Les quatre filles du révérend Latimer

On suit dans ce roman la vie de 4 jeunes filles dans la période de l'entre-deux guerres en Australie, début de l'indépendance féminine dans certains secteurs professionnels.
Je n'ai malheureusement pas pris de plaisir à lire ce roman. Je ne me suis attachée à aucun des personnages.
Une lecture sans passion, un gros bémol.

Honte sur moi qui ne savait pas que Colleen McCullough était l'auteur des "Oiseaux se cachent pour mourir " ... si je l'avais su, je n'aurais pas pris ce roman , j'aurais compris qu'il n'était pas fait pour moi . [ pas de Chabadabada !]
J'ai été attirée par le fait qu'il se passait en Australie et par le titre , les quatre filles... qui me rappelait "Les quatre filles du Docteur March" , un grand monument de mon enfance ...

Le révérend Latimer a quatre filles , deux paires de jumelles , nées de mères différentes . Arrivées à l'âge fatidique de 18 et 19 ans , sa décision est prise , elles apprendront le métier d'infirmières . En 1925, le métier reste à inventer , les jeunes filles découvriront un univers austère et difficile , et l'une d'entre elles préférera arrêter et se marier .
Ce roman balaie large, à travers la vie des quatre jeunes filles, l'auteur parle (un peu!) de la crise de 1929, de l'évolution des hôpitaux, de la condition féminine .
Pour qui n'est pas passionné par l'univers médical, le temps paraitra bien long ...
Je n'ai pas apprécié cet auteur , j'ai trouvé sa plume aseptisée , et plus d'une fois , je me suis interrogée sur ce qu'une Anne Perry aurait fait d'une telle histoire , ce qu'elle aurait dit de la crise économique ,de la politique, de la condition féminine (série Thomas et Charlotte Pitt) , ce qu'elle aurait écrit sur le métier d'infirmière (voir le personnage d'Heather dans la série Monk ) .... Avec elle , j'aurais senti la pauvreté , la maladie jusque dans ma chair ...J'ai regretté le souffle romantique et le suspens qu'aurait pu insuffler un auteur comme Colm Toibin .
Avec eux , je ne me serais pas ennuyée ...
Je n'aurais pas râlé au sujet de l'évolution des personnages qui changent de caractères comme de chemise . J'aurais aimé ces quatre jeunes filles .

J'aurais aimé prendre un billet pour l'Australie , j'ai lu juste une brochure ...mais c'est de ma faute , ce qui compte c'est la façon de raconter une histoire, plus que l'histoire en elle-même .
Toujours se renseigner sur l'auteur avant : leçon n°1...Repeat after me ...

Début du 20ème siècle en Australie dans le comté de Nouvelle-Galles du Sud
Le révérend Latimer de l'église anglicane a d'abord deux jumelles avec sa première épouse qui meurt en couches.
Ensuite, deux ans plus tard, il a deux autres jumelles avec Maude qui élèvera les deux premières en faisant semblant de les aimer.
Les quatre filles devenues adolescentes sont très contentes d'échapper au domicile familial pour entamer des études d'infirmière à l'hôpital de leur ville.
Arrivées à l'hôpital, elles seront prises en charge par une directrice brutale. Heureusement le docteur Finucan veillera à ce qu'elles soient bien traitées.
Cette formation d'infirmière est toute nouvelle à cette époque et les connaissances de l'auteure font que de multiples détails ne nous sont pas épargnés.
Sans surprise, on voit une société australienne semblable à la société anglaise.
On verra évoluer les vies de ces quatre jeunes femmes à la manière d'une romance avec de nombreuses divergences par-ci, par-là à la manière d'une série télévisée, avec des longueurs qui mènent à l'ennui.
Il s'agit de la dernière oeuvre de Colleen McCullough.
Je ne les ai pas lues toutes mais je peux dire que j'ai beaucoup aimé "Tim" l'histoire de ce beau jeune homme à l'intelligence intrinsèque limitée. Je l'ai lu il y a très longtemps mais le thème était très touchant car très plausible et bien raconté.

Challenge pavés 2018
Challenge plumes féminines

Que cette lecture fut longue et laborieuse ! ! ! Pourtant, je partais avec un bon a-priori. J'avais déjà lu " la maison de l'ange" de la même auteure et j'avais beaucoup aimé.

Mais là, ce livre m'est tombé des mains, gros pavé de 660 pages où il ne se passe rien. de longs passages sur la politique durant la Grande Dépression m'ont carrément barbé, le métier d'infirmière pas du tout mis en valeur.

Mais le pompon revient aux quatre personnages principaux : j'ai jamais vu des personnages féminins aussi peu valorisés ; je les ai pas du tout aimées (inconstantes, égoïstes, arrivistes et j'en passe et des meilleures).
Un livre à totalement oublier.

Un roman qui pour moi n'a pas tenu sa promesse. Malgré une quatrième de couverture qui avait l'air intéressant, j'ai trouvé que l'histoire se traînée en longueur et les personnages pas attachants. enfin bref déçu de ma lecture.

Alors que je m'attendais à passer un bon moment de lecture, je me suis finalement ennuyée... J'ai mis un temps fou à lire ce roman en entier. Et encore, il a fallu que je m'accroche sérieusement car sinon, il me serait tombé des mains au bout de 30 pages...

