Squeeze, n°8 : Coin coin le vilain petit canard

Il m'est horrible de devoir écrire une critique à propos d'un projet auquel j'ai participé, mais que voulez-vous, c'est là le lot de l'écrivain underground, plus la loi du marché. Personne ne s'en occupera si je ne le fais pas. Comme le disent les proverbes, " on est jamais mieux servi que part soi-même", ou "on ne fait pas d'omelette... ", ou " malin n'a qu'un oeil ", et " à malin, malin et demi", et cetera - mais je pourrais aussi vous citer deux bonnes raisons à cette entreprise :
La première, il s'agit d'une nouvelle dont je suis fier, chose rarissime sur les formats courts.
La seconde, ce recueil en format numérique est gratuit, soit sur Amazon, si vous possédez un compte, soit sur le serveur de l'éditeur, vous trouverez le lien en dessous.

Concernant mon travail au sein de cette revue, vous pourrez découvrir ma nouvelle, dont voici le résumé : un type vouant un culte aux costumes Valentino et une haine féroce au philosophe Alain Badiou voit sa vie illuminée le jour où il rencontre Casimir, de l'île aux enfants ! Son but est désormais simple, remettre "dedans" la télévision le plus gentil dinosaure de la Terre afin qu'il puisse sauver tous les enfants du Monde. Problème, Casimir se nomme en réalité Kasimir, et peut-être que ce nouvel ami n'est pas un gentil dinosaure jaune, mais un Russe, toxicomane, vétéran de la guerre de Tchétchénie, en préparation d'un braquage.
Avertissement : ce texte contient un haut niveau de violence extrême, et je l'espère, un peu d'humour et de tendresse aussi.
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