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Ayant lu "La vallée du lotus rose ", j'ai choisi de lire dans la foulée "La cité du lotus rose ", curieuse de connaître la suite du parcours de Jezebel, jeune aristocrate britannique partie aux Indes rencontrer son tuteur qui a, sans la concerter il va sans dire, décidé de la marier. Je dois reconnaitre que n'étant pas très habituée aux sagas, je craignais de voir s'essouffler le récit, mais il n'en fut rien. L'auteure a su maintenir le rythme, éveiller ma curosité, et face à une telle imagination, je ne peux qu'être admirative. Cependant, je lui reprocherai ce que dans mon billet sur "la vallée du lotus rose " je lui reprochais déjà, à savoir les descriptions récurrentes et beaucoup trop longues pour mon goût. Pour cette seule raison je n'envisage pas de la lire de nouveau, car je trouve que c'est vraiment lassant. De surcroit, à cette multitude de descriptions est venue s'ajouter les ébats de Jan et de Jezebel, évoqués sans grossièreté certes, mais bien plus souvent qu'il ne le fallait pour que le lecteur comprenne que se retrouver dans les bras l'un de l'autre n'était pour eux que bonheur et plaisir. Je voudrais ajouter à ce propos, qu'en ce qui concerne les scènes de sexe, Kate Mc Alistair devrait s'en tenir à cette limite, car il suffirait de très peu pour qu'elle franchisse la ligne rouge, la mienne, en tout cas.
L'auteure s'est sentie tenue de rappeler certains faits, probablement à l'adresse des lecteurs n'ayant pas lu le premier tome, chose que j'ai trouvée non seulement ennuyeuse, mais pas nécessaire, car lorsqu'on lit une saga, il me semble qu'on est censé commencer par le premier tome. Si bien que, au passage, j'ai eu droit pour une deuxième fois ! à la description du bureau de monsieur le baron, et ce, avec force détails :( ... La fin de cet opus m'a un peu déçue, non parceque le lecteur pouvait facilement la prévoir, mais parceque je n'ai pas apprécié cette immersion dans un contexte que j'ai ressenti comme onirique.
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1921, Jan retrouve Jezebel à Singapour. Elle s'est réfugiée dans une mission religieuse, avec sa fille, afin de fuir le Baron. Les sentiments des deux amoureux n'ont pas faibli et ils se marient. Pour mettre sa famille à l'abri, le jeune marié organise leur départ pour New-York.


Après un tumultueux voyage pendant lequel Jan doit, une fois encore, utiliser la ruse pour échapper à leur ennemi, une nouvelle vie commence. Mais un jour, l'Inde les rappelle…


J'ai beaucoup aimé l'évolution de Jezebel. Elle a gardé son caractère affirmé, ses rivales peuvent en témoigner, mais elle a également gagné de la maturité. Les épreuves l'ont fait grandir. Elle est une amoureuse passionnée, mais elle est mère avant tout. Toutes ses décisions sont prises en fonction du bien-être de son enfant et lorsque sa fille est en danger, elle est prête à tout. Jan, quant à lui, est devenu plus raisonnable. Je pourrais tomber amoureuse de lui, tant il m'a séduite. Malheureusement, je ne suis pas la seule à succomber à son charme…


Hélas, les femmes attirées par son mari ne sont pas le plus gros souci de Jezebel. le baron est déterminé à faire respecter le contrat de fiançailles pour servir ses propres intérêts. Après avoir fui la Malaisie, la Turquie, le couple se croyait en sécurité en Amérique. Or, leur ennemi est prêt à tout pour découvrir la cité perdue. Cet homme abominable m'a, une fois encore, horrifiée. Par sa faute, Jezebel vit des aventures horribles : le danger vient autant de la nature que des hommes, surtout quand ils sont des proches du baron.


La Cité du Lotus rose est une suite digne de la vallée du Lotus rose. Ce livre comporte 580 pages et pas une n'est de trop. Kate McAlistair ...


