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Chroniques d'Édimbourg (Alexander... tome 1 sur 12

Elisabeth Kern (Traducteur)
EAN : 9782264043276
413 pages
10-18 (07/06/2007)
3.49/5   237 notes
Résumé :
Bienvenue au 44 Scotland Street, le domicile d'une tribu de personnages hauts-en-couleurs. Pat, 20 ans, vient d'emménager au 44. Elle entame une seconde année de « gap year » et trouve le même jour un emploi dans une improbable galerie de peinture « Something Special Gallery » que vient d'ouvrir Matthew, un fils à papa indolent et incompétent.

Pat partage son loyer avec Bruce, un jeune homme athlétique et narcissique dont la carrière d'agent immobili... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (60) Voir plus Ajouter une critique
3,49

sur 237 notes
Je n'ai pas aimé. Je n'irai pas dire que c'est une déception, parce que je n'attendais rien de ce livre mais c'est quand même pas loin. Certaines choses m'ont quand-même un peu plu mais pas suffisamment avec le recul.

L'histoire se passe en Écosse, à Édimbourg, dans un quartier tranquille mais branché de cette ville et plus particulièrement au 44 Scotland Street et ses rues proches. Pat commence une 2ème année off, on sait peu de chose de la première année mais elle ne semble pas s'être bien passée, elle cherche donc à rebondir, et dans le souhait de s'émanciper un peu de sa famille, elle prend une colocation au 44 Scotland Street. Pour le moment, elle est uniquement en coloc avec Bruce, un jeune homme, deux autres personnes font parti de la coloc mais ils ne sont pas présents actuellement.

Pat est jeune et "se cherche", elle a la chance d'avoir trouver un travail pas très loin de son logement, cependant, elle est surprise de la façon dont elle a été embauché et même se demande bien comment elle va occuper ses journées ! On a peu de renseignement sur Pat finalement. Je ne me suis pas vraiment attachée à elle. Elle aurait pu être touchante par son côté paumée, mais elle a fini par m'agacer. Peut être est-ce de n'avoir pas vraiment de billes pour la connaitre, on se demande ce qu'il lui ai arrivé mais on a aucune piste, aucun élément. Au début du livre, ça a été mais plus je lisais plus son comportement m'a agacé, elle tombe dans le schéma qu'on voyait venir comme le nez au milieu de la figure… ça m'a beaucoup saoulé.

Le lecteur découvre plein de personnages, une belle galerie de caractères et de personnes différentes (ça c'est le point positif), Bruce, narcissique et prétentieux, il n'est pas complètement idiot mais son univers tourne autour des apparences, des faux semblants, du rugby et des filles… Bref, le type de gars macho qui m'est très antipathique. Je l'ai trouvé superficiel, creux et arrogant. On a aussi le patron de Bruce, Todd et sa femme, encore des personnages pour qui les apparences ont plus de poids que le reste. Dans le série des boss, on a celui de Pat : Matthew, le bon à rien, fils à papa, qui rate tout ce qu'il entreprend, paresseux et sans force de caractère. Et puis d'autres locataires du 44 Scotland Street, Irène, la mère de Bertie, 5 ans, enfant surdoué. Irène est horripilante, insupportable, prétentieuse, hautaine et snob. Je crois que c'est le personnage que j'ai le plus détesté du livre. Elle est convaincue qu'elle fait tout pour le développement et le bien être de son fils, or, on a beaucoup beaucoup de mal à être d'accord avec elle, ses idées et son comportement. Son mari ne vaut guère mieux. Dans l'immeuble, Pat fait la connaissance de Dominica, une femme de 61 ans, mais loin de la vieille chiante, elle vive et enjouée, elle a ses petites manies mais elle est tellement sensée ! Anthropologue, elle a souvent des remarques justes et pleines de bon sens. Et puis pas loin du travail de Pat, il y a Lou, une jeune femme qui tient un bar (une ancienne librairie reconvertie). Lou cherche à s'instruire, beaucoup, elle a gardé tous les livres de la librairie et les lit ! Et il y a encore d'autres personnages plus ou moins important dans l'histoire.Bref, vous le voyez, une grande et belle galerie de personnages ! Mais je peux compter sur les doigts d'une seule main les personnages que j'ai aimé suivre ou que j'ai apprécié. Beaucoup de personnages, sont insupportables et c'est un peu à qui le sera plus que l'autre ! Un ou deux évoluent. Pas toujours dans le sens qu'on voudrait (Pat par exemple) ou bien on découvre une personnalité un peu "moins pire" que prévu (je pense à Matthew).

