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EAN : 9782266291798
432 pages
Pocket (06/02/2020)
3.66/5   255 notes
Résumé :
1837, île du Prince-Édouard, au large du Canada. Marilla Cuthbert, 13 ans, mène une vie tranquille dans le cadre enchanteur de la campagne, avec ses parents et son frère aîné, Matthew. À la mort brutale de sa mère adorée, Marilla se jure de veiller toujours sur son père et son frère.

Cette décision va entraîner sa vie entière. Désormais, elle se consacrera aux autres. Sacrifiant son amour pour John Blythe, elle décide de se battre auprès des plus dému... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (69) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai vu le film "La maison aux pignons verts" il y a un an peut-être, je connaissais un peu le roman de Lucy Maud Montgomery, j'avais lu le très beau livre de Sarah McCoy "Un goût de cannelle et d'espoir ".
Tout était réuni pour que j'apprécie l'histoire du passé de Marilla et de Matthew dans le roman "Le bruissement du papier et des désirs".
Le plaisir de lecture, je ne l'ai pas ressenti car je voyais trop Marilla plus âgée, plus aigrie et je connaissais surtout quelques bribes malheureuses de son passé de petite fille, de jeune fille.
Marilla s'est dévouée toute sa vie aux autres sans penser à elle et ce, à cause de la promesse faite à sa mère de veiller sur toute sa famille.
Je n'ai donc pas accroché à l'ambiance du roman même si j'ignorais que des esclaves, nouvellement affranchis venaient se réfugier au Canada.On n'en parle pas énormémment dans l'histoire du roman.
Le ton du récit n'est certes pas désagréable mais trop enfantin à certains moments.
Pas une grande lecture pour moi contrairement à l'avis des babeliotes et d'autres.
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Sarah Mc Coy nous a habitués à des voyages passionnants accompagnés de personnages flamboyants où se mélangent allègrement frisson et noirceur.

Dans le bruissement du papier et des désirs, que ce soit au niveau de l'analyse psychologique d'une époque ou de l'écriture, l'auteure américaine a brodé une histoire d'une telle finesse qu'elle prend peu a peu le lecteur dans ses filets.
Il y a toujours des femmes fortes, éprises de liberté, modèles de courage et d'abnégation, ainsi qu'un contexte historique sensible. le roman historique c'est aussi cela: être immergé dans un univers particulier et saisir les enjeux historiques d'une époque.

Avec toujours autant de sensibilité que d'élégance ce roman historique est un condensé vibrant de thèmes qui sont chers à l'écrivaine depuis ses débuts.
Elle manie le jeu narratif avec une aisance déconcertante entrelaçant les récits et bâtissant le chemin où elle désire nous emmener.

Seule la fiction permet de faire miroiter à ce point les mille nuances d'un être, de s'approcher de sa vérité, tout en conservant dans le même mouvement, son mystère.