La suite sur mon blog
Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Après un tome à se courir après, Jezebel et Jan se sont enfin trouvé. Désormais rien ne s'oppose plus à leur bonheur, à part peut-être le passé et le terrible baron van Rosenheim qui menace de resurgir.

Je pensais qu'on pouvait difficilement faire plus niais et pleurnichard que le premier tome (que j'avais déjà trouvé bien gnan gnan), je me trompais. Je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà lu une héroïne aussi tête à claques, qui pleure à (presque) tous les chapitres (6 fois rien que sur les 40 premières pages (et autant de soupirs d'agacement de ma part), j'ai perdu le compte après), capricieuse, jalouse, imbuvable! Et que dire de son Jan avec ses roucoulades et ses surnoms débiles. Les dialogues sont digne d'un très très mauvais soap et tout se règle à l'horizontal entre ses deux là. Triste? Partie de jambes en l'air, en colère? Partie de jambes en l'air, heureux? Bon bah tout le monde au lit! le couple est d'ailleurs un as du plumard avec des passages parfois limites pour ce type de romance. Et je vous passe les descriptions à n'en plus finir du corps de chacun. C'est bon, on a compris que vous étiez tous les deux gaulés comme des mannequins pour lingerie. Ça m'as vraiment gonflée et je me demande comment j'ai réussi à aller au bout des 700 pages. C'est marrant au début mais ça devient vite lassant surtout quand le reste de l'intrigue est inexistante et que ça ne bouge que dans les 100 dernières pages, que j'ai survolé tant j'en avais marre.
Hors de question que je lise la suite.
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La Cité du Lotus rose est une flamboyante suite de la Vallée du Lotus rose de Kate McAlistair. Dans ce second tome, nous retrouvons Jezabel qui a maintenant 20 ans en 1921 et élève seule dans une mission sa fille de un an, fruit de sa liaison passée avec Charu, fils décédé du Maharaja de Mahavir. Jezabel retrouve Jan Lukas pour qui elle éprouve toujours une passion, partagée, mais dont l'attitude désinvolte et orgueilleuse l'horripile toujours autant surtout quant à sa fiabilité et son sérieux maintenant qu'elle est mère. Elle se laissera toutefois convaincre de l'épouser et se réjouira de son choix en connaissant enfin le bonheur. Cependant, rapidement ils vont devoir fuir Singapour pour New-York afin d'échapper une fois de plus au baron von Rosenheim auquel son tuteur, son parrain aujourd'hui décédé, l'avait déjà fiancé sous contrat.
Cette suite mêle avec brio voyages et aventures car les escales avant d'arriver à New-York mènent à de nouvelles découvertes au sujet du médaillon Sher-Cita suscitant une fois de plus bien des convoitises. le passé et l'Inde rattraperont à nouveau Jezabel.
La Cité du Lotus rose est un formidable second tome digne du premier de la trilogie du Lotus rose. Les héros forment un très beau couple, sensuel et glamour comme on peut se le représenter au cinéma. de plus, la famille qu'il forme avec la petite Rose-Leela est des plus exotiques puisque son père, Charu, était un prince indien, fils du Maharaja. C'est un vrai roman d'évasion aux multiples couleurs et magnifiques paysages entre passion, suspense, aventure et exotisme.
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J'ai retrouvé la suite des aventures de Jezebel avec grand plaisir. Elle est toujours aussi passionnée, déterminée et courageuse.
Elle vit sous la protection des soeurs du Couvent Saint-Vaillant à Singapour avec sa fille Mary Leela. Elle est une infirmière dévouée et appréciée de tous à l'hôpital.