J'ai lu 200 pages en une journée, soit la moitié mais il ne se passe pas grand chose finalement, ou bien on apprend plein de choses sur des personnages horripilants, ce qui fait que j'ai eu beaucoup de mal à lire l'autre moitié. Alors que j'aurai pu le lire en une deuxième journée, je l'ai trainé encore 3 jours… Je n'ai apprécié les passages que sur Lou et Dominica qui a leur façon m'ont plu ou touchée. Et heureusement qu'il y avait ces deux femmes sympathiques parce que j'aurai peut-être abandonné ma lecture. Pas que ça soit mauvais mais ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. Il n'y a que l'humour de l'intrigue de fin qui m'a emballée, le reste, je me suis ennuyée… Heureusement, les chapitres sont courts (il s'agit de chroniques publiées tous les jours dans un journal), et ça se lit facilement. le principe de chroniques est sympathique mais je crois que j'aurais préféré lire ça au jour le jour dans le journal plutôt qu'en livre… Et puis ce roman ne m'a pas vraiment fait voyager, je ne peux pas (à part quelques peintres écossais) dire que j'ai appris / retenu grand chose, pas un monument, une architecture, … rien que je puisse citer. Pour moi, ça s'adresse à ceux qui y vivent ou connaissent parce que sinon… A la rigueur, je suis intriguée par l'opposition régulièrement faite entre Édimbourg et Glasgow, à part ça… Bref, je n'ai pas aimé, je me suis ennuyée et je n'ai pas envie de continuer (il existe au moins 3 tomes en plus). Je ne trépigne pas d'impatience pour ce que va faire Pat, vivre Bertie… Peut être que je suis passée à côté de certaines choses parce que je n'ai pas rit. Comme indiqué, seule la péripétie de la fin m'a fait sourire ^^

Concernant l'histoire… Il s'agit de suivre les personnages et il y a une "sous-intrigue" concernant un tableau de la galerie d'art de Matthew. C'est cette sous-intrigue qui m'a accrochée le plus, j'avais envie de savoir où ça allait mener. Mais c'est quand même long à venir, à se développer…Un personnage est lié à cette intrigue secondaire : Angus Lordie, un peintre excentrique mais très sympathique (ça nous fait 3 persos que j'ai aimé!). La "chute" m'a bien surprise et m'a bien plut ^^

Bref, au final, une histoire assez peu mémorable, vite lu (enfin si on accroche), vite oublié pour ma part… Et pas suffisamment creusée ou drôle pour que je poursuive. Une lecture détente, oui, c'est bien pour l'été mais …. pas pour moi quoi ^^ L'auteur aura peut être droit à une seconde chance mais pas de suite et avec complètement autre chose, je pense.
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Je gardais des "Chroniques de San Francisco" d'Amistead Maupin un très bon souvenir. le fait qu'Alexander McCall Smith s'en soit inspiré est une bonne idée et me séduisait. de temps en temps, j'aime bien lire des romans chorals, la multiplicité des points de vue est intéressante.
Pat est une jeune femme de 20 ans qui se cherche et entame sa deuxième année sabbatique, elle s'entend très bien avec ses parents, mais elle a envie d'avoir une certaine indépendance, donc elle cherche une colocation à Edimbourg. Elle va partager l'appartement de Bruce, un jeune homme beau et narcissique. Mais elle va aussi apprendre à connaître les habitants de cet immeuble du 44 Scotland Street: Domenica, femme libre ayant vécu en Inde, Irène et son fils Bertie qui a seulement 5 ans et doit apprendre le saxophone et l'italien pour satisfaire sa mère, Angus et son chien Cyril et Matthew qui tient la galerie d'art dans laquelle elle va travailler.
La lecture de ce roman est plaisante, les personnages sont assez sympathiques mais un peu caricaturaux. On passe un bon moment ; à l'occasion je lirai la suite mais je ne suis pas trop impatiente !
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J'aime beaucoup les films chorale en général, et du coup j'aime aussi beaucoup les livres de ce style, surtout quand il réunissent les habitants d'un immeuble et décrivent la vie et les interactions de ces derniers. Peut-être parce que j'espère à chaque fois y retrouver ce qui fait le charme des "Chroniques de San Francisco" d'Armistead Maupin. Je suis quelquefois déçue mais pas cette fois, même si ce livre n'arrive pas à la hauteur des Chroniques. J'ai vraiment bien aimé vivre le temps de ces quelques pages en compagnie de ces personnages attachants. Ma préférence allant à Bertie, ce petit garçon surdoué, qui ne rêve que de trains et que sa mère oblige à apprendre l'italien et à jouer du saxo en virtuose et à Cyril, le chien qui pue et qui fait de l'oeil aux jolies filles…

Le livre plein d'humour développe à travers des chapitres courts les personnalités et les petites histoires de chacun, on s'attache à certains, on s'agace avec les autres mais à chaque page l'auteur arrive à nous surprendre par un petit détail qui fait mouche. Certaines situations sont franchement drôles et je me suis surprise plus d'une fois à rire en imaginant les scènes mais je ne veux pas tout dévoiler et je laisserai à chacun le plaisir de la découverte.

