Plusieurs romans se mêlent dans ce livre, métaux en fusion qui se fondent l'un dans l'autre. Des dialogues courent sur des pages entières, conversations de celluloïd dénuées de verbes de parole, bientôt remplacées par des descriptions lyriques rythmées d'énoncés laconiques aux "et" caractéristiques de l'auteur. Il évoque la solitude de l'homme moderne, l'amour qui ronge, la mort qui efface ou souligne la présence absente (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/03/06/
le-passager-cormac-mccarthy/)
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