C'est là que Jan Lukas la retrouve. La passion entre eux se ravive au premier regard.
Jan et Jezebel se marient et Jan adopte la petite Mary.
Mais la famille de Charu, père de Mary estime avoir un droit légitime sur l'enfant et son grand-père veut absolument faire partie de sa vie, ce que Jezebel. de plus, la publicité faite autour du mariage de Jan et Jezebel met de nouveau le Baron von Rosenheim sur leur trace. Jan décide de mettre sa famille à l'abri et ils partent s'installer aux Etas-Unis. Mais là aussi le danger rôde.

Le Maharaja de Mahavir insiste toujours pour que Mary Leela lui soit présentée, Jezebel fini par céder à sa requête. Ils partent pour l'Inde dans un voyage de tous les dangers.

Un second tome très addictif, le suspense est présent et tient le lecteur en haleine. Jezebel vit des grands bonheurs mais on sent que le danger n'est jamais loin, qu'il guette.
J'ai hâte de découvrir le troisième tome de cette saga.
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Je me suis plongée dans le tome 2 : la Cité du Lotus rose de Kate Mc Alistair en faisant une coupure de mes lectures habituelles. Quel plaisir de retrouver Jézebel et ses amis. Obsédé par celle-ci et la Cité perdue, le baron traque toujours notre héroïne. Que rebondissement dans ce nouveau volume, où je ne suis pas ennuyée une seule seconde. Kate Mac Alistair sait faire évoluer l'amour entre 2 personnages ainsi que mettre du piment dans l'histoire : mystère, kidnapping, meurtres…
On s'aventure de plus en plus dans l'Inde profonde avec des anciennes civilisations où l'auteure nous fait partager sa culture d'adoption J'ai hâte de retrouver la suite et fin de cette magnifique saga exotique.
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Après La Vallée du Lotus rose, j'avais hâte de retrouver Jezebel, de savoir si elle allait enfin accepter Jan, et de voir grandir la petite Mary-Leela.

Soyons honnête, je trouve l'héroïne toujours aussi horripilante par moments. Mais je n'ai quand même pas lâché le roman.



L'écriture est parfois un peu surprenante, mais c'est toujours aussi prenant.

J'ai souhaité le lire dès la fin du tome un car j'étais impatiente de connaître la suite des aventures de la jeune lady, et je n'ai pas regretté, même si dans une partie de ce tome, les récits de leurs ébats répétés sont parfois un peu lassants.



Jezebel est toujours étonnante : à la fois forte et déterminée, et souvent mère courage, et en même temps parfois on sent la toute jeune fille qu'elle est encore : elle est terrifiée, (à juste titre) à l'idée d'être retrouvée par le baron, mais quand Jan lui donne l'occasion de fuir discrètement, elle gnognotte sans cesse, elle préférait un bateau luxueux, on ne lui demande pas son avis, etc ...



Encore beaucoup d'aventures dans ce volume, qui change bien du premier. Avec notamment un passage aux USA, toujours mouvementé même si c'est différent.

Et la fin se déroule dans un environnement étonnant, rien à voir avec les lieux précédents.

J'ai cependant regretté que cette fin soit un peu rapide, en laissant en suspens quelques problèmes importants.

Est-ce que ça signifie que nous suivront encore Jezebel dans la suite de ses aventures ?

(Oups, mon habitude de ne pas lire les 4e de couv' : c'est bien présenté comme une trilogie, je comprends mieux la fin)



Au final, si ce n'est pas LE coup de coeur de l'année, un roman qui se dévore et qui fait bien agréablement voyager.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Dans le second volet de la trilogie indienne de Kate McAlistair, le lecteur retrouve Jezebel et Jan à Singapour, lors de leurs retrouvailles après quelques années de séparation. A pars la naissance de Mary-Leela, le fruit de l'amour de Jezebel et de Charu, un fils de maharadjah et l'ami de Jan, rien n'a changé. Ce que nous avions souhaité à la fin du volet précédent, arrive, ils se marient mais avec ce mariage, Jezebel sort de l'anonymat dans lequel elle s'est fondue en arrivant à Singapour et réveille ses vieux démons. Le Baron von Rosenheim, un odieux et puissant personnage et meurtrier de Charu, veut poursuivre Jezebel pour avoir mis fin à leurs fiançailles. Jezebel décide de partir aux Etats-Unis avec Jan, mais fuir n'est pas chose simple et elle se retrouve poursuivi par von Rosenheim et son envie de découvrir la Cité du Lotus, une cité mythologique indienne enfouit dans la jungle indienne et dont il croit que Jezebel et Jan détiennent des pièces du puzzle.