Les phrases fortes ou délicates de Sarah McCoy sont des invitations aux souvenirs, comme un fragile sentiment de retenir le temps avant qu'advienne l'irrémédiable.
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Appréciant les écrits de Sarah McCoy, j'ai pu grâce aux éditions Michel Lafon me plonger dans le bruissement du papier et des désirs.
1837, île du Prince-Édouard, au large du Canada.
Marilla Cuthbert, 13 ans, mène une vie tranquille dans le cadre enchanteur de la campagne, avec ses parents et son frère aîné, Matthew.
À la mort brutale de sa mère adorée, Marilla se jure de veiller toujours sur son père et son frère. Cette décision va entraîner sa vie entière. Désormais, elle se consacrera aux autres.
Sacrifiant son amour pour John Blythe, elle décide de se battre auprès des plus démunis, les orphelins en particulier....
En lisant ce roman, j'ignorais qu'il était en rapport avec La Maison aux pignons verts, série jeunesse que je connais de nom, uniquement. Je n'ai pas non plus vu le film.
Honnêtement ça ne m'a pas dérangé du tout, et j'ai apprécié ma lecture.
Le bruissement du papier et des désirs est un roman historique très intéressant. J'ai aimé le contexte, l'ambiance.
Le personnage de Marilla enfant m'a beaucoup plu car elle est pétillante, attachante.
Par contre, j'ai un peu moins apprécié son choix de sacrifier son amour quand elle est adulte. Elle se consacre aux autres, certes elle a fait une promesse à sa maman, mais pourquoi tout sacrifier ? Ne pas choisir aussi l'amour ? On peut très bien se consacrer à sa famille tout en ayant une vie amoureuse à coté. C'est un peu dommage toutefois c'était l'époque qui voulait ça et de nombreuses femmes ont fait des choix radicaux.
C'est une femme libre, admirable, courageuse qui s'engage pour le bonheur des autres et ça chapeau.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, je lui met un très joli quatre étoiles :)
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« le bruissement du papier et des désirs » est un roman à découvrir si vous voulez découvrir Sarah McCOY.
Au début, j'ai eu du mal à rentrer dans les 3 premiers chapitres, puis au fur et à mesure de l'histoire j'ai plongé dedans et pour être franche j'aurai aimé qu'il se prolonge encore et encore.
Je précise que le livre je l'ai acheté il y a au moins 1 an je l'ai rangé faute de temps et faute de plusieurs lectures en cours à ce moment-là. C'est en rangeant dernièrement que je l'ai sorti en vue de me trouver une nouvelle lecture.
Il y a longtemps j'avais vu le film "La maison aux pignons verts", je connaissais un peu le roman de Lucy Maud Montgomery mais je n'avais pas fait le lien.
C'est ma curiosité ma manie de commencer les livres par la fin qui m'a permis de faire un rapport avec cette fameuse maison les pignons verts car à la fin du livre vous avez des notes de l'auteur notamment sur les recherches et les lectures de Sarah McCoy qui lui ont permis d'écrire ce roman.
Je précise également que c'était mon 1er livre de Sarah McCoy et ce livre est son 4ème roman.
Mais pour le moment je n'ai pas forcément envie de continuer à découvrir Sarah McCoy cependant je mets celui-là en libre échange si un échange Sarah Mccoy vous intéresse.
Le roman se passe au Canada (un pays que j'adore visiter 2X) en 1837, sur l'île du Prince-Édouard, au large du Canada.
Ce livre se divise en 3 parties :
Dans la 1ere partie C'est l'histoire de Marilla Cuthbert, 13 ans qui mène une vie tranquille dans la campagne canadienne, avec ses parents et son frère aîné, Matthew.
Dans la partie 2 commence avec la mort brutale de sa mère adorée, Marilla se jure de veiller toujours sur son père et son frère. Cette décision va entraîner sa vie entière. C'est décidé, elle se consacrera aux autres.
Sacrifiant son amour pour John Blythe, elle décide de se battre auprès des plus démunis, les orphelins et sa famille.
J'ai adoré le personnage de Marilla elle est pétillante, attachante, forte, libre, admirable, courageuse, elle s'engage et s'oublie pour le bonheur des autres .
A la moitié du roman, j'avoue avoir été déçue j'avais pensé en lisant la 4ème couverture que le thème sur l'esclavage, les fugitifs noirs-américains qui passent la frontière canadienne serait plus développé et plus complet, dans le roman ce thème n'est abordé que dans plusieurs pages sur tout le roman seulement et Marilla prends part au sujet que dans quelques pages du roman.
Du coup un peu fustrée J'aurais aimé qu'on exploite davantage ce thème.
Et la 3ème partie se déroule des années plus tard la partie s'ouvre sur la naissance d'un bébé un de plus pour Rachel la meilleure amie de Marilla.

Je ne souhaite pas donner beaucoup plus d'informations sur la fin ou sur ce roman que je préfère vous laissez découvrir j'en garderai un jolie moment de lecture, une histoire de famille, des personnages attachants (j'ai adoré le personnage de la tante izzy, de Rachel et de Marilla). J'ai aimé au fil des chapitres les belles descriptions de paysages qui me font rêver encore du canada.
Cette histoire démontre aussi qu'il faut vivre faire attention aux promesses qu'on se fait et qu'il faut aimer sa famille mais aussi penser à soi.
J'ai également aimé l'écriture de Sarah McCOY, pour moi, un petit 4/5 étoiles

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Depuis sa sortie française, j'ai vu passer ce titre sur tous les rayonnages de librairie ou d'espaces culturels, sans jamais m'y attarder : je ne lis pas souvent d'historique et préférait amplement rejoindre l'espace SFFF ! Puis, j'ai appris par deux amies qu'il s'agissait en réalité d'un roman relatant l'adolescence de Marilla Cuthbert (c'est-à-dire, pour ceux qui n'ont pas encore lu Anne de Green Gables, la mère adoptive de la petite Anne Shirley que j'aime tellement fort) … ou du moins la vision de Sarah McCoy de l'adolescence de Marilla Cuthbert. Et c'est justement ceci qui a fait se déchainer en moi deux émotions totalement contradictoires : d'un côté, j'étais immensément heureuse et curieuse de découvrir le passé des Pignons Verts, de retrouver Marilla et Matthew … et de l'autre, j'étais profondément inquiète et quelque peu indignée face à cette appropriation de l'univers et des personnages par une autrice qui n'est pas Lucy Maud Montgomery. Malgré tout, je me suis littéralement jetée dessus lorsque je l'ai trouvé au supermarché (dans un dérapage pas complétement contrôlé, mais qu'importe : j'étais peut-être affalée au sol, mais l'unique exemplaire était à moi) … et je ne l'ai pas regretté.

