Lorsque le capitaine Worfield reçoit une lettre de son ami Manuel de Favia lui demandant de l'aider à capturer le plus bel étalon sauvage jamais vu dans la région, il n'imaginait pas un seul instant être entraîné dans d'époustouflantes aventures...
J'ai cru retomber en enfance et cela fait du bien. Un rythme soutenu qui entraîne d'un trait du début à la fin du roman.
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Lorsque mes yeux tombèrent sur le monstre, il venait de sortir du gouffre, et c'étaient ses traces que j'avais remarquées en escaladant la paroi.
Arrivé dans la prairie, l'ours fit quelques pas en avant pour s'arrêter, se dressant sur ses pattes de derrière et aspira fortement l'air en poussant un rugissement.
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