"La Cité du Lotus rose" est peut-être une romance, mais ce roman est avant-tout un roman d'aventure où les rebondissements sont nombreux. Kate McAlistair permet à son lecteur de se projeter pleinement à cette époque et d'en saisir l'ambiance, les détails sont minutieux. L'histoire est magnifiquement bien ficelée et ce roman offre une lecture plus que délicieuse. Le plus difficile est de devoir attendre pour retrouver Jezebel, Jan et la petite Mary-Leela dans le prochain volet de la trilogie. A chacune de ces parutions, Kate McAlistair lève le niveau d'un cran et la fin de la trilogie ne pourra qu'être exceptionnelle.
N'hésitez vraiment pas à lire "La Vallée du Lotus rose" et "La Cité du Lotus rose". Ils sont sublimes.
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Dire que je n'étais pas impatience de lire la suite des aventures de Jezebel et Jan serait un gros mensonge. Je suis passionnée par cette trilogie très addictive, le seul petit reproche encore que ce n'est pas grave du moins pour moi, c'est le rappel des différents événements du tome précédent, peut-être prévus pour ceux qui ne l'ont pas lu et commencent par ce livre. Ce roman clôt dans une certaine mesure l'histoire de Jezebel et Jan, la malédiction du Sher-Cita va enfin révéler tous ses secrets. Quant au troisième et dernier tome, il est centré sur Lián alias Rose-Leela et se déroule à l'aube de la Seconde Guerre mondiale. Il me faudra faire preuve de patience pour découvrir son histoire étant donné que je préfère attendre sa sortie au format poche.

28 août 1921. Singapour.

A 20 ans, Jezebel est à la croisée de son destin. Jan Lukas, son premier amour est parvenu à la retrouver dans une mission religieuse de Singapour.

En proie à l'incertitude et en ayant eu sa magnifique fille, Jezebel ne sait pas comment accepter le bonheur maintenant qu'il est à sa portée.

Jan acceptera-t-il la fille de Charu, son meilleur ami ?

L'heure des non-dits et des explications a sonné ponctué par leur mariage hâtif ne faisant qu'augmenter les doutes de Jezebel.

Heureuse, elle pourrait enfin l'être après avoir vécu tant d'épreuves si son passé ne venait encore la rattraper.

Jan et Jezebel sont-ils condamnés à vivre leur amour malmené par la malédiction du Sher-Citâ ?

Après bien des épreuves, Jezebel et son mari partent vers les Etats-Unis pour commencer une nouvelle vie et se mettre enfin à l'abri des sbires de von Rosenheim qui traquent Jezebel sans relâche.

Arrivée à New York, Jezebel se rend compte qu'elle ne connaît pas vraiment son mari.

Dans ce pays, celui-ci est une célébrité assaillie par les journalistes et invité d'honneur des réceptions mondaines sans compter l'ambiguïté qu'il a avec sa cousine Eve Valmont. Leur relation si intime fait rager Jezebel qui la voit comme une rivale des plus féroces habitués à cet univers mondain dont elle ne maîtrise pas les codes.

Jan se rend-il compte que sa femme n'est pas dans son élément, qu'il l'a jeté dans ce monde qui lui est étranger ?

On retrouve une Jezebel plus femme, plus adulte, consciente de ses responsabilités de mère, protectrice envers sa fille mais toujours avec son caractère affirmé, détestant qu'on décide pour elle comme si elle n'était qu'une marchandise.