Tandis que sa mère, enceinte jusqu'aux yeux, se réjouit de l'arrivée imminente de sa soeur, Marilla, treize ans, s'inquiète en silence de ce grand bouleversement : d'aussi loin qu'elle se souvienne, jamais les Cuthbert n'avaient reçu d'invités pendant plusieurs mois … jamais les Cuthbert n'avaient reçu d'invités tout court. D'abord agacée par les idées qu'elle juge farfelues de sa tante, qui vient briser le quotidien austère et pragmatique de la maisonnée, Marilla doit cependant reconnaitre que tante Izzy apporte de la vie aux Pignons Verts, lui donnant envie de se faire des amis, et peut-être même de rêver au grand amour … Jusqu'au jour, terrible, où Clara Cuthbert meurt en couches, faisant promettre à Marilla de toujours veiller sur son père et son frère. Pour ne pas se laisser submerger par le chagrin, la jeune femme se jette à corps perdu dans la tenue de la maison : les tâches quotidiennes, utiles et répétitives, occupent toutes ses pensées et l'empêche de songer à tout ce qu'elle a laissé derrière elle pour tenir sa promesse. A tous ces rêves déchus qui ne cessent d'enserrer son coeur de regrets …

Il n'aura fallu que quelques pages à mes craintes pour s'envoler : Sarah McCoy n'a pas dénaturé l'esprit des Pignons Verts, bien au contraire, elle l'a sublimé. On ressent vraiment l'amour que l'autrice éprouve pour l'oeuvre originale, on ressent bien que cette envie d'inventer l'adolescence de Marilla n'est pas dictée par des considérations commerciales mais bien par le besoin viscéral de répondre à la question innocente de la petite Anne : « Oh, Marilla, que s'est-il passé ? ». Cette question, les lecteurs d'Anne de Green Gables se la sont également posé : qu'est-ce qui a poussé Marilla à tourner le dos à ce qui semblait être le grand amour, qu'est-ce qui a fait d'elle cette femme austère qui réprime la moindre rêverie ou la moindre futilité comme les pires péchés du monde ? Pourquoi avoir étouffé cette douceur, cet humour, que nous distinguons malgré tout dans ces petits gestes d'affection, ces petits sourires réprimés ? Bien sûr, il ne faut pas perdre de vue que Sarah McCoy nous offre sa vision des choses, que Lucy Maud Montgomery aurait peut-être, et même sans doute, expliquer les choses différemment, mais ce que nous raconte Sarah McCoy sonne tellement juste, correspond tellement à la personnalité de Marilla adulte, que nous pouvons sans soucis tenir ce récit comme « vraisemblable » …

J'aimais déjà énormément Marilla adulte, mais je me sens encore plus proche de la Marilla adolescente, cette jeune fille si profondément attachée aux siens, si profondément attachée aux rituels du quotidien, cette jeune fille qui aimerait que rien ne change jamais, qui aime sa vie telle qu'elle est. C'est une adolescente discrète mais qui n'hésite jamais à défendre ses convictions, une jeune fille sensible mais qui ne se laisse jamais abattre, une jeune femme entièrement dévouée à ceux qui lui sont chers et qui fait toujours passer les autres avant elle-même. Marilla, c'est un bel exemple de courage et d'abnégation pour notre monde où chacun ne pense qu'à ses petits plaisirs et loisirs égoïstes sans songer un seul instant à ceux qui souffrent, à ceux qui peinent. Marilla, elle, a sacrifié son bonheur personnel pour se consacrer à sa famille, et plus globalement à ceux qui ont besoin d'elle : elle aurait pu laisser son père et son frère ainé se débrouiller seuls et se laisser courtiser par John Blythe, elle aurait pu poursuivre ses rêves, elle aurait également pu fermer les yeux sur la misère de tous ces petits orphelins esclaves … mais elle ne l'a pas fait : fidèle à ses principes, à ses promesses, Marilla « porte le fardeau des souhaits jamais exaucés ».

