois que Macleod a envie de s'envoyer en l'air.
Mais sinon c'est vraiment très bien, et c'est presque une lecture ô gué l'an (dix) neuf, puisque Peter May nous invite à regarder résolument devant nous au lieu de nous retourner sur un passé prompt à décevoir.
Bonnes résolutions à tous, donc.
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Une trilogie qui vous immerge dans un petit bout d'Écosse, fouettée par les vents, où la vie est aussi difficile que la nature peut être belle.

Peter May émaille ces romans de très riches descriptions de cette nature sauvage qui tient le premier rôle, forge les hommes autant que les paysages.

Les amateurs de polar peuvent ne pas y trouver tout à fait leur compte. L'enquêteur Fin MacLeod, de retour dans sa région natale, n'agit pas tant comme un policier (qu'il n'est plus) que comme un citoyen concerné et compétent. Les intrigues de ces romans le ramène régulièrement à son propre passé et à celui de la communauté.

Le rythme est posé, l'écriture belle, les descriptions nombreuses mais jamais lassantes. C'est indéniablement une belle trilogie qui transcende le genre du polar et fraye avec une littérature blanche de bon aloi.
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Je viens de passer 10 jours sur l'île de Lewis en compagnie de Fin McLeod. C'est son île natale et j'y ai découvert des paysages, un climat, des gens formidables. Avec cette trilogie j'ai appris à connaître Fin au travers de son enfance, de ses amis.

Dans le premier tome, Fin vient de perdre son fils dans un accident tragique, il est envoyé sur l'île après dix-huit ans d'absence, il est inspecteur et doit enquêter sur le meurtre ayant des similitudes avec celui d'Édimbourg. C'est aussi le point de départ pour qu'il nous raconte son enfance, sa vie à Lewis, son premier amour Marsaili, son ami d'enfance Artair, sans oublier Donald devenu révérend, les coutumes de l'île, et surtout une découverte, révélation qui changera le cours de sa vie, laquelle ? Pour la découvrir il vous faut lire ce livre.

Second tome, Fin a quitté la police. Il revient vivre sur l'île afin de pouvoir retrouver un sens à sa vie. Dès son retour on découvre le cadavre d'un jeune homme conservé dans la tourbière, d'après les tests d'ADN le cadavre à un lien de parenté avec Tormod le père de Marsaili. Dans ce tome nous découvrons l'enfance de Tormod, l'orphelinat, le placement des enfants dans les fermes pour y travailler et l'enquête que mène Fin avant l'arrivée de la police d'Édimbourg. C'est toujours aussi captivant, intelligent, émouvant.

Dernier tome, dernière enquête de Fin, il est devenu garde forestier, il doit éliminer les braconniers. Il retrouve un ami d'enfance Whistler, tous deux vont découvrir un homme assassiné dans son avion au fond d'un loch. C'est l'occasion de fait un petit retour dans l'adolescence de Fin et Whistler lors de la formation d'un groupe de musique celtique. Peter May sait tenir son lecteur en haleine jusqu'à la dernière page, toujours avec beaucoup d'humanité.

Un très bon moment de lecture, une belle trilogie à découvrir !
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La trilogie écossaise de Peter May est un énorme coup de coeur.

Je l'ai découverte grâce aux conseils d'une collègue au moment des cadeaux de Noël. Après avoir offert l'intégralité de l'oeuvre, j'ai eu la chance de l'avoir entre les mains et de dévorer les 3 tomes avec une énergie déconcertante !

Que c'est bon d'être en totale immersion dès les premières lignes et de ne plus pouvoir lâcher son livre ...

L'histoire est passionnante, plongée dans la brume et le froid d'une île écossaise, j'apprends avec délectation les us et coutumes. Je m'emerveille, je suis choquée parfois, car je voyage au fil des pages, loin de mon canapé et de mon confort.

L'énigme, car une enquête est ouverte, celle d'une famille et d'un destin, est juste insatiablement prenante et j'en demande encore... Je suis satisfaite au plus haut point de ma lecture mais c'est déjà fini !

Je ferme cette trilogie en me disant que le même auteur a écrit plusieurs tomes sur la Chine qui font partie de ma liste à lire. Et ça c'est drôlement chouette .

Peter May, au plaisir de vous relire bientôt !