Ce deuxième tome apporte son lot d'informations de nature historique, humaine, religieux, le contexte géo-politique sur fond de commerces et de lois en tout genre (opium, prohibition, prostitution, esclavage…), le racisme américain mais aussi le sort des Chinoises et de leurs enfants comme précédemment vu chez les différentes castes en Inde dans le premier tome.

Comme son prédécesseur, ce second volet raconte l'histoire, la vie du peuple, ses us et coutumes. Chaque page entraîne le lecteur dans un voyage où on n'en ressort pas indemne. On retient son souffle subjugué par le charme de l'Inde et ses secrets tandis que de douloureuses épreuves attendent encore Jezebel et Jan avant de peut-être trouver le bonheur.

Les événements s'enchaînent tout comme la passion sous le regard d'une Inde multiculturelle à la beauté immuable.

De Singapour à Constantinople, du mythique Orient-Express à New York, l'histoire de Jezebel et Jan va prendre fin là où tout a commencé !
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..
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C'est avec un plaisir non dissimulé que je me suis jetée dans la lecture du second tome des aventures de Jezebel. Cette histoire m'avait enchantée, fait voyager, c'est un roman qui m'avait passionnée, de la première à la dernière page.

En ouvrant ce deuxième opus, j'en attendais autant et s'ajoutait à cette impatience la petite angoisse de ne plus me souvenir de tout, d'être un peu perdue. Mais non ! En plus d'avoir retrouvé mes marques en quelques pages, j'ai retrouvé de l'écriture de Kate McAlistair le rythme et le dépaysement.

Dans ce tome, Jezebel n'est jamais seule : mère avant tout, épouse très rapidement, la jeune fille d'à peine 16 ans a laissé place à une femme forte (même si très fragilisée par son douloureux passé) qui sait ce qu'elle veut et qui a conscience de ses responsabilités.

Les personnages qui entourent l'héroïne sont très attachants encore une fois. Hushi, Jan, Mary-Leela, Mukhy Aadamee, Mme Appelrood, Omji marquent le lecteur par leur bonté, leur histoire : ils nous font sourire, rire, ils sont tous touchants. J'ai été si heureuse de retrouver Olga aussi, avec sa spontanéité, sa fraîcheur, son humour… le Baron von Rosenheim est toujours aussi détestable, si ce n'est plus : j'ai vraiment les poils qui se dressent à chacune de ses apparitions. Mais ce qui m'a marquée ici, c'est l'apparition de personnages bien moins manichéens, des personnages comme Jangalee ou le maharaja qui sont troubles, peut-être même doubles. Cet ensemble rend le roman addictif, autant, si ce n'est plus, que son frère aîné.

Si on ne se promène plus sur les marchés indiens, j'ai beaucoup aimé la description des promenades à cheval de Jezebel, je ressentais presque le vent dans mes cheveux ; l'expédition dans la jungle est aussi effrayante que fascinante. On sent l'humidité, le danger des animaux qui rodent, le grouillement des insectes, le pas lourd des éléphants, la peur insidieuse des serpents cachés dans les buissons, les thugs dissimulés dans la luxuriance du paysage.

L'histoire est elle aussi d'une grande richesse, mêlant habilement archéologie rêvée de la Cité Rose, le colonialisme en Inde, le racisme américain, l'amour sous toutes ses formes, l'amitié. On ne s'ennuie pas une seule seconde pendant ces 587 pages. le rythme est effréné : le dénuement et la stabilité précèdent l'amour et la richesse ; Singapour est le point de départ vers Constantinople puis New York ; la vie mondaine se conjugue à la vie de famille ; la sédentarité se confronte à la soif d'aventure et l'aventure appelle le danger, la mort, les meurtres…

Je vous défie de vous ennuyer une seule seconde aux côtés de Jezebel, Jan et Mary-Leela, dans cette fabuleuse histoire racontée avec talent par Kate McAlistair.
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