Je crois que ce qui m'a le plus plu c'est l'imbrication des personnages avec la ville d'Edimbourg avec ses pubs, ses personnages célèbres, son rapport à l'histoire, à travers quelques anecdotes ou allusions, j'ai retrouvé des auteurs que j'aime comme Barbara Pym, ou Ian Rankin le créateur du personnage de l'Inspecteur Rébus, ce flic un peu border line que j'adore… Il y a vraiment une atmosphère particulière dans ce livre, finalement j'ai été plutôt agréablement surprise car en le refermant j'avais le sourire aux lèvres et passé un bon moment. Je ne dirai pas que c'est de la grande littérature mais c'est un roman vraiment agréable et distrayant. J'aurai beaucoup de plaisir à découvrir ce que Pat, Bertie, Domenica, Bruce et les autres sont devenus en lisant le tome suivant…
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44 Scotland street, c'est le premier d'une série d'aventures cocasses avec une galerie de personnages qui habitent dans le même immeuble et dont nous découvrons des tranches de vie qui peuvent sembler tout à fait banales mais qui sont sublimées par le talent D Alexander McCall qui sait raconter ces petites anecdotes comme si c'était des aventures dignes de ce nom. Avec en plus une touche d'humour tout à fait subtil et British.
Les petites décisions deviennent de troublants dilemmes, les petites contrariétés deviennent des quêtes de sens.
L'art du sublimé dans le banal….

La galerie de personnages qui habitent au 44 Scotland Street ou qui gravitent autour est vivante, burlesque, surprenante mais toujours crédible et empreint d'une analyse a la fois tendre et cruelle.

Pat vient d'emménager dans une colocation au 3ème étage. Elle ne sait pas trop ou elle en est, surtout affectivement, mais elle a une personnalité curieuse et dynamique.

Elle est attirée par Bruce qui est le type même du beau gosse narcissique et insupportable qui sème les catastrophes autour de lui tellement il est aveugle au monde qui l'entoure.

Pat rencontre Dominica, une vieille ethnologue loufoque qui tentera de l'aider a résister a la séduction de Bruce. Elle trouve aussi un Job dans la galerie de peintures de Matthews, l'éternel indécis que son père prend pour un raté. Et elle croit y dénicher un tableau connu parmi les croutes.

Chapitres courts publiés au jour le jour dans un journal d'Edimbourg. Personnages croqués avec humour et finesse. Un petit chef d'oeuvre de raffinement et d'intelligence qui se déguste comme une bonne pâtisserie.

Il n'y a guère de suspense, ni d'intrigue, ce qui ne surprendra pas ceux qui ont déjà lu "le club des philosophes amateurs", mais cela n'a guère d'importance car c'est sa simplicité et sa façon de croquer le quotidien qui font son charme.