Lu en mai 2016.
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J'attendais mes vacances pour lire ce gros pavé de 1024 pages. Quelle bonne idée, j'étais en Irlande et même si ce n'est pas l'Ecosse, l'endroit était rêvé et apportait une autre dimension à cette lecture magnifique. Beaucoup de similitudes ; les tourbières et la fumée de tourbe, les anciens habitats et traditions ancestrales, le gaélique. J'ai d'ailleurs ramené un petit souvenir littéraire "L'homme des îles" de Tomas O'Croan.

Mais je vous emmène sans tarder au Nord de l'Ecosse, dans les Hébrides extérieures, sur la petite île de Lewis. Une trilogie magnifique dont chaque volet fut d'ailleurs primé. le fil conducteur en est Fin Mc Leod.

L'île des chasseurs d'oiseaux

Fin Mc Leod est à un tournant de sa vie. Il vient de perdre son fils Robbie et de se séparer de son épouse Mona. Il est flic. On lui demande de reprendre le boulot et de se rendre dans l'île de son enfance où Ange Macristie - frère d'un copain d'enfance - a été retrouvé assassiné. le modus operandi est le même que dans une autre affaire dont il avait la charge.

Il arrive à Crobbost, son village natal, pour mener l'enquête, dix-huit années après l'avoir quitté. Petit à petit il retrouvera les traces de son enfance et des souvenirs enfouis et ses amis Artair, Donald mais aussi Marsaili son premier amour.

Petit à petit au fil de l'enquête, sa mémoire reviendra. Dépaysement garanti, magnifiques descriptions de l'île. On découvrira également les traditions ancestrales et le voyage annuel sur le rocher d'Ang Seir. Chaque année les hommes s'y rendent quinze jours pour chasser le guja recherché pour sa chair tendre et jeune.

Mais que s'est-il passé sur cette île ? Quel est donc le rapport avec avec la mort cruelle d'Ange Macristie ?

Un récit passionnant nous décrivant la vie et les traditions des habitants, les paysages à vous couper le souffle mais aussi un récit rempli d'humanité, décrivant la psychologie de l'être humain. Un coup de maître, précis et bien documenté.


L'homme de Lewis

Second volet, sans conteste mon préféré. Fin a démissionné de la police et a décidé de revenir s'installer sur l'île de Lewis en restaurant la maison de son enfance.

Un corps momifié est découvert enterré dans les tourbières. Il s'agit d'un meurtre remontant à plus de cinquante ans. Il y a un lien avec Tormod, le père de Marsaili, c'est une certitude, l'ADN ne ment jamais.

Tormod Mc Leod parle à la première personne pour évoquer ses souvenirs, il se souvient de sa jeunesse, des parents, de l'orphelinat... mais tout devient flou, Alzeihmer s'empare peu à peu de son esprit.

Voyage au tréfonds de la mémoire, mais qui est donc Tormod ? Très vite on verra qu'il n'est pas celui que l'on croit.

Une fois encore, Peter May nous envoûte par ce superbe roman. Son écriture est magnifique et précise. Ses personnages sont attachants, émouvants. Un récit passionnant mais comment Fin démêlera-t-il ce sac de noeuds et aidera-t-il Tormod à remonter le temps et la mémoire ?

Une fois encore, un pan de l'histoire bien documenté comme trame de fonds : le rôle de l'église, les orphelinats, l'existence des "homers" .... je n'en dis pas plus pour ne pas déflorer le sujet

Le braconnier du lac perdu

Dans ce dernier volet, Fin est engagé pour lutter contre le braconnage devenu trop important dans l'île et menaçant son équilibre. Il retrouve un ancien camarade de classe Whistler.
Suite à une poussée de tourbière, un loch disparaît laissant place à un hélicoptère, celui de Roddy Mackenzie disparu dix-sept ans plus tôt. A son bord un corps en mauvais état, il s'agit bien d'un meurtre..

Replongeons dans l'adolescence de Fin à l'époque où un groupe d'amis a formé un groupe de rock folk celtique devenu célèbre : Solas. Roddy et Whistler en faisaient partie, Fin les a accompagnés à l'époque.

Comme toujours chez Peter May, un point de départ historique bien documenté, cette fois le naufrage de l'Iolaire et de ses survivants.