Je pense que c'est avant tout l'écriture de l'auteure qui ne m'a pas convaincue. Je l'ai trouvé trop fade. Dans une fresque familiale comme celle des soeurs Latimer, je m'attendais à de l'émotion, de l'humour, des personnages féminins haut en couleur etc. Or, je n'ai rien trouvé de tout ça.

J'ai trouvé l'intrigue trop inégale. Certains passages/chapitres m'ont semblé plus inspirés que d'autres. Il semblerait que l'auteure apprécie tout particulièrement les longues descriptions. Hélas, je n'en suis pas du tout friande, excepté quand elles servent véritablement l'histoire, et ce n'est pas l'impression que j'ai eu. Je peux bien l'avouer, après quelques chapitres lus consciencieusement d'un bout à l'autre, j'ai fini par sauter les interminables paragraphes de description, et cela ne m'a vraiment pas gênée pour suivre l'histoire.

Si je n'ai pas aimé ce roman, je pense que c'est aussi parce que je n'ai pas "adhéré" aux personnages principaux, à savoir, les soeurs Latimer. Je ne sais pas trop pourquoi mais je n'ai pas réussi à les apprécier.

Je remercie Babebio et les éditions Archipoche de m'avoir envoyé ce livre dans le cadre de masse critique
Je vais commencer sur une note amusante , j'avais choisi le livre car l'histoire se passait en Australie , pays de mes rêves lointains depuis qu'enfant j'ai vu Skippy le kangourou à la télévision
Le paquet arrive j'ouvre et j'écarquille les yeux en voyant que l'auteure est Colleen Mc Cullough pas du tout une inconnue pour moi ....en faisant mon choix je n'avais pas fait attention à l'auteure !!!! Il faut le faire
Quant à l'histoire je suis déçue , j'avais lu dans mes jeunes années " les oiseaux se cachent pour mourir" que j'avais aimé
Là , "les quatre filles du révérend Latimer " ne m'a pas enthousiasmé
L'histoire de quatre soeurs dans l'Australie des années 30 , au moment de la grande crise économique de 1929
Nous allons les suivre de l'adolescence à leur entrée dans le monde adulte
Quatre caractères différents Kitty , Edda , Grâce et Heather , deux paires de jumelles
Mais au final quatre jeunes femmes bien sages
Pas d'action ou si peu , même pas d'histoire de fesses pour rigoler un peu
C'est assez mièvre
Le seul intérêt peut être et de comprendre la place des femmes dans cette société très masculine
De comprendre aussi les liens très forts entre jumelles
Mais le sujet n'est pas approfondi
Les femmes peuvent être infirmières , pour devenir médecins c'est compliqué ....pas vraiment pour elles
La politique idem ....pas pour vous Mesdames
Devenez épouses et mères et puis c'est tout
On va suivre la vie de ces quatre soeurs et au début je me disais " il va se passer plein de choses rocambolesques " que nenni !
L'ennui est là malgré le style car le livre se lit très facilement , c'est fluide
En général je lis beaucoup de policiers , de thrillers et j'ai plus ou moins l'habitude de lectures nerveuses avec rebondissements inattendus
Peut être est ce cela qui me fait paraître ce livre ennuyeux
En plus sur les dernières pages un évènement intéressant arrive mais le livre s'achève juste là dommage
Moi je rêvais d'une héroïne qui devienne quelqu'un dans cette Australie lointaine malheureusement nous n'arrivons pas jusque là

Zut

Attirée par la thématique de l'histoire (quatre soeurs, dans les années 1920, quittant le presbytère familial pour suivre une formation d'infirmière sur fond de Grande Dépression), j'ai rapidement été lassée par le style désuet du roman et les longueurs des premiers chapitres détaillant la personnalité de chacune des héroïnes (au lieu de nous laisser la découvrir au fil de l'action). Certes les passages évoquant l'évolution (notamment la professionnalisation) du métier d'infirmière sont pertinents, mais ils sont noyés dans l'ennuyeux récit des malheureux débuts des filles, miraculeusement balayés en quelques lignes par l'intervention opportune d'un de leurs enseignants ! Manque de crédibilité, maladresse d'écriture : j'ai abandonné ma lecture au bout d'une cinquantaine de pages...

Cette fois encore, je suis déçue par un roman de Colleen McCullough, même si cette lecture-ci n'est pas aussi catastrophique que Les caprices de Miss Mary. Je n'ai pas réussi à m'intéresser au sort des quatre soeurs et, comme en plus il y a beaucoup de longueurs, je me suis très vite ennuyée... L'histoire m'a paru difficilement crédible, tout comme les personnalités des soeurs Latimer qui semblent étrangement malléables, s'adaptant (trop) parfaitement aux péripéties du récit.Vraiment décevant...

Autant j'avais adoré Les oiseaux se cachent pour mourir, du même auteur, autant là c'est assez moyen. le cadre de l'Australie au début du XXème siècle est chouette, mais l'intrigue est franchement cousue de fil blanc, avec des personnages bien stéréotypés qui manquent cruellement de relief. Et vous vous en doutiez : à la fin, ouh là là, que tout est bien qui finit bien. On aurait pu s'épargner un pareil pavé, si ce n'est que oui, ça repose le cerveau (quand ça n'agace pas avec ses minettes qui cherchent l'amooooooour).