A coup sur une autre façon d'écrire, sincère et authentique, ou la véracité des personnages l'emporte sur l'intérêt de l'intrigue.
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Partant en voyage en Écosse et notamment quelques jours à Édimbourg, j'en ai profité pour découvrir ce roman, parcourant les rues de la ville (allant même jusque Scotland Street où il n'y a pas de numéro 44 !) le jour et lisant quelques pages le soir.
Bien que retraçant il me semble assez justement l'ambiance de la ville, l'histoire n'a finalement pas été aussi transcendante que ce à quoi je m'attendais. Bien qu'elle commence de façon banale (une jeune femme rejoint une colocation où il n'y pour l'instant qu'un jeune homme et l'ambiance est assez électrique entre eux), elle se développe par la suite pour mener à un embryon d'enquête, permettant au lecteur de rencontrer une palette de personnages plus farfelus les uns que les autres.
Malheureusement, « embryon » est bien le terme adapté selon moi car je pense que l'histoire aurait pu être plus développée au niveau de l'intrigue. Elle s'est bien plus concentrée sur les relations entre les personnages, leurs états d'âme, ce qui parfois m'intéresse dans certains livres, mais pas dans celui-ci, sans doute parce que j'ai bien moins accroché à ces protagonistes.
À part Bertie, l'enfant de six ans, j'ai effectivement éprouvé quelques difficultés à m'attacher aux personnages. Pat, la jeune femme, m'a semblé un peu cruche et naïve. Bruce est ce genre de personnage beau et surtout sachant qu'il l'est, donc passablement énervant. D'autres personnages sont presque trop étranges pour être vrais. En fait, ce sont pour moi des personnages assez caricaturaux et exagérés, ce qui est dommage.
Heureusement, un peu d'humour sauve cette histoire, rendant ce livre léger, finalement assez facile à lire et divertissant. En voyage, ce n'est pas si dérangeant, surtout lorsqu'on déambule dans la ville décrite dans le roman. Néanmoins, le manque de rebondissement et la banalité des personnages se sont quand même cruellement fait ressentir et m'ont laissé un goût amer en finissant cet ouvrage.
N'ayant pas ressenti un besoin absolu de continuer la saga en terminant ce premier tome, je sais que je ne lirai pas la suite, même si j'ai envie de retrouver l'ambiance particulière d'Édimbourg que j'ai tant appréciée ; d'autres ouvrages se déroulant dans cette ville doivent exister.
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Les poètes chinois écrivent des choses merveilleuses sur le plaisir de rester assis au bord des fleuves, à attendre l'arrivée des bateaux. Il ne se passe pas grand-chose d'autre dans la poésie chinoise, mais faut-il qu'il se passe quelque chose en poésie ? Je ne le crois pas.
Ils s'engagèrent dans Scotland Street, marchant d'un pas lent pour permettre à Cyril de renifler chaque lampadaire, chaque bordure de trottoir.
En fait, il n'est pas très compliqué d'écrire de la poésie chinoise du VIIIème siècle, reprit Angus Lordie. En anglais, s'entend. Cela réclame très peu d'efforts, je trouve.
Dans ce cas, composez un poème maintenant, suggéra Pat. Allez-y, puisque vous dites que c'est facile.
Angus Lordie s'arrêta de nouveau.
Mais certainement. Voyons voir, réfléchissons...
Il se tut quelques instants, puis, se tournant vers Pat, s'adressa gravement à elle :
- Je regarde de l'autre côté de cette rue de pierres
Cette rue qui porte le nom d'un pays
Pour voir la maison de lumières, où une douce compagnie
Prépare son pichet de vin et se remémore
Les heures passées ensemble
Dans cette chambre paisible : chaque marche qui s'interpose
Entre nous et elle mettra un peu de baume à votre coeur
Fera de l'ordre dans le chagrin qui baigne votre cour
Jusqu'à vous rendre le sourire, ma triste amie.
Je vous le dis, je vous l'assure, cela est vrai.

Lorsqu'il se tut, il s'inclina légèrement devant Pat.
- C'était mon poème chinois, commença-t-il.
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Pour Pat, l'âge ne comptait guère. Le secret, pensait-elle -- et elle avait lu quelque chose là-deesus --, consistait à parler aux gens comme s'ils étaient de la même génération. De toute évidence, Domenica appliquait ce principe. Elle n'avait pas pris Pat de haut, alors qu'elle aurait pu se le permettre. Elle l'avait traitée, au contraire, comme, une personne avec laquelle elle pouvait partager références et expériences. De sorte que tout avait paru simple... (p.105)
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Ce que j'ai cherché à réaliser dans 44, Scotland Street, c'est parler de la vie à Edimbourg de manière à frapper les lecteurs, afin qu'ils ne puissent douter que l'action se déroule bien dans cette ville extraordinaire, mais sans s'éloigner de la fiction légère. Je pense qu'il est possible d'écrire sur des sujets amusants sans pour autant quitter le domaine d'une fiction sérieuse....
J'ai adoré créer ces personnages, tous inspirés de types d'individus que j'ai rencontrés et appris à connaître en vivant à Edimbourg. Ce n'est qu'une tranche de vie au sein de cette ville, mais une tranche de vie qui peut être divertissante.
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Tout l'intérêt de l'enfance, reprit Domenica, est de nous procurer une brève période d'innocence durant laquelle nous sommes préservés du monde extérieur. Les parents qui poussent trop leur progéniture s'immiscent dans ce petit espace-là. Et bien sûr, ils rendent l'enfant massivement anxieux. Vous-même, vous n'avez pas été poussée par vos parents, n'est-ce-pas ?
Pat secoua la tête.
Pas du tout. Ils m'ont encouragée, mais pas poussée.
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Sasha aimait savoir à quoi ressemblait l'écrivain avant de lire un livre. Somerset Maugham, par exemple, lui déplaisait physiquement, aussi n'avait-elle jamais rien lu de lui. Elle n'appréciait pas non plus l'apparence de certaines jeunes femmes écrivains, qui ne semblaient pas prendre la peine de se coiffer. Si elles ne se soucient pas de leurs cheveux, se soucieront-elles de leur prose? se demandait-elle.
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