Conclusion

Trois récits magnifiques qui vous emmènent dans les Hébrides extérieures. Des paysages superbes, des personnages attachants liés aux traditions ancestrales dépeintes avec brio et une plume splendide. Trois polars atypiques car les ingrédients du polar sont bien présents, mais aussi et avant tout trois romans magnifiques formant un ensemble bien agréable à lire. Merci aux éditions Rouergue d'avoir publié en français d'abord cette trilogie avant qu'elle n'ait ce succès mondial.


Un joli coup de coeur de l'été.
Lien : http://nathavh49.blogspot.be..
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Peter May était surtout connu pour une série de romans policiers se déroulant en Chine. Cette série chinoise, je ne l'ai pas lue, mais j'ai dévoré tous ses autres livres, toujours avec bonheur.

Dans la Trilogie de Lewis, il s'agit d'une enquête, certes, ou, plus exactement, de trois enquêtes. Mais il s'agit d'abord et avant tout d'une quête, la quête existentielle d'un être humain qui, pour survivre au drame qu'il traverse, n'a pas d'autre choix que de faire face aux fantômes de son passé. Magnifiquement écrit, on ressent jusque dans sa chair l'ambiance de cette île de l'archipel des Hébrides extérieures.

Il y a de la dureté, mais aussi beaucoup d'humanité. Il y a toute la violence de l'enfance, que nous n'avons pas toujours su gérer, et qui revient nous tirer par les pieds. Il y a la déception des histoires (amour, amitié) que l'on n'a pas su mener à bien. Il y a tout ce que l'on a essayé d'enterrer sous le tapis mais qui resurgit.

C'est exactement le type de livres qui compte, pour moi. Et qui ferait partie du voyage si je devais partir sur une île déserte… et pas uniquement si celle-ci se situait au large de l'Ecosse !
Lien : https://ogrimoire.wordpress...
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Coup de coeur, audace ou instinct, le Rouergue Noir a eu le nez fin en éditant ce polar refusé par ses confrères britanniques. Et c'est à cet éditeur français que nous devons ces 1 000 pages de promenade écossaise, sur l'Île Lewis, la plus septentrionale des îles Hébrides, dernier bastion de la langue gaëlique, tout là-bas à l'ouest de l'ouest, à un pas de vague des Amériques.
L'Île des chasseurs d'oiseaux, L'homme de Lewis et le braconnier du lac perdu, trois mystères très britanniques, trois romans qui se lisent d'une traite portés qu'ils sont par des personnages attachants, sur cette terre si proche et si différente.

Le Peter May écrivain qui nous a conquis avec son cycle de polars chinois, avait dans les années 90 passé cinq années de tournage d'une série en gaëlique sur ces terres de tempêtes et de solitude. Il en tirera l'inspiration pour le premier volet, L'Île des chasseurs d'oiseaux. Sur l'impulsion de son éditeur il développa les personnages au long des trois ouvrages qui collectionnèrent prix et louanges et fut vendu à 1 million d'exemplaires outre-manche.

A l'occasion d'un enquête, L'inspecteur Finlay retourne sur la terre de son enfance, cette terre de tourbières, aux jours de soleil inattendus, aux orages soudains, aux églises moyenâgeuses, fragmentées et dominatrices, à la domination anglaise et à la mère sauvage battant les plus vieux rochers du monde.

De belles soirées de lecture pour les amateurs de policier et de promenades immobiles.
Si vous aimez les polars qui claquent, de ces tourne-page au rythme endiablé comme Grangé ou Lemaitre, passez votre chemin. 
Chez Peter May, l'on prend son temps. L'intrigue est prétexte au voyage.



Le Rouergue noir, 2014. Les romans parus séparément en 2009, 11 et 12 sous les titres originaux The blackhouse, The lewis man, The chessmen. 1 000 pages, 27€ seulement ! La somme ne paiera pas le taxi jusqu'à Roissy CDG !

Lien : http://quidhodieagisti.over-..
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Je ne suis pas une adepte des policiers, mais je suis conquise par cette trilogie. C'est assez sombre, de part l'ambiance de l'île de Lewis et des îles autour: le vent, la pluie, les gens..... de grandes et longues descriptions émaillent les romans qui permettent presque de se sentir sur l'île avec Fin. Les intrigues sont elles aussi passionnantes. Si quelqu'un a lu d'autres titres de Peter May et peut me conseiller, je suis preneuse.

Belle découverte.
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