Mais l'histoire de la jeune Marilla est loin d'être une suite sans fin de tristesses et de désillusions, bien au contraire. Ce roman, c'est aussi la naissance de l'amitié avec Rachel : je m'étais toujours demandé comment deux femmes aux caractères aussi opposés avaient pu devenir aussi proches … Quand on pense que tout a commencé par une aiguille malencontreusement oubliée sur un fauteuil, on se dit que les amitiés les plus solides sont parfois aussi les plus simples ! J'ai par ailleurs beaucoup aimé la jeune Rachel, qui m'a d'une certaine façon fait penser à Anne avec sa manie de parler à tort et à travers, ce qui est assez rigolo quand on songe à leur première rencontre à venir ! D'ailleurs, tout dans ce roman est là pour préparer l'arrivée de la petite Anne aux Pignons Verts, pour reconstituer le paysage dans lequel elle va débarquer dans quelques années. Même la crainte de Matthew à l'encontre des femmes trouve son explication ! D'ailleurs, en parlant de ce brave Matthew, j'ai beaucoup aimé voir l'amour tendre qui unie le frère et la soeur, de voir que Matthew veille autant sur Marilla que Marilla sur lui. C'est doux, c'est émouvant, cette fratrie qui reste soudée tout au long d'une vie …

En bref, vous l'aurez bien compris, mes réticences et inquiétudes initiales ont très vite été balayées, remplacées par une estime et une admiration profondes. Car nous retrouvons dans ce roman tout ce qui fait la saveur unique des récits de Lucy Maud Montgomery, cette ambiance très particulière, entrer la douceur d'un foyer aimant et la rudesse de la vie rurale des années 1840 … Nous retrouvons cette retenue, cette discrétion, qui dit les choses tout en les taisant, car c'est parfois ce qu'on ne dit pas qui a le plus de force … Sarah McCoy rend ici un vibrant hommage à Anne et à sa créatrice, mais aussi un vibrant hommage à ces hommes et ces femmes qui ont risqué leur vie pour sauver celles d'innocents victimes de la cruauté humaine. Elle a vraiment su entremêler très joliment, très savamment, l'histoire et l'Histoire, elle a vraiment su entremêler, très habilement, ce que nous savons du passé des Cuthbert avec ce que nous ignorons. le tout pour former un récit particulièrement poignant que j'ai tout simplement adoré : c'est une très bonne, une très belle surprise, et je suis vraiment très heureuse d'avoir « pris ce risque », très heureuse de ne pas m'être arrêtée à mes craintes premières pour donner cette chance à ce roman, à cette autrice !
Lien : http://lesmotsetaientlivres...
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
25 mars 2019
Émerveillée par les écrits de Lucy Maud Montgomery, mais aussi par l’histoire et les doux paysages de l’Île-du-Prince-Édouard, l’écrivaine américaine Sarah McCoy propose une plongée dans l’univers de Marilla Cuthbert, l’un des personnages d’Anne... La maison aux pignons verts, dans son nouveau roman, Le bruissement du papier et des soupirs. Avec son écriture élégante, tout en finesse, elle fournit son interprétation de la vie de Marilla, dans les Maritimes du 19e siècle.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
Elle aurait dû se réjouir pour John. Pourtant, des années de bons sentiments honorables venaient de s’effacer en une seconde. Le regret, c’est out ce qui restait. Marina n’était pas du genre à consacrer beaucoup de temps à ses émotions, mais à présent elle ne pouvait plus penser à rien d’autre. Rachel se trompait. L’imbécile ce n’est pas celui qui se lamente, c’est celui qui n’a pas croqué dans le fruit tant qu’il le pouvait. Seulement, jusqu’à cet instant, elle n’avait jamais pris conscience de combien elle était affamée.
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Rachel hocha la tête, enthousiaste.
- Bien sûr ! Des filles de notre âge, déclara-t-elle en haussant les épaules, c'est tout à fait naturel. Si tu attends trop, tu auras vite dépassé ton âge d'épanouissement. Et ensuite, plus personne ne voudra de toi, tu pourrais même finir vieille fille.
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Ma mère m'a raconté qu'avant que cette île porte le nom de notre prince, les Micmacs l'avaient appelée Abegweit. « Le berceau des vagues ». Une terre de renouveau où toutes les créatures sont libres de s'épanouir de tout leur éclat. Un nom plus adapté. Une île née de la mer et rouge comme sa roche mère.
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Pourtant, Marilla avait du mal à se représenter une femme adulte vivant seule. Dans tout Avonlea, jamais elle n'avait croisé de femme de l'âge de sa mère sans enfants ni mari. Même les veuves avaient des enfants. Et les femmes ans enfants avaient des maris. Qu' Izzy n'eut ni l'un ni l'autre la rendait suspecte aux yeux de Marilla. Qu' est-ce qui ne tournait pas rond chez elle ?
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Bonjour ! Marilla, John Blythe! Appela Mme White , belle journée pour une paire de tourtereaux
" que l'oiseau au chant sublime qui habite l'arbre unique d'Arabie soit le héraut éclatant et grave à la voix duquel obéissent les chastes ailes, recita john plongeant Mme white, dans les abîmes de confusion
C'est Shakespeare, madame white " Le phénix et la colombe "
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Vidéo de Sarah